Les fiers patriotes se mobilisent contre les identitaires européens (blancs)

La rédaction
Démocratie Participative
11 mai 2024

 

J’adore ce débat.

Le JDD :

La citoyenneté européenne a-t-elle une prise sur les Français ? Selon un sondage réalisé par les instituts Odoxa-Backbone pour Le Figaro, le rapport à la citoyenneté française reste prioritaire dans l’Hexagone. Ainsi, 91 % des personnes interrogées estiment être « en priorité français » contre 8 % en « priorité européens ». Mais cette proportion, estimée à un mois des élections européennes, ne fait pas l’économie d’un constat d’une identité plurielle pour une majorité de Français.

Alors que 86 % se déclarent être « fiers d’être Français », près de 6 Français interrogés sur 10 exhibent également leur « fierté d’être européens ». Dans le détail, ce rapport à la France et à l’Union européenne s’avère disparate selon le positionnement politique. Pour les partis assumant un fort héritage européen, comme Renaissance ou Les Écologistes, la « fierté d’être français » et « d’être européens » se situe quasiment au même rang, variant de deux à quatre points.

En revanche, l’écart s’avère abyssal pour les électeurs du Rassemblement national, puisque 86 % se disent « fiers d’être français », contre 40 % « fiers d’être européens ». Cet étiage correspond au programme du RN, résolument opposé à une Europe fédérale et prônant une Europe des nations, comme l’indiquait sa tête de liste, Jordan Bardella.

« L’Europe des nations » – l’Europe des états plus exactement – est ce qui existe actuellement.

La Commission Européenne, qui détient le véritable pouvoir de cette ONU continentale, est composée de 27 commissaires, un par état, désignés souverainement par les 27 états-membres.

La Commission Européenne est tout simplement à l’image des états qui la désigne. Ces états étant tous dirigés par des oligarchies cosmopolites, sans-frontiéristes et pro-américaines, la Commission Européenne est pro-américaine et sans-frontiériste.

L’idéologie profonde de l’UE est celle des états démocratiques, celle des droits de l’homme (marron). Rien ne distingue l’idéologie de la France, de l’UE ou de l’ONU.

C’est la même idéologie sans-frontiériste d’essence juive.

Le sondage témoigne également des différences d’engagement des citoyens français dans le cas du déclenchement d’une guerre. Au total, près de la moitié (49 %) serait prêt à se battre dans l’armée française, contre plus d’un quart (26 %) pour l’Europe. Les sympathisants du RN sont les personnes étant le plus enclins à s’engager pour la France (60 % contre 21 % pour l’Europe), contrairement aux électeurs de La France Insoumise (43 % pour la France contre 39 % pour l’Europe).

J’ai remarqué, au fil des ans, que les Français sont incapables de visualiser ce qu’est l’Europe et de distinguer notre continent, ses peuples, et l’Union Européenne, le truc administratif de Bruxelles. Vous pouvez répéter mille fois à un Français que l’Europe est une notion vieille de 25 siècles, qu’il y a un continent européen et des peuples européens, rien n’y fait : pour un Français, l’Europe, c’est l’UE.

C’est un peu comme si un Américain ne parvenait pas, au plan cognitif, à distinguer l’Amérique du Nord du gouvernement fédéral américain de Washington.

Et comme certains Français sont très hostiles à l’UE, ils s’excitent très longuement pour nier que l’Europe existe. Les plus radicaux vont même jusqu’à dire que si l’Europe n’a aucune réalité physique, il existerait en revanche un beau continuum culturel allant de Dieppe à Brazzaville, par le miracle de la colonisation et de la langue française. C’est à peu près la trame élémentaire du souverainisme : recréer, par un moyen ou un autre, l’empire café-au-lait.

Je dois dire que cette idée est certainement baroque, mais aussi mortelle à l’heure du cataclysmique démographie nègre.

Être européen, c’est tout simplement être blanc et de culture aryenne (« indo-européenne »), c’est appartenir à la race dite « caucasienne » qui a émergé des plaines orientales d’Ukraine il y a 50,000 ans. Ce sang a irrigué le continent et lui a donné vie, comme grand foyer de culture.

Replacées sur le temps long, les nations européennes actuelles ne sont que des sous-ensembles régionaux récents du monde aryen et le nationalisme moderne un régionalisme qui se limite à une aire géographique, comme jadis les cités-états grecques. Prétendre à une incompatibilité fondamentale entre ces différentes composantes de l’Europe est une idée grotesque.

Sparte et Athènes, séparées de 236 kilomètres, se sont faites la guerre pendant des siècles bien qu’en pratique, ces gens étaient identiques.

À l’époque, si le monde grec était culturellement uni et homogène, il était politiquement très divisé. Aurait-on demandé à un Spartiate s’il se sentait « en priorité Spartiate » avant d’être grec, il aurait répondu par l’affirmative.

La question de l’unité est une question politique qui découle de la nécessité. Aujourd’hui, les états-nations d’Europe ne sont plus guère que des objets trop vieux pour être en mesure de faire quoi que ce soit, mais encore trop récents pour être dépassés.

Comme en Grèce, c’est une question d’échelle. Tant que la Grèce était sa seule mesure, les cités-états pouvaient se maintenir indépendantes. Spartiates et Athéniens ont finis unifiés, mais une puissance extérieure : la Macédoine d’abord, Rome ensuite.

Dans notre cas, c’est l’Amérique qui a unifié les cités-états que sont les nations d’Europe, raison pour laquelle l’Europe est entrée dans la voie de l’involution et de la dégénérescence raciale : elle a été conquise par sa colonie multiraciale.

Si l’Allemagne avait gagné la guerre, c’est elle, comme nouvel empire carolingien, qui aurait unifié le continent, sur une base raciale consciente, et mis en mouvement l’Europe pour mille ans.

Le résultat de cette défaite de l’Allemagne, donc de l’Europe indépendante,  c’est que Strasbourg est désormais une ville turque, mais demeure administrativement « française ».

De quoi satisfaire les droitardés.

Quand des abrutis parlent de « libération » en évoquant le 8 mai 1945, on est sûr d’avoir face à soi des empoisonneurs.

La « France libre », oui, mais sous la botte des juifs.

La droite réactionnaire, comme c’est sa fonction, s’agite d’impuissance en rabâchant sur le thème du « retour de l’état-nation » dans un pays peuplé de toutes les ethnies du globe, alors même que l’état-nation n’était qu’un effort d’unification et de standardisation culturelle par l’action de l’État.

Prôner ce stato-nationalisme, c’est prôner dans les faits l’amalgame autoritaire de toutes ces ethnies par la force de l’appareil d’état, c’est-à-dire le lent métissage racial. C’est le véritable mot d’ordre derrière « l’assimilation », impraticable, et la « laïcité ».

Paradoxalement, au plan opératif, le nationalisme en France, comme plébiscite de l’état-nation hérité de 1789, ne peut mener qu’à toujours plus d’abâtardissement racial et de dégénérescence antropologique, ce pour préserver une forme historique temporaire, « l’État », bureaucratie coloniale aux mains des juifs.

Le tricolore est le symbole de cette guerre à la race blanche, une réalité inconnue de 99,9% de la population française de souche.

Y’a bon 

C’est justement parce que la prolifération des races étrangères s’accroît toujours plus que les Européens, les Blancs, prennent conscience de leur proximité raciale par contrecoup. C’est la base de l’émergence d’une conscience européenne nouvelle, au sens véritable du mot, par opposition au patriotisme administratif qui commande, pour des raisons purement légalistes et géographiques, de se dire le compatriote d’un nègre d’Afrique titulaire d’un passeport similaire au sien.

Française

La question du 21e siècle en Europe est celle de l’émergence d’un patriotisme aryen (« indo-européen ») continental. Les états actuels à l’agonie, coquilles vides démocratiques, s’effondreront sous le poids de leur inconséquence historique. S’agiter pour sauver ces bureaucraties est aussi contre-productif que voué à l’échec, peu importe ce que l’extrême-droite démocratique dira et fera. Les démocraties constitutionnelles ne survivront pas plus que les monarchies au deux derniers siècles.

Il y a bien sûr pléthore de Français qui, par conditionnement chauvin, préfèreront infiniment cohabiter avec des nègres ou des maghrébins au motif qu’ils ont une CNI que de se solidariser des autres Européens. Dans une certaine mesure, plus la France devient multiraciale, orientale, islamisée, plus l’assimilation des indigènes à la culture invasive progresse et plus le monde blanc, chez les beaufs, est identifié à l’ennemi.

C’est le point de jonction entre l’ancien nationalisme chauvin hérité de 1914 et la haine antiblanche des métèques promue par la gauche radicale et le système en place.

Dès l’origine né dans le caniveau de la révolution française, le nationalisme français, adossé aux « droits de l’homme », était voué à devenir l’instrument des juifs et des métèques, machine à abrutir les Blancs pour en faire de la viande à métisser.

C’est la révolution et sa « nation » qui a proclamé l’égalité des nègres avec l’homme blanc et, plus odieux encore, proclamé l’abolition de l’esclavage pour ce motif.

Quiconque boit de ce calice devra le boire jusqu’à la lie.

On ne peut pas s’extraire de sa conclusion logique dès lors qu’on y souscrit.

L’extrême-droite démocratique, pas plus en France qu’en Grande-Bretagne, ne fera de miracle, ni ne ressuscitera l’état-nation. Elle ne fera que ratifier en temps et en heure son ralliement au camp de la Nouvelle Haïti, moyennant quelques conventions de pure forme, à base de flonflons tricolores.

Les racistes empêcheurs de négrifier en rond n’auront jamais bonne publicité chez les réactionnaires adeptes du patriotisme créole.

Une fois que l’on a dit cela, la question raciale et l’émergence d’une conscience raciale européenne ne dispensent pas de la création d’un état, bien au contraire. Aucune conscience collective ne peut agir sur l’histoire sans état, la question de l’État est donc au coeur de cette guerre pour la survie de la race blanche en Europe.

Où commencera-t-il ? C’est impossible de le dire. L’État allemand actuel est le produit d’un combat entamé par l’ordre teutonique il y a 8 siècles dans les Pays Baltes. Composé de Germains et de Slaves, et sans en avoir conscience à ses débuts, il a mis en mouvement, sous sa forme prussienne, le monde germanique entier après des siècles de lutte, jusqu’à embrasser la totalité de l’Europe à son apogée, en 1942.

Pendant quelques années, sous son action, l’Europe a été libérée du sémitisme par la Swastika, de l’Acropole au cercle polaire, de la steppe pontique où est né l’homme blanc, à Brest, à l’extrême-occident.

Mont Elbruz, Caucase, 1942

L’histoire, c’est le risque et l’imprévu.

Les patriotes euro-aryens devront se doter d’un état, peu importe sa taille première, peu importe où en Europe, et sédimenter par son moyen les bases de la renaissance et de la victoire de l’homme européen.

Ce projet d’état racial futur n’est pas incompatible avec l’amour traditionnel de la terre de ses ancêtres, mais faut-il encore comprendre la notion d’ancêtres pour ne pas s’engoncer dans une perception restrictive. Que l’on remonte suffisamment les générations et les ancêtres sont ceux de la même souche primordiale du Caucase qui a conquis l’Europe, les peuples solaires des steppes enneigées.

Il faut la plus longue mémoire pour avancer le plus loin et cet état devrait être un pont tendu entre le passé le plus lointain et le futur le plus lointain.

Que l’écrasante majorité des gens, en France ou ailleurs, plébiscitent ce qui l’ordre en place n’a aucune importance. L’histoire n’est pas faite par les majorités lestées d’habitudes et de poncifs, mais par les minorités révolutionnaires qui imposent leur volonté à la masse après l’avoir soumise à leurs conceptions. L’histoire n’est pas démocratique, aucun changement, pas même la proclamation de la démocratie, ne découle d’une action majoritaire. Toujours, une avant-garde dicte et commande.

À l’idée raciale en Europe il faut un état racial en Europe. C’est cette guerre-là qu’il faut mener, partout sur le continent. Il faut déjà l’annoncer pour qu’elle commence, que l’idée s’enracine pour que les esprits s’en emparent.

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