Les dirigeants américains avertissent Netanyahu de « conséquences catastrophiques » pour les juifs en cas de guerre au Liban

La Rédaction
Démocratie Participative
10 septembre 2024

Netanyahu est satisfait du volume de sang qui coule à Gaza. Son prochain projet est un carnage encore plus colossal, cette fois au Liban. Bibi est convaincu que le sang des bébés libanais a une saveur extraordinaire.

Les Américains sont peu enthousiastes à l’idée de devoir faire la guerre de Netanyahu contre le Liban.

The Times of Israël :

Une guerre totale entre Israël et le Hezbollah au Liban pourrait avoir des « conséquences catastrophiques et imprévues », a déclaré un haut fonctionnaire américain lors du sommet Middle East America Dialogue (MEAD) qui s’est tenu lundi à Washington.

L’idée qui prévaut est la suivante : « Entrons en guerre, nous détruirons tous les missiles du Hezbollah et tout ira bien ». Ce n’est pas aussi simple. Il n’y a pas de solution magique. L’autre partie ne peut pas être anéantie. À la fin de la guerre, Israël risque de payer un lourd tribut et de ne pas atteindre ses objectifs », a déclaré le fonctionnaire cité par le journaliste israélien Barak Ravid, tout en recommandant une solution diplomatique plutôt que militaire pour apaiser les tensions frontalières.

« Il n’y a pas de guerre qui se déroule dans les conditions du laboratoire. Ce n’est pas un jeu. Je ne doute pas des capacités de Tsahal, mais nous devons penser au fait qu’il y aura de graves conséquences pour les deux parties », a ajouté le responsable américain, qui s’exprimait le deuxième jour de la conférence de Washington présidée par deux anciens hauts fonctionnaires de l’administration américaine, Dennis Ross et Elliot Abrams, et deux anciens ambassadeurs américains en Israël, Tom Nides et David Friedman.

Le fonctionnaire a affirmé que si une guerre devait éclater, la communauté internationale interviendrait pour parvenir à une solution diplomatique similaire à celle qui peut être trouvée aujourd’hui.

Dans des extraits de la conférence publiés par des sites de médias hébreux, le responsable américain a averti que des milliers, voire des dizaines de milliers de personnes pourraient être tuées si les tensions dégénéraient en une guerre totale, et que les infrastructures israéliennes et libanaises subiraient de lourds dommages.

S’exprimant dimanche lors de la même conférence, l’ancien ministre du cabinet de guerre Benny Gantz a déclaré qu’Israël devrait déplacer son attention de Gaza vers la frontière libanaise, déclarant que « nous sommes en retard sur ce point », tout en avertissant qu’une guerre avec le groupe terroriste soutenu par l’Iran est imminente si Israël ne conclut pas rapidement un accord de prise d’otages et de cessez-le-feu avec le Hamas.

Alors que M. Gantz et d’autres responsables israéliens affirment qu’une opération militaire d’envergure contre le Hezbollah est le seul moyen de permettre aux dizaines de milliers d’Israéliens qui ont été évacués de leurs maisons à la frontière nord depuis octobre de rentrer chez eux en toute sécurité, le responsable américain a averti que de nombreux civils pourraient être tués dans les combats et qu’ils n’auraient pas de maisons où retourner, selon M. Ravid.

Toutefois, selon des citations publiées par le quotidien Israel Hayom, le fonctionnaire a également soutenu la position d’Israël selon laquelle il ne peut plus tolérer la présence du Hezbollah le long de sa frontière à la suite des atrocités perpétrées par le Hamas le 7 octobre.

Le retour au « statu quo du 6 octobre » ne permettrait pas de rétablir la sécurité des habitants du nord d’Israël, a déclaré le responsable, car le Hezbollah retournerait probablement à la frontière israélo-libanaise, bien que la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies lui interdise de maintenir une présence militaire au sud du fleuve Litani.

Netanyahu a une méthode simple : se sortir d’une guerre par une autre guerre.

En l’occurrence, contre l’Iran en se servant du Hezbollah comme hameçon.

À charge pour les démocraties d’obéir et de la faire à la place des juifs.

Si cette guerre éclate, la France sera automatiquement engagée dans le conflit car la France est au service des juifs.

Netanyahu n’est pas arrivé à grand chose à Gaza militairement. Il se contente d’éliminer des civils en masse.

On voit mal ce qu’il parviendrait à faire contre le Hezbollah qui est une organisation militaire autrement plus redoutable que le Hamas.

Ceci dit, ces juifs ne sont pas vraiment rationnels, on ne peut donc pas attendre de leur part un comportement identique au nôtre.

Leur organisation est aux mains de fanatiques qui sont convaincus que leur « messie » va arriver d’un moment à l’autre.

C’est ce que le gouvernement français appelle l’avant-garde des droits de l’homme. Ce qui est correct, dans la mesure où, dans le judaïsme, seuls les juifs sont des hommes à proprement parler.

Le ministre israélien de la défense et le ministre des finances Smotrich ce soir :

« Quelques instants avant la rédemption, nous ne devons pas hésiter. Nous devons détruire Rafah, Nusseirat et Dir al-Balah, « effacer la mémoire d’Amalek ». …Il n’y a pas de demi-mesure. Rafah, Dir al-Balah, Nusseirat, destruction absolue ! »

Étendre le chaos messianique est le seul et unique plan de ces juifs de Tel Aviv.

L’armée américaine ne voit pas les choses avec autant d’enthousiasme.

À la fin, ce sont les juifs qui décident.

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