Le programme de Bardella est extrêmement mou

La Rédaction
Démocratie Participative
24 juin 2024

 

Et dire qu’il a fallu un demi-siècle d’existence au lepénisme pour accoucher péniblement de ça.

Le « vous » aux profs et la fin des smartphones en classe.

Quand les maghrébins salafisés de banlieue vouvoieront les profs de gauche, la France sera enfin ordre.

Mais au moins ils continueront de manger halal.

Pour faire litière de ce truc grotesque, rappelons qu’aucun gouvernement ne contrôle le ministère qui se fait appeler « l’Éducation Nationale ». Cette gigantesque machine soviétique emploie 1,2 millions de fonctionnaires, dont 850,000 enseignants, qui sont organisés d’une main de fer par des syndicats d’extrême-gauche à tous les échelons. Et c’est sans parler de la franc-maçonnerie qui contrôle de fait les rectorats.

Jamais ces profs de gauche ne demanderaient de se faire universellement vouvoyer pour faire plaisir aux « fascistes ». Comme aux dernières nouvelles le RN n’entend pas interdire ces syndicats marxistes, ni déporter tous les saboteurs, ils continueront de décider de ce qui se passe quotidiennement dans ces dizaines de milliers d’établissements. D’ailleurs, ils feraient grève en permanence jusqu’en 2027.

Et ce n’est de toute façon pas le problème principal. Le premier problème, c’est que 80% des enseignants sont des femmes, c’est-à-dire des personnes sans autorité naturelle sur les garçons, a fiortiori dans des banlieues ethniquement remplacées. Toute « réforme » sérieuse commencerait par inverser cette disproportion ridicule pour atteindre 80% d’hommes et 20% de femmes.

Ensuite, il faudrait interdire la mixité à l’école. Arrivés à l’adolescence, on ne peut plus obtenir l’attention des garçons quand une classe est peuplée de jeunes allumeuses que toute la société encourage à faire n’importe quoi sexuellement dès 12 ou 13 ans.

Enfin, il faudrait cesser de chercher à alphabétiser le tiers-monde en France.

Ça n’a aucun sens.

Bref, ce « big bang » est une vue de l’esprit.

Bardella a encore parlé d’autres choses, notamment de « l’expulsion des criminels étrangers ». Là, c’est aussi très simple. Le gros contingent de ces criminels est algérien, parce que les algériens sont une race criminogène. Il faudrait donc les renvoyer en Algérie.

Croire que le gouvernement FLN d’Algérie accepterait de céder quoi que ce soit à des nostalgiques revendiqués de l’OAS est une illusion. Aucune menace de représailles financières n’y changerait quoi que ce soit. Si vous voulez renvoyer ces criminels – et c’est déjà dérisoire en soi -, vous devez mettre sur pied une opération militaire pour créer une tête de pont sur la côte algérienne et pousser ces criminels hors du bateau avec des baïonnettes.

Aucun gouvernement français démocratique ne fera jamais ça, RN inclus.

Bardella serait rapidement décrédibilisé par son incapacité à honorer cet engagement pourtant élémentaire (virer les criminels étrangers ne devrait même pas être une « promesse », ni même un sujet de discussion).

La seule solution alternative est de déporter tous ces criminels algériens en Guyane, mais, à l’évidence, ce ne sera jamais suggéré.

Bardella dit vouloir réduire drastiquement l’immigration, légale ou illégale. Là encore, c’est la même chose. Il y a au moins un million de clandestins en France. À supposer que ce gouvernement RN veuille le faire, ce que rien n’indique réellement, que ferait-il puisque tous les pays d’Afrique refuseraient catégoriquement de reprendre leurs pouilleux ? Il faudrait les parquer quelque part entretemps. La Guyane est à nouveau la seule option, mais ce n’est même pas à l’étude.

Au reste, même si tout le monde serait ravi que l’immigration légale soit stoppée, ça ne changerait rien à la situation actuelle. Il y a un tiers de naissances allogènes au moins et ce stock va arriver progressivement dans les rues d’ici dix ans. Tout va donc empirer, même avec une immigration réduite à zéro.

Même l’abolition du droit du sol n’y changerait rien. C’est nécessaire sur le principe, mais au plan opérationnel ça ne changerait rien demain matin.

Les gens voteront pour le moins nocif des partis en lice, mais pour le reste la démocratie continuera de faire son travail de cuisson à feu doux.

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