L’effroyable histoire de la brûlante passion pour les Nègres de l’homosexuel Jean Moulin

La rédaction
Démocratie Participative
08 mai 2023

 

Ce matin, je me disais justement que nous avions besoin d’une démonstration de force antifasciste en France.

Emmanuel Macron lit dans mes pensées.

Le régime (ré)installé en France par les juifs en 1944 est toujours en place, ce que beaucoup de Français ignorent complètement. À chaque fois que la bande dirigeante se sent fragilisée, elle rappelle pourquoi elle est en place en premier lieu : maintenir l’ordre juif édifié en 1945.

Pour faire taire les paysans en colère, Macron a préféré Jean Moulin à Oradour-sur-Glane, la prochaine fois ce sera l’inverse.

Le niveau d’autisme général est tel que Macron va inévitablement se faire traiter de « pétainiste » par les boomers de la CGT qui comptent faire du bruit à Lyon.

Attendez, vous verrez.

Ensuite, vous verrez la droite hurler à la mort contre ces mêmes boomers cégétistes qui osent perturber le cirque antifa prévu, à commencer par Goldnadel qui va s’empresser de dire qu’ils auraient collaboré avec les Nazis en 1940.

C’est tellement fatiguant.

Jean Moulin a pris un lustre particulier pour le régime ces dernières années.

À cause d’une affaire de Noirs.

Les millions d’Afro-musulmans qui submergent la France se foutent totalement de tout ce raffut à propos de De Gaulle et du reste. Vu depuis leur balcon de HLM, ce ne sont que de vieilles histoires « de Blancs ». Pour piquer la curiosité de ces populations, le régime a donc fait de Moulin un héros de la cause raciale noire dans le but d’exciter le patriotisme antiblanc des Nègres à papiers français.

Pour cela la presse juive a exhumé un épisode obscur de juin 1940 pour en faire une gigantesque épopée antiraciste dont Jean Moulin est le héros.

Cela a pris de telles proportions que cela est désormais officiellement décrété comme le « premier acte de la Résistance ». Rien de moins.

Le fond de l’affaire est particulièrement macabre. En juin 1940, la  8ème division d’infanterie allemande progresse contre un régiment de tirailleurs africains dans le département de l’Eure et récupère le 16 juin le corps atrocement mutilé d’un de ses hommes, Joseph Pawlitta. Cela n’a rien de nouveau et les Allemands le savent parfaitement : dès 1914, les troupes nègres françaises avaient pour habitude de prélever nez et oreilles sur les cadavres allemands pour se confectionner des grigris.

Cela peut vous faire rire, mais pour les Nègres c’est très sérieux.

Le 17 juin, les soldats allemands découvrent cette fois une famille entièrement massacrée – hommes, femmes et enfants – dans une ferme de Saint-Georges-sur-Eure. Comme vous connaissez désormais très bien les Noirs, vous vous doutez sans doute qu’ils firent ce qu’ils font de nos jours dans nos villes : violer les femmes blanches et assassiner leurs hommes. À la haïtienne. Là encore, ces derniers avaient été mutilés par les Nègres pour se pourvoir en grigris.

Les Allemands firent le rapprochement et décidèrent de signaler officiellement le danger au gouvernement français pour que le commandement français agisse. Les Allemands étant des gens pointilleux, ils suivirent la procédure administrative prévue et alertèrent les autorités civiles du département. En l’espèce, Jean Moulin, préfet de l’Eure. À leur stupéfaction, ils tombèrent sur un illuminé qui ne voulut pas entendre parler du meurtre sauvage survenu dans cette ferme, encore moins des Nègres d’Afrique qui sévissaient dans les campagnes dont il avait charge.

Depuis son bureau, face aux officiers allemands venus lui signaler l’effroyable tuerie, Moulin décrète d’emblée que tout est faux.

Les Allemands, déjà exaspérés par la sauvagerie des hordes de Cafres contre un de leurs camarades, réalisent que la crapule est en train d’essayer de couvrir les exactions des hordes nègres, quitte à les nier, y compris celles commises contre des civils français. Pire, son inertie risque d’entraîner d’autres drames, faute de mesures de la part de l’état-major français. Les officiers allemands traînent Moulin sur le lieu du carnage et lui montrent les corps des victimes pour lui faire entendre raison.  Moulin est encore plus déchaîné, vocifère que « l’armée française » – les Nègres en débandade donc – sont des Français parfaitement exemplaires et que jamais il ne transmettra l’information au gouvernement français. Les Allemands le collent pendant une nuit à côté du cadavre d’une de ses compatriotes violée et assassinée pour réveiller chez lui une lueur de dignité, lui faire réaliser ce qu’il inflige à la mémoire de cette Française dont les assassins cannibales courent toujours. C’est encore pire. Moulin ne se retient plus, il est plus possédé que la veille et veut impérativement se suicider dans un geste de pur délire négro-patriotique.

L’affaire est mirobolante :

A la nuit tombante, non sans avoir insisté violemment pour qu’il signe, les Allemands l’enferment dans la loge du concierge de l’hôpital civil en compagnie d’un Sénégalais fait prisonnier. Craignant de finir par céder, Jean Moulin tente de se suicider en se tranchant la gorge avec des morceaux de verre à terre.  » Et pourtant, je ne peux pas signer […] Tout, même la mort […] Les boches verront qu’un Français aussi est capable de se saborder […]. Je sais que ma mère, me pardonnera lorsqu’elle saura que j’ai fait cela pour que des soldats français ne puissent pas être traités de criminels et pour qu’elle n’ait pas, elle, à rougir de son fils « . Découvert à l’aube couvert de sang, il peut être sauvé. Il est ramené à la préfecture et soeur Aimée lui prodiguera les meilleurs soins.

On ne peut comparer Moulin qu’à Cédric Herrou.

En 1940, l’empathie pathologique pour les Nègres avait déjà atteint le coeur de l’appareil d’état français, quoique marginalement, mais la pourriture gagnait en silence.

Pour qui est observateur, psychologue et solidement formé par l’expérience, cette attitude anormalement suicidaire doublée d’une maladive obsession pour le Nègre trahit une inavouable évidence : Moulin désirait avec ardeur se faire enculer par des Nègres.

Tout s’illumine.

Les Allemands comprirent que l’oiseau n’était pas un préfet ordinaire qui faisait des difficultés par zèle patriotique. Il y avait pléthore de Français au patriotisme débridé en juin 1940. L’exhibitionnisme de Moulin trouvait son origine ailleurs.

D’après son autobiographie parue à titre posthume en 1947, Premier combat, Moulin écrit à propos des officiers allemands qui le bouclèrent avec ce Nègre :

“Puisque nous connaissons maintenant votre amour pour les nègres, nous avons pensé vous faire plaisir en vous permettant de coucher avec l’un deux.”

Et encore, le lendemain, quand Moulin fut retrouvé égorgé par les Allemands, ceux-ci s’en ouvrirent aux bonnes soeurs qui le prirent en charge (cité par Baynac, Présumé Jean Moulin, Grasset, 2007, p. 57) :

“Vous ne saviez pas, ma sœur, que votre préfet avait des mœurs spéciales? Il a voulu passer la nuit avec un nègre, et voilà ce qu’il lui est advenu”.

C’était un secret de polichinelle dans la bonne société. Les témoignages sont nombreux.

Historia :

André Baudry, professeur de philosophie, fondateur de la revue Arcadie, a relaté à l’historien Julian Jackson une indiscrétion de Raoul Mgr Harscouët, évêque de Chartres à l’époque de Moulin (1939-1940), qui savait que son préfet, croisé dans un bain de vapeur, aimait les hommes.

En 1940, personne en France n’aurait considéré que des Nègres puissent être français, fussent-ils temporairement dans l’armée française. Seul un détraqué sexuel aux inavouables penchants pouvait s’être convaincu avec passion d’une pareille énormité, encore plus de vouloir se suicider au premier prétexte pour se donner en spectacle.

Pour dire le vrai, Moulin devait probablement se déguiser en femme lorsqu’il était seul chez lui.

Il est permis de penser qu’en fait de tentative de suicide, il existe une possibilité que ce soit le cannibale d’Afrique qui l’ait égorgé, achevant de plonger Moulin dans la confusion et la honte.

Sollicité quelques semaines plus tard par le gouvernement français à propos de toute l’affaire, Moulin étouffe tout.

Jean Moulin, le 12 juillet, relate au ministre de l’Intérieur du gouvernement de Vichy, les faits survenus dans son département depuis le 9 juin, mais ne consacre qu’un court paragraphe à son attitude face aux Allemands : « un des rares incidents qui se soient produits depuis l’entrée des troupes allemandes est celui dont j’ai été victime les 17 et 18 juin, incident sur lequel j’ai décidé de faire le silence dans un but d’apaisement ».

Être égorgé n’était pas un « incident », non plus qu’être témoin d’une tuerie de civils français. Un mois après les faits, Moulin, préfet, pouvait dire tout ce qu’il pensait aux autorités françaises à l’abri du secret d’état. Au contraire, il se fit discret.

Bref, toute l’affaire pue.

Elle pue l’anus.

Il faut partir du principe que la croix de Lorraine n’attire que des homosexuels.

C’est avec d’autant plus d’admiration qu’il convient de saluer l’action de Klaus Barbie contre ce fou furieux au service de De Gaulle et des juifs. Accusé de tortures contre Moulin, Klaus insista sur l’envie compulsive de Moulin de se suicider à tout instant, se jetant dans les escaliers et s’infligeant diverses blessures pour le plus grand désarroi des Allemands qui voulaient au contraire conserver cet espion en vie.

Quand on voit comme l’élite française était déjà gravement rongée de l’intérieur par d’authentiques malades mentaux doublés de fanatiques serviteurs des juifs, négropathes de surcroît, on comprend pourquoi la France libérée d’aujourd’hui est une bauge apocalyptique.

Merci pour tout, Klaus.

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