Les antifas établissent leur QG à l’Assemblée post-nationale

La rédaction
Démocratie Participative
06 avril 2023

 

L’extrême-gauche a pleinement pris possession de l’Assemblée post-nationale.

Comme il y a plein de salles et que la NUPES dispose de nombreuses femmes blanches obèses qui s’ennuient, elle a organisé un énième truc sur « l’extrême-droite ».

Ils invitent carrément les antifas, dont leur meneur, Raphaël Arnault, pour parler de « violence ».

Comme c’est de rigueur, le meneur des antifas lyonnais, fils d’avocat, est bien sûr issu de la bourgeoisie la plus établie.

C’est Aurélien Taché, connu pour ses problèmes d’alcool et soudoyé par les intérêts musulmans, qui a jugé utile de le convier.

On atteint les limites de l’absurde, mais rien ne peut plus nous étonner dans cette république finissante où les juifs et les rouges sont en roue libre.

Arnault n’est pas contre l’utilisation de la violence politique, mais à une condition : que ce soit la gauche qui en ait le monopole.

Encore faut-il savoir de quelle gauche il s’agit.

Ce type a créé une organisation en 2018 à cette seule fin, la « Jeune Garde antifasciste », rassemblement hétéroclite de mythos gauchistes avec des physiques de victimes.

Arnault est lui-même un porte-manteau.

L’orientation idéologique de ce groupe violent est volontairement floue, mais il s’agit bien d’une faction opportuniste issue du trotskisme.

Son logo reprend d’ailleurs celui de la sociale-démocratie.

En 2021, le trotskiste Abel Mestre, lui-même ancien membre du NPA, leur a ouvert les portes du journal Le Monde, propriété des oligarques juifs Pigasse et Niel.

Mélenchon est aussi de formation trotskiste et ne s’en cache pas.

En 2019, il est parti au Mexique en pèlerinage dans la résidence de son premier mentor, Lev Bronstein.

On ne dira jamais à quel point Ramon Mercader a rendu service à l’humanité.

Tous ces trotskistes récusent la dictature du prolétariat conceptualisée par Lénine qui suppose la dictature du parti théorique des prolétaires, le parti communiste. Cela n’empêche pas les trotskistes de prétendre incarner la seule continuité du léninisme contre le « stalinisme », stalinisme qui n’a jamais existé. Staline a toujours rigoureusement appliqué les principes léninistes, ainsi que Mao.

Ces trotskistes jargonnent, mais ce sont bel et bien des sociaux-démocrates dont la seule idée stable est de servir la démocratie juive, pas de la renverser.

D’ailleurs Mélenchon ne parle jamais de révolution, mais de « révolution citoyenne », ce qui ne veut rien dire d’un point de vue léniniste, ni même marxiste.

L’antifascisme est un écran de fumée suffisamment épais pour semer la confusion à l’extrême-gauche. Il permet d’aimanter des éléments potentiellement violents et de subordonner leur violence à la défense de la gauche établie plutôt qu’à une action révolutionnaire contre l’État et sa classe dirigeante.

La gauche établie se résume désormais à la NUPES, nébuleuse incohérente uniquement soudée par l’opportunisme électoral.

Mélenchon a besoin de nervis, pas de révolutionnaires marxistes, et c’est ce rôle de chien de garde de la NUPES qu’Arnault remplit. C’est pour cette raison qu’il reprend les symboles de la sociale-démocratie.

Le type a visiblement des troubles de la personnalité, avec une tendance narcissique évidente. La politique n’est qu’un moyen pour lui d’assouvir son besoin d’exister.

Avant de rallier Mélenchon, Arnault était un adepte du NPA trotskiste de Besancenot, lequel n’est qu’une vitrine des continuateurs du juif Ernest Mandel, trotskiste et sioniste.

Il était même soutenu par le phasme trotskiste Usul.

Comme d’ordinaire, les trotskistes ont dû faire sans le peuple.

Après ça, Arnault a rallié Mélenchon.

Sur Lyon, le journal Lyon Mag fait désormais sa retape régulière.

C’est une tendance générale dans toute la France, les journaux se rallient progressivement à la NUPES. Les écoles de journalisme ne sont plus seulement de gauche, mais des centres de formation wokistes dont l’opportunisme est l’axiome revendiqué.

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