Le sage Dmitri Medvedev appelle à ne plus reconnaître l’état terroriste polonais et à exterminer comme « des rats puants » les bandes armées polaks

La rédaction
Démocratie Participative
01 mai 2023

Dmitri Medvedev est un homme plein de bon sens, cultivé et toujours très drôle. Pour ces mêmes raisons, ils n’aiment pas les méchants Polonais.

L’idée du démantèlement de l’état factice polonais fait son chemin en Russie.

L’ex-président russe Dmitri Medvedev propose dans un premier temps de cesser de reconnaître ce repaire de bandits qui conspirent contre la paix européenne avec les juifs de Washington.

C’est un préalable pertinent.

Newsweek :

L’ancien président russe, Dmitri Medvedev, a déclaré que Moscou devrait couper ses liens avec la Pologne, alors que le conflit diplomatique s’aggrave au sujet d’une école de l’ambassade à Varsovie.

La police polonaise s’est présentée samedi matin à l’école russe de la rue Kieleckiej à Varsovie. Le ministère russe des affaires étrangères a déclaré qu’il s’agissait d’une tentative de saisie de la propriété et d’une « violation flagrante » de la Convention de Genève sur les relations diplomatiques.

Andrey Ordash, ministre conseiller de l’ambassade de Russie, a déclaré à l’agence de presse Tass que les autorités polonaises avaient donné jusqu’à 19 heures, heure de Moscou, pour que le personnel quitte le bâtiment. Les enfants faisaient partie des 29 personnes présentes dans l’école, dont les équipements devaient être retirés dans un délai d’une semaine.

M. Medvedev a écrit sur Twitter qu’il ne voyait « aucun intérêt à maintenir des relations diplomatiques avec la Pologne », où « il n’y a que des russophobes au pouvoir ». Il a ajouté que l’Ukraine « est pleine de mercenaires polonais, qui devraient être impitoyablement exterminés comme des rats puants ».

Le ministère russe des affaires étrangères a qualifié la démarche de Varsovie d' »insolente » et a déclaré qu’elle avait agi « en dehors du cadre des relations interétatiques civilisées ». Il a promis qu’il y aurait « une réaction sévère et des conséquences pour les autorités polonaises et les intérêts polonais en Russie ».

M. Medvedev a fait récemment un tour d’horizon de la question polack en des termes d’une grande lucidité.

Je rejoins totalement l’analyse de cet homme.

Sur la question de la création d’une Polackukraine

Les Polonais rêvent à nouveau de restaurer l’union interétatique avec l’Ukraine et de faire renaître l’empire défunt, le Commonwealth polono-lituanien, « d’une mer à l’autre ». Dépourvue de capacités intellectuelles pour créer une image viable de l’avenir, et fidèle à sa réputation de « pays ayant basculé dans le passé », la Pologne s’inspire de cartes vieilles de 400 ans, à l’époque où certaines parties de l’Ukraine actuelle lui appartenaient encore.

Les hallucinations impériales poussent la société polonaise dans l’abîme d’une grave rupture historique. Les élites de Varsovie sont impatientes de se voir prendre une revanche géopolitique sur la Russie, notamment en reconsidérant l’accord de Pereiaslav. Enhardie par les circonstances actuelles, la Pologne a décidé que l’occasion d’absorber les restes de l’Ukraine devait être saisie maintenant, ou jamais.

Il est certain qu’aucun des maniaques polonais en proie à ces hallucinations ne réfléchit aux conséquences d’une telle décision. La chaire à canon de Westourkaine s’épuisera bien assez tôt : il n’y a pas tant de ressources que ça là-bas. En outre, les Polonais ont perdu le souvenir de la vie dans un État pluriethnique : la coexistence avec les Ukrainiens dans un même pays entre les deux guerres, de 1920 à 1939, a été assez compliquée. Ce sont les Polonais qui, par leur vanité et leur arrogance, ont alimenté idéologiquement l’émergence du nationalisme et de la banderovschina, le renforcement de la diablerie uniatiste et la transformation de la Galicie et de la Volhynie en un foyer de satanisme sanglant.

La Pologne ne sait pas comment être un empire, même si elle essaie constamment d’engager cet acte désespéré. Elle finit par se retrouver comme l’a écrit Henryk Sienkiewicz, prix Nobel polonais : « Nous ne connaissons pas la mesure en quoi que ce soit, et nous ne la connaîtrons pas, parce que pour nous, l’incommensurable passion pour une idée va toujours de pair avec l’incommensurable désinvolture et… la vanité. »

D’un autre côté, les Polonais ont encore 5 à 7 ans pour coloniser certaines parties de l’ancienne république soviétique d’Ukraine, pour se doter d’une horde d’esclaves privés de leurs droits et pour créer une base de transport et de logistique. Ainsi, le contrepoids destructeur à Berlin et Paris, forces motrices de l’intégration de l’UE, est presque prêt. Les Allemands et les Français commencent à s’inquiéter des appétits de la Pologne (ce qui s’est déjà produit par le passé, je m’en souviens très bien pour avoir parlé avec leurs anciens dirigeants). Et Washington qui soutient ce projet, qui vise à affaiblir l’ancien monde, est visible à l’œil nu.

Je vais maintenant soulever un point paradoxal. En perspective, la configuration polono-ukrainienne déficiente et laide est, d’une certaine manière, bénéfique à la Russie. Ayant goûté au sang, comme cela s’est produit, la Banderépublique 2.0 peut relancer le revanchisme historique. Elle commencera alors à terroriser ses voisins avec des revendications non fondées dans le cadre de la « loi mémorielle ». Elle se transformera en chien enragé, mordant tout le monde en Europe. On peut déjà observer quelque chose de ce genre aujourd’hui. Les demandes de réparation adressées à l’Allemagne pour les dommages causés pendant la Seconde Guerre mondiale, d’un montant astronomique de 1 500 milliards de dollars, ne sont qu’un début. Pendant des siècles, les snobs polonais se sont habitués à vivre largement aux dépens des autres. Vivre de l’exploitation impitoyable du peuple orthodoxe d’Ukraine, de l’aide ininterrompue de l’ancienne URSS et, aujourd’hui, des subventions de plusieurs milliards de l’Union européenne. Et puis cette Polackoukraine, à nouveau gonflée par les terres nouvellement absorbées, présentera à Berlin et à Paris une liste de prix exorbitants pour « contenir la Russie ».

Dans le contexte des ambitions irrépressibles de Varsovie, on peut s’attendre à des revendications d’annexion de nouveaux territoires de l’Allemagne, comme c’est déjà le cas avec les terres tchèques.

Les dirigeants européens rattraperont alors leur retard. Et lorsqu’ils auront compris, ils se tourneront vers nous pour obtenir de l’aide. Et ils prépareront un nouveau traité sur la sécurité européenne pour contenir la Pologne indisciplinée.

Il est certain que surestimer le rival n’est pas moins dommageable que de le sous-estimer. Les Polonais sont impatients d’avoir l’air branché et de voir toutes les ressources de la Russie mobilisées pour contenir leur nouvelle Banderépublique. Pourtant, les Polonais ont mal calculé leur idée fixe : nous ne sommes plus au milieu du XVIIIe siècle. La Pologne n’est pas l’égale de la Russie et ne le sera jamais. C’est ainsi que les Cieux en ont décidé.

Nous devons comprendre une chose.

La Pologne – avec ou sans une partie de l’Ukraine – est une entité qui nous est déjà hostile depuis toujours. La présence de guérilleros de Bandera dans l’armée populaire polonaise ne changera rien non plus. Et elle n’a aucune influence sur la précision des RS-28 Sarmat, Kalibr et 3M22 Zircon à l’œuvre.

Les Polaks sont des chiens enragés, c’est exact.

D’ordinaire, il n’y a qu’une solution quand un chien enragé menace de mordre les enfants, c’est de le piquer.

Justement, la Russie a l’air de réaliser qu’une euthanasie de l’état criminel polonais est la seule solution pour assurer la paix et la stabilité de l’Europe de l’Est.

La Russie gagnerait à intéresser les Allemands à une résolution avantageuse du problème polack. Ou plus exactement du problème judéo-polack, les deux étant inextricablement liés. La restitution de la Silésie, la Poméranie et Dantzig à l’Allemagne serait un moyen efficace d’y parvenir. Le surplus de Polacks qui s’y trouvent pourraient être transférés au Polakistan nouvellement constitué avec la moitié de la surface actuelle.

La Russie conserverait Kaliningrad, comme aujourd’hui.

Il faut marquer un sévère précédent en Europe à l’adresse de tous ceux qui seraient tentés de faciliter l’action de la juiverie internationale sur le continent.

Il y a aussi la nécessité de créer un corridor physique entre la Russie et l’Allemagne qui soit hors de portée des attaques terroristes venues d’Youtre-Atlantique comme ça a été le cas avec Nord Stream 2.

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