Les créateurs japonais se lamentent de l’effroyable tyrannie woke que font régner les fiottes juives dans les jeux vidéos

La Rédaction
Démocratie Participative
02 octobre 2024

 

Les Japonais découvrent petit à petit la névrose dont souffre la nouvelle société occidentale.

Ils en souffrent.

Yuji Horii, le créateur de Dragon Quest III, se lamente.

« Sous le nom de respect des règles… c’est comme un dieu absolu… un mal déguisé en bien. Il n’existe pas de contenu qui ne mette pas quelqu’un mal à l’aise. Parce que la beauté et la laideur, le bien et le mal, sont différents pour les uns et les autres…

Il y a un concept religieux en Occident, en particulier en Amérique, qui influence leur approche de l’éducation sexuelle. Leur approche du respect des règles est très étroite d’esprit… Faire des affaires avec un pays aussi ridicule est vraiment frustrant. À cause de cela, le Japon est influencé négativement.

Dans Dragon Quest, vous pouviez choisir entre un personnage principal masculin ou féminin. Aujourd’hui, on ne peut plus choisir entre un homme et une femme. Nous devons les classer en Type 1 et Type 2.

Je me demande vraiment qui peut bien se plaindre de cela… ».

Les juifs, bien sûr.

Ce sont toujours les juifs et leur armée de femmes blanches et d’homosexuels.

Le prochain Metaphor: ReFantazio de SEGA est traduit par un horrible transexuel juif.

« Queer jewish »

Les juifs sont des dégénérés.

C’est parfaitement documenté depuis Weimar.

Mais ce sont surtout des destructeurs.

Il n’y a pas de « créateurs juifs ». Le juif saccage l’art car la beauté aryenne est pour lui, le parasite, une oppression.

Un « oeuvre » de Chaïm Soutine

Leur seule raison de vivre est de tourmenter les autres peuples en les plongeant dans la laideur et le désespoir absolus.

Adolf Hitler en parle dans Mein Kämpf.

Quand les juifs disent que les raisons de l’antisémitisme d’Adolf Hitler sont « mystérieuses » voire « inexplicables », ils mentent encore pour ne pas attirer l’attention du curieux qui ne manquerait pas d’éprouver les mêmes sentiments à sa lecture.

Adolf Hitler n’était pas antisémite à son arrivée à Vienne. En fait, les discussions à caractère antisémites le mettait très mal à l’aise :

Ce fut seulement quand j’eus quatorze ou quinze ans que je tombai fréquemment sur le mot de Juif, surtout quand on causait politique. Ces propos m’inspiraient une légère aversion et je ne pouvais m’empêcher d’éprouver le sentiment désagréable qu’éveillaient chez moi, lorsque j’en étais témoin, les querelles au sujet des confessions religieuses.

À cette époque, je ne voyais pas la question sous un autre aspect.

Il n’y avait que très peu de Juifs à Linz. Au cours des siècles ils s’étaient européanisés extérieurement et ils ressemblaient aux autres hommes ; je les tenais même pour des Allemands. Je n’apercevais pas l’absurdité de cette illusion, parce que leur religion étrangère me semblait la seule différence qui existât entre eux et nous. Persuadé qu’ils avaient été persécutés pour leurs croyances, les propos défavorables tenus sur leur compte m’inspiraient une antipathie qui, parfois, allait presque jusqu’à l’horreur.

Adolf Hitler n’était pas différent de nos philosémites actuels qui ne comprennent pas le juif. En revanche, il était d’une grande curiosité et d’une intégrité inébranlable qui le portèrent à passer outre ses réflexes.

Arrivé à Vienne où les juifs étaient nombreux, il commença a remarquer que quelque chose ne correspondait pas à la réalité.

Les faits à la charge de la juiverie s’accumulèrent à mes yeux quand j’observai son activité dans la presse, en art, en littérature et au théâtre. Les propos pleins d’onction et les serments ne servirent plus alors à grand-chose ; ils n’eurent même plus d’effet. Il suffisait déjà de regarder une colonne de spectacles, d’étudier les noms des auteurs de ces épouvantables fabrications pour le cinéma et le théâtre en faveur desquelles les affiches faisaient de la réclame, et l’on se sentait devenir pour longtemps l’adversaire impitoyable des Juifs. C’était une peste, une peste morale, pire que la peste noire de jadis, qui, en ces endroits, infectait le peuple. Et en quelles doses massives ce poison était-il fabriqué et répandu ! Naturellement, plus le niveau moral et intellectuel des fabricants de ces œuvres artistiques est bas, plus inépuisable est leur fécondité, jusqu’à ce qu’un de ces gaillards arrive à lancer, comme le ferait une machine de jet, ses ordures au visage de l’humanité.

J’entrepris alors d’examiner soigneusement les noms de tous les fabricants des productions malpropres que révélait la vie artistique. Le résultat de cette enquête fut de plus en plus défavorable à l’attitude que j’avais observée jusqu’alors à l’égard des Juifs. Le sentiment avait beau se cabrer, la raison n’en tirait pas moins ses conclusions.

Le fait est que les neuf dixièmes de toutes les ordures littéraires, du chiqué dans les arts, des stupidités théâtrales doivent être portés au débit d’un peuple qui représente à peine le centième de la population du pays.

Il n’y a pas à le nier ; c’est ainsi.

Mais mon évolution fut hâtée par l’observation de toute une série d’autres phénomènes. Je veux parler de la conception qu’une grande partie des Juifs se fait des mœurs et de la morale et qu’elle met ouvertement en pratique.

À ce point de vue, la rue me donna des leçons de choses qui me furent souvent pénibles.

Le rôle que jouent les Juifs dans la prostitution et surtout dans la traite des blanches pouvait être étudié à Vienne plus aisément que dans toute autre ville de l’Europe occidentale, exception faite peut-être pour les ports du sud de la France. Quand on parcourait le soir les rues et ruelles de la Leopoldstadt, on était à chaque pas, qu’on le voulût ou non, témoin de scènes qui restèrent ignorées de la majorité du peuple allemand jusqu’à ce que la guerre eût fourni aux soldats combattant sur le front oriental l’occasion d’en voir ou plus exactement d’être forcés d’en voir de pareilles.

La première fois que je constatais que c’était le Juif impassible et sans vergogne qui dirigeait de la sorte, avec une expérience consommée, cette exploitation révoltante du vice dans la lie de la grande ville, un léger frisson me courut dans le dos.

Puis la fureur s’empara de moi. 

Adolf Hitler arriva à Vienne en libéral et philosémite et en sortit consommé d’une violente haine vis-à-vis de la race juive. Loin d’être « inexplicable » ou « mystérieuse », cette conversion était le fruit de l’étude froide, minutieuse et implacable du juif, maître de la capitale austro-hongroise.

Aujourd’hui, le pouvoir de destruction du juif est infiniment démultiplié par le contrôle qu’il exerce sur un autre empire : l’Amérique, épicentre du système occidental.

Dans son commerce actuel, le juif comme agent de putréfaction s’emploie à rendre impossible la vie de l’homme blanc.

D’une part le féminisme – une autre création de quelques cervelles hébraïques d’Amérique du Nord – impose aux hommes blancs une pudibonberie de plus en plus oppressante en les faisant passer pour des violeurs en puissance.

La duplicité du juif devient apparente lorsque l’on constate simultanément l’exhibitionisme homosexuel tout aussi oppressant dont le but n’est autre que de détourner l’homme blanc de la femme blanche et inversement.

Dans son action destructrice, le juif s’adjoint naturellement les éléments dégénérés qu’il trouve sur son chemin, supplétifs indispensables à son influence.

L’énorme industrie du jeu vidéo ne pouvait laisser indifférent le juif qui l’a très tôt identifié comme un moyen de répandre son poison dans l’esprit de la jeunesse non-juive.

Le juif est certainement moins visible au quotidien que les musulmans, mais sa capacité de destruction des sociétés blanches est sans commune mesure.

Pour régénérer les peuples blancs, il faut d’abord stopper l’empoisonnement des esprits sans lesquels aucune action ne sera véritablement possible.

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