Les génocidaires juifs disent ne pas comprendre pourquoi le tribunal de Nuremberg veut les juger

La rédaction
Démocratie Participative
21 mars 2024

 

La demande du procureur du tribunal de Nuremberg de traduire en justice Netanyahou et Gallant pour « crimes contre l’humanité » a laissé les juifs sous le choc.

Netanyahou a longuement accusé le tribunal – et la terre entière – d’être « antisémite », un terme dont les juifs se servent habituellement pour désigner les goyim qui refusent de les servir aveuglément.

Le choc est d’autant plus grand que le concept même dont découle le tribunal de Nuremberg consiste justement à châtier les non-juifs.

À l’origine, il s’agissait de poursuivre les dirigeants de l’Allemagne nationale-socialiste, injustement agressée par la juiverie internationale.

Depuis, environ 120 pays ont rejoint cette institution. Ces pays ne sont pas tous sous le contrôle direct des juifs. L’incident, prévisible, est donc arrivé. C’est Bernard-Henri Lévy qui a le mieux résumé la situation.

14 mois séparent ces deux déclarations :

C’est en effet un des arguments récurrents des juifs : outre le chef de l’organisation armée dénommée « Israël », trois dirigeants du Hamas ont été cités à comparaître.

L’idée du procureur du tribunal de Nuremberg était d’éviter d’être accusé de partialité en ne poursuivant pas de Palestiniens. C’était bien mal connaître les juifs. Ils ont été encore plus estomaqués de se voir traiter à égalité avec des goyim.

Le président du CRIF, qui fait (mal) semblant d’être français, a dénoncé cette attaque contre la Torah.

La décision de poursuivre la direction du Hamas démontre exactement l’inverse de ce que disent les juifs, à savoir le biais philosémite de l’institution.

Je ne vois absolument rien que l’on puisse reprocher au Hamas. Il ne fait que résister à près de 80 ans de persécutions systématiques contre son peuple, muré vivant dans un ghetto régulièrement bombardé par les juifs.

C’est donc par complaisance vis-à-vis des juifs que le procureur a ajouté des dirigeants du Hamas à cette liste.

Le seul Ismaël Haniyeh a perdu trois de ses fils et plusieurs petits enfants suite à d’atroces opérations d’extermination perpétrées par la juiverie sanguinaire.

J’aimerais que nous ayions des résistants aryens aussi acharnés à libérer nos nations de l’emprise hébraïque. Tous ces hommes et leurs familles savent qu’ils seront exterminés par les juifs à cause de leur refus de se soumettre, mais ils résistent quand même et regardent la mort en face.

C’est autre chose que Marine Le Pen, ses chats et ses homosexuels.

Le moment où Ismael Haniyeh, chef du Hamas, apprend que ses enfants ont été tués.

Du côté de la France, c’est l’embarras. Depuis sept mois, médias et gouvernement martèlent que les juifs ont le droit de tuer qui bon leur semble en Palestine et dans les quantités de leur choix, parce qu’ils sont juifs.

Macron et sa bande, qui se servaient du tribunal de Nuremberg pour diffamer Vladimir Poutine et la Russie, ne peuvent pas du jour au lendemain qualifier de fraude l’institution à laquelle ils participent.

Netanyahou ne craint rien, bien entendu. Tout cela est symbolique. En revanche, les juifs ne bénéficieront plus du monopole du mythe de l’holocauste pour agir en toute impunité.

C’est ce monopole qui est en train de s’effondrer et c’est catastrophique pour la juiverie.

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