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La rédaction
Démocratie Participative
03 mai 2023
Les politiciens américains sont des goyim obéissants, mais ils restent américains et veulent voir un retour sur investissement en Ukraine.
L’aile droite du parlement US veut que ses dollars se convertissent en succès militaire rapide contre la Russie. Des paysans ukrainiens vont donc devoir mourir dans de brefs délais pour que Zelensky puisse continuer de blanchir l’argent que lui donne Washington.
Le succès ou l’échec de la contre-offensive ukrainienne attendue contre les forces russes décidera de l’avenir de l’aide occidentale à Kiev, a déclaré Michael McCaul, membre du Congrès américain, à Bloomberg. Le républicain du Texas a également proposé un scénario pour la suite des événements.
« Vous allez assister à une contre-offensive très bientôt », a déclaré M. McCaul, qui préside la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants, à Bloomberg TV lundi. « Je pense que les enjeux de cette contre-offensive seront considérables. Si l’Ukraine réussit aux yeux du peuple américain et du monde, je pense que cela changera la donne pour la poursuite du soutien. Dans le cas contraire, cela aura également un impact, mais de manière négative. »
Les républicains disposent actuellement d’une faible majorité à la Chambre des représentants, tandis que les démocrates détiennent le Sénat et la Maison Blanche. Alors que certains membres du parti ont critiqué la quantité d’armes, de munitions et d’argent envoyée à Kiev, M. McCaul fait partie du groupe qui est favorable à un envoi plus important et plus rapide.
L’Ukraine annonce depuis des semaines le début d’une attaque majeure, bien que de nombreux responsables se soient plaints du manque de munitions, d’armes et même de conditions météorologiques.
Dans le cadre de l’émission « Balance of Power » de l’agence Bloomberg, M. McCaul s’est aventuré à deviner où les combats pourraient se dérouler.
« Je prédis qu’ils essaieront de descendre et de frapper le pont terrestre en Crimée et d’adopter une stratégie audacieuse très spectaculaire qui repousserait l’agression russe », a-t-il déclaré, ajoutant qu’après cela, Kiev pourrait éventuellement « demander un cessez-le-feu, après quoi nous pourrions peut-être avoir des négociations, pour enfin résoudre ce problème ».
La semaine dernière, le général américain commandant les forces de l’OTAN en Europe a déclaré au Congrès que les forces de Kiev avaient déjà reçu 98 % des véhicules blindés promis par l’Occident. Le principal conseiller du président Vladimir Zelensky, Mikhail Podoliak, a exprimé son désaccord à la télévision ukrainienne, qualifiant cette estimation de « beaucoup trop importante ».
Le ministère russe de la défense a estimé que les États-Unis et leurs alliés avaient livré pour plus de 100 milliards de dollars d’armes, d’équipements et de munitions à l’Ukraine en décembre 2022. De nombreux gouvernements occidentaux ont fait remarquer que leurs stocks sont désormais faibles et que l’augmentation de la production pour répondre aux besoins de Kiev prendrait des années.
L’armée américaine n’est pas satisfaite de voir ses stocks être livrés à l’armée de Zelensky tandis que ses propres capacités de production restent désespérément insuffisantes. Voir ces mêmes armes être revendues sur le marché noir mondial par les rabbins de Kiev ne doit pas aider à apaiser les généraux américains.
Les juifs et leurs marionnettes politiques s’en moquent. Ils pensent que l’intendance suivra d’une manière ou d’une autre. L’offensive doit donc être lancée, peu importe ses chances de succès.
Sauf surprise, il va falloir que les paysans ukrainiens attaquent les défenses russes sans appui aérien, quasi frontalement, sous le feu écrasant de l’aviation et de l’artillerie à la disposition de la Russie. Les trompettes de la Judée médiatique vont puissamment présenter ce bain de sang en victoire colossale de la démocratie ukrainienne.
Tôt ou tard l’OTAN devra prendre le relais et rien ne vaut une attaque au Zyklon B contre des civils innocents pour permettre à Bernard-Henri Lévy et à Raphaël Glucksmann de taper frénétiquement sur le tambour de guerre de Sion.
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