Le régime de Londres libère 5000 criminels pour emprisonner les manifestants anti-invasion

La Rédaction
Démocratie Participative
20 août 2024

 

Les émeutes blanches de Grande-Bretagne ont terrifié l’oligarchie de ce pays et entraînent, comme le Brexit, un mouvement de panique au sein de l’ensemble de la classe dirigeante occidentale.

L’attitude du régime britannique va être adoptée par l’ensemble du système pour écraser les peuples blancs tentés par la révolution.

Le Royaume-Uni libère 5 000 prisonniers pour faire de la place aux manifestants anti-immigration

Certains d’entre eux seront des délinquants violents

On aurait presque oublié que l’élément déclencheur a été le meurtre de trois petites filles blanches par un groïde du Rwanda.

Le temps des élections est révolu, c’est une relique du 20e siècle.

Quand un gouvernement se met à emprisonner l’opposition populaire, il n’y a pas d’autre alternative qu’une révolution pour régler le problème.

Mao Zedong a donné la définition exacte d’une révolution.

Une contre-révolution en est le négatif, un acte violent par lequel une classe empêche une autre de la renverser, et c’est ce dans quoi s’engage la classe dirigeante britannique.

L’enjeu de cette révolution et de la contre-révolution qu’elle suscite en retour est l’immigration de remplacement et, par extension, le droit pour l’homme blanc d’avoir une destinée sur ses terres ancestrales.

Pour des raisons conscientes et inconscientes, pour des raisons matérielles, sous l’effet de facteurs internes et externes, l’invasion de l’Europe par la sous-humanité non-blanche est devenue l’épicentre de toute l’activité sociale en Occident.

On est contre ou pour, il n’y a pas de moyen terme.

Cette invasion est la forme la plus radicale et la plus définitive de violence qui puisse être faite aux peuples blancs, collectivement et individuellement. Sa finalité est leur destruction.

Que ça plaise ou non, cette volonté de destruction a ses racines dans la haine génocidaire de l’homme blanc qui a été mis en mouvement à Nuremberg. Cette haine génocidaire a été normalisée, institutionnalisée, inculquée dès le plus jeune âge aux Blancs au point où, inévitablement, elle est devenue politique d’état, politique d’extermination de l’homme blanc.

Ceux qui soutiennent cette politique et l’organisent veulent notre mort, non seulement individuellement, mais collectivement, non seulement pour les vivants, mais aussi pour ceux qui sont amenés à vivre, c’est-à-dire les futures générations.

Ce n’est pas la démocratie, cette MST, qui va nous sortir des mains de la machine à détruire la race blanche.

La démocratie est construite sur le principe nihiliste de l’égalité qui nie les hiérarchies raciales en haut desquelles se trouve l’homme blanc. Par sa seule existence, l’homme blanc défie le mensonge démocratique. Sa destruction est inhérente au projet démocratique global, qui n’est lui-même que le masque de la finance juive.

Nous n’avons pas besoin d’élections, nous avons besoin de Blancs méchants. Ces Blancs existent, ils sont en suspension à travers toute la société, y compris dans les institutions de ce régime.

La guerre civile dont on discute fréquemment ces jours-ci ne concerne pas les envahisseurs, mais la lutte au sein de toutes les structures de la société entre les Blancs conscients d’appartenir à une même groupe historique, et les traîtres qui prennent partie pour l’envahisseur.

Cette ligne de rupture est le prolongement de celle qui a émergé en 1789, qui s’est approfondie durant la deuxième guerre mondiale.

Lors de la guerre civile, ces institutions se désagrègeront le long de cette ligne entre les partisans de l’envahisseur et les autres. Tout sera reconfiguré autour de ce paradigme.

Formez d’ores et déjà votre cellule dans votre milieu social et professionnel, à l’image de la franc-maçonnerie au 18e siècle. La franc-maçonnerie était d’abord et avant tout un réseau d’opposition contraint d’user du secret dans un environnement politique, étatique et culturel hostile. Le moment venu, tout se mettra organiquement en mouvement.

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