Les femmes blanches très en colère après la décision du Wyoming d’interdire l’empoisonnement des foetus par pilule abortive

La rédaction
Démocratie Participative
18 mars 2023

 

Les traînées vivent leur pire cauchemar au Wyoming.

Elles vont devoir faire plus attention à ce qu’elles laissent entrer dans leur vagin.

BFMTV :

Le Wyoming est devenu vendredi le premier État américain à interdire la pilule abortive, ce qui constitue une nouvelle victoire pour les conservateurs qui entendent faire reculer l’accès à l’avortement aux États-Unis.

Le gouverneur du Wyoming, Mark Gordon, a appelé les législateurs à aller plus loin et inscrire une interdiction totale de l’avortement dans la constitution de cet État et de la soumettre au vote des électeurs.

Cette décision intervient au moment où de nombreux opposants à l’avortement cherchent à faire interdire la pilule abortive sur l’ensemble du territoire américain, après la décision l’an dernier de la Cour suprême d’enterrer le droit à l’avortement au niveau fédéral. Depuis, une quinzaine d’États ont décidé de bannir toutes les interruptions de grossesse sur leur sol.

Sales fascistes, je veux pouvoir empoisonner mon futur enfant et continuer de baiser bourrée sur les parkings !

Une décision à ce sujet est également attendue prochainement au tribunal d’Amarillo au Texas où un juge fédéral ultraconservateur doit rendre une décision autour d’une éventuelle interdiction au niveau fédéral de la mifépristone (RU 486).

Cette pilule, la plus largement utilisée pour les interruptions médicamenteuses de grossesse, a été autorisée en 2000 par l’Agence américaine du médicament (FDA). Le juge fédéral du Texas, Matthew Kacsmaryk, pourrait ordonner qu’elle soit retirée du marché dans tout le pays.

Les législateurs texans examinent également une proposition qui, non seulement interdirait les pilules abortives, mais exigerait également des fournisseurs d’Internet de l’État qu’ils bloquent l’accès aux sites où ces pilules sont vendues par correspondance.

Mark Gordon, le gouverneur du Wyoming, a déclaré qu’il n’entendait pas reculer dans sa lutte contre l’avortement.

« Je crois que toute vie est sacrée et que chaque individu, y compris les enfants à naître, doit être traité avec dignité et compassion », a déclaré Mark Gordon vendredi soir.

Imaginez traiter les enfants à naître comme des êtres humains.

L’horreur, quasiment le nazisme.

Depuis que la Cour suprême des États-Unis a rendu, en juin l’an passé, sa liberté de légiférer à chaque État, une quinzaine d’entre eux ont limité l’accès à la mifépristone en exigeant qu’un médecin la fournisse, selon le centre de recherches Guttmacher Institute qui défend le droit des femmes à avorter.

Si le juge fédéral du Texas se prononce pour une interdiction nationale de la pilule abortive, des groupes de défense du droit à l’avortement affirment que cela aura un retentissement aussi important que l’arrêt de la Cour suprême de l’année dernière.

Les hommes féministes ont réagi au quart de tour.

Dans pas très longtemps de nombreux États américains auront le niveau civilisationnel de l’Afghanistan, la grande régression est en marche…

— Pierre Vak (@piervak) March 18, 2023

Avant l’avènement de la pilule abortive dans les années 1960, le monde blanc était identique aux immensités arides de l’Hindu Kush, comme chacun sait.

Les garces aussi sont extrêmement acides.

Et comme d’habitude, elles avouent que leur seule fonction en ce bas monde est liée à leur chatte.

Moi je dis grève du sexe! Ça les calmera ces vieux cons!!!

— Freche Marie (@frch_ninette) March 18, 2023

Il est vrai que les femmes de couleur sont celles qui avortent le plus aux USA, à 67% du total (39% pour les femmes noires), mais les femmes blanches ne représentent plus que 54% des femmes américaines de 15 à 44 ans en âge d’avoir des enfants.

Ceux qui voudraient défendre l’avortement pour cette raison – se débarrasser d’un maximum de non-Blancs – oublient que la question raciale n’est pas que quantitative, mais aussi qualitative. Un homme blanc génial peut bouleverser le monde dans son domaine. Les Noires peuvent avorter 200 millions de négrillons sans que cela n’ait aucun impact pour le développement de la race noire.

La raison pour laquelle les femmes noires avortent davantage s’explique par le fait que les femmes noires sont trop stupides pour gérer la contraception avec l’expertise dont sont capables les traînées blanches. Les Noires avortent plus, mais ne couchent pas plus que les Blanches. Les Blanches sont simplement plus machiavéliques en raison de leur QI plus élevé et peuvent donc naviguer parmi les bites avec une agilité bien supérieure à une Négresse du ghetto.

Une Négresse n’a vraiment aucune idée à ce sujet, ni les Nègres qui défilent dans son appartement.

L’autre raison, c’est qu’une femme noire sait qu’aucun homme noir ne remplira sa fonction de père et qu’elle finira seule. Soit que le géniteur noir s’est enfui, soit qu’il est en taule, soit qu’il a fait une overdose ou encore qu’il est mort dans une fusillade entre gangs.

Peu importe leur nombre, les Noirs se contentent de voler pour se droguer et se tirer dessus.

Le différentiel quantitatif ne justifie pas de voir 330,000 enfants blancs tués par leurs mères chaque année.

Il est infiniment plus préjudiciable pour la race blanche de perdre 100 génies que de subir 4 ou 5 millions de Nègres supplémentaires dans un pays comme les USA. D’autant que ces Nègres finissent de toute façon en prison ou morts.

L’autre dimension de la question de l’avortement, c’est qu’elle est liée à l’institutionnalisation de l’hypergamie féminine comme norme sociale. L’homme blanc ne pourra jamais résoudre la question raciale, ni aucune autre question, sans être le maître de la femme blanche dont la fonction est de perpétuer la destinée de l’humanité aryenne. Tant que nous vivons dans cette inversion anthropologique où les femmes dictent la marche de la société, tout ira de pire en pire.

Reprendre le contrôle du processus reproductif est le but stratégique numéro un de tout peuple blanc qui veut se redonner un futur. Sinon, vous avez la situation actuelle, avec une natalité blanche en berne, une immigration non-blanche massive et tous ces perdants qui se consolent en se disant que l’avortement permet de ralentir marginalement la mise en minorité des Blancs.

Pour que l’homme blanc règle la crise raciale, il faut qu’il soit d’abord aux commandes de son pays et qu’il puisse en régler les paramètres. Démanteler l’avortement est une des premières priorités pour ramener les femmes blanches au bercail racial et les réassigner à leur fonction naturelle qu’est la maternité.

Les retombées politiques, sociales, culturelles et démographique de l’abolition de l’avortement dans un pays blanc sont autrement plus positives que le maintien de cette culture judéo-féministe morbide qui domine actuellement le monde blanc.

Ceci dit, la France est à des années lumières de la résistance américaine. Nous avons la femme à chats à la barre du RN, suppléée par des homosexuels et ces gens mettent un point d’honneur à ne surtout pas fâcher les traînées.

Il faut quand même bien voir qu’un des piliers de l’électorat RN est le segment des Magalie et elles ne votent RN que parce que l’islam menace leur droit d’aller seule au LIDL.

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