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La rédaction
Démocratie Participative
10 avril 2023
La source de spiritualité des golems d’Hollywood est inspirante.
Le Dalaï Lama a demandé à un petit garçon de lui sucer la langue et aucun média ne s’interroge sur ce qui se passe ici. Il s’agit d’un acte pédophile, abusif et totalement malsain.
The Dalai Lama asked a little boy to suck his tongue and not one mainstream news outlet is asking what the heck is going on here. This is pedophilic, abusive and totally sick. pic.twitter.com/n16lDgONhg
— Robby Starbuck (@robbystarbuck) April 10, 2023
Son équipe a essayé de présenter des excuses.
— Dalai Lama (@DalaiLama) April 10, 2023
Le vioque a certainement toujours été un pédophile, mais jusqu’à présent il parvenait à se tenir en public. Alzheimer a changé la donne.
Ce type est un agent de la CIA depuis environ toujours. Il ne sert qu’à des fins de communication.
Il a aussi une rolex.
À l’origine il était le monarque absolu de la théocratie tibétaine, une effroyable société féodale où une énorme masse de parasites déguisés en moines – 20% de la population totale – exploitait sauvagement la plèbe tibétaine réduite en servage. Le plus grand monastère du Tibet, Drepung, comptait 10,000 moines et 25,000 serfs chargés de les nourrir.
C’est la Chine qui a mis fin à cette situation après d’interminables propositions de compromis. Quand la CIA a déclenché une révolution en 1959 avec l’aide du Dalaï Lama, la Chine est intervenue militairement.
En reprenant directement le contrôle administratif du Tibet, Pékin a fait de la région une province moderne en 60 ans, construisant écoles, hôpitaux, routes.
Le PIB de cette région est passé de 0 à 20 milliards de dollars.
De toutes les régions chinoises, le Tibet est celle qui reçoit le plus d’investissements directs du gouvernement central par rapport à sa richesse organique.
Autrement dit, sans la Chine, cette région retomberait dans la nuit.
Grâce à ces investissements, on peut se balader en voiture dans « l’enfer du Tibet chinois ».
Avec un tel effort économique de la part de la Chine et les progrès massifs réalisés en quelques décennies en termes de niveau de vie, la promesse de restaurer le servage et le règne d’une caste de moines oisifs ne peut plus être vendue en Occident, encore moins aux Tibétains.
En 2011, le Dalaï Lama a donc officiellement abandonné son rôle de chef de l’état théocratique tibétain en exil pour devenir le porte-parole de la « démocratie au Tibet ». C’est-à-dire un état LGBT réservé au narcotrafic que les juifs ne manqueraient pas de mettre en oeuvre dans le cadre de leur nouvelle guerre de l’opium.
L’Occident n’a rien à apporter à aucun peuple. Il mesure le « progrès » qu’il prétend exporter en centimètres d’élargissement anal. La Chine exporte des choses tangibles qui ont une utilité objective comme des ports, des trains à grande vitesse, des systèmes de communication ultra modernes.
Ne reste aux USA que la subversion.
Comme ce Dalaï Lama se « réincarne », il ne peut pas démissionner. Il va donc falloir l’aider à quitter ce monde pour désigner un successeur susceptible de servir de figure de proue à la démocratie anale au Tibet.
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