Le régime juif menace Papacito après son opération de libération du village occupé de Montjoi

La rédaction
Démocratie Participative
03 juin 2023

 

Papacito passe dans le réel, en mode populisme insurrectionnel à croix occitane.

Ces derniers mois, il a utilisé sa notoriété pour aider un exploitant agricole de la commune de Montjoi, dans le Tarn-et-Garonne. Il était persécuté par un maire pourri, Christian Eurgal (sans étiquette), lié à un aristocrate anglais, évidemment franc-maçon (rite écossais).

Ce maire appartient au réseau du juif Jean-Michel Isaac-Baylet, socialiste et franc-maçon notoire. Il contrôle la presse régionale et sème depuis longtemps la terreur dans ce secteur.

À César ce qui est à César. L’opération de Papacito a permis à l’exploitant de sauver son exploitation.

Sa dernière vidéo sur le sujet est ici, vous l’avez probablement vue.

Ce processus de mobilisation populaire par les réseaux sociaux, entamé il y a plusieurs années maintenant, se généralise. Les politiciens qui jadis pouvaient conspirer entre quatre murs pour se remplir les poches sont susceptibles de se retrouver du jour au lendemain face à des centaines de milliers de gens prêts à en découdre.

Au sens strict, c’est de la démocratie participative.

L’ennui c’est qu’en république, les goyim ne sont pas censés pouvoir constester l’autorité de la caste politique, même d’un simple maire d’une commune de 160 habitants.

La machine judéo-républicaine s’est mise en branle pour porter secours à aux représentants de l’autorité coloniale juive.

La chaîne de Drahi, BFMTV, victimise le maire véreux.

Les gauchistes de la LFI, qui le restent du temps dégueulent sur BFM et le pouvoir du fric, trouvent soudainement que la télé du milliardaire israélien Drahi, les aristocrates anglais et politiciens pourris sont des gens très bien.

Le système veut clairement associer cette affaire à la débandade du maire félon de Saint-Brévin-les-Pins. Sans ces larbins de politiciens locaux, la machine juive ne peut pas fonctionner.

Il y en a un demi-million en France chargés d’intimider la plèbe, épaulés de 37,000 journalistes d’état, 8,000 magistrats et un demi-million de flics, militaires, professionnels de la sécurité.

Si le rapport de force s’inverse et que les politiciens locaux commencent à baisser les yeux devant le peuple, les juifs auront de très gros problèmes.

Les flics ne nous regardent de travers que parce que les politicards en place ont l’air de tenir la population en laisse. Quand il devient manifeste que tout se retourne et que les politiciens perdent le contrôle – ce que l’on appelle une révolution -, les flics ont soudainement piscine, s’évaporent des rues et attendent de voir qui va gagner.

C’était comme ça à chaque chute de régime en France, que ce soit lors des Cent Jours, de la restauration, en 1940, en 1944, etc..

Je me soucie pas de la police, ni de la gendarmerie.

Journalistes, magistrats, politiciens rouges sont autrement plus nuisibles

Pour en revenir à l’essentiel, le peuple veut des tribunaux révolutionnaires montés par le peuple lui-même pour juger les gens de pouvoir corrompus et procéder à l’épuration nécessaire. Politiciens en tête.

Ce que le peuple veut, il doit l’obtenir.

Le Forum EELB sera prochainement de retour