Les juifs de LCI se lamentent à propos des étudiants ukrainiens qui refusent d’aller à l’abattoir

La rédaction
Démocratie Participative
09 novembre 2023

 

L’affaire tourne mal en Ukraine.

Les experts qui prédisent une défaite russe imminente depuis deux ans expliquent à présent qu’ils ont toujours annoncé le contraire.

Il faut dire que l’armée ukrainienne est détruite à un rythme qui va en s’intensifiant.

La ville d’Avdiivka est le nouveau point du front où les Russes espèrent fixer les troupes ukrainiennes. Elles ont toujours refusé de céder une ville, comme Mariupol et Bakhmut, avec les conséquences désastreuses que l’on sait.

Les Russes vont répéter ce mode opératoire jusqu’à ce que les Ukrainiens n’aient plus de réserves en hommes compétents. Ou d’hommes tout court.

Les revers et les reculs sont donc inévitables, mais la politique fondamentale menée en faveur de l’Ukraine ne peut pas être questionnée. Le système a toujours raison.

Il faut donc désigner des coupables.

Les premiers, ce sont bien sûr ces cochons d’Européens, lâches et radins.

Vous, c’est-à-dire.

Ce type à fort accent est à deux doigts de vouloir cracher sur le premier contribuable français qui passe à sa portée.

Et enfin, les juifs.

Les juifs sont assez peu soucieux d’argent, vu qu’ils peuvent en voler autant qu’ils veulent grâce à la planche à billets américaine. Non, ce qui les tourmente, ce sont tous ces jeunes Slaves qui refusent d’aller à l’abattoir pour la race juive et son messie Zelensky.

La juive Galia Ackerman salive de haine sur LCI face à ce manque d’allant.

Elle veut qu’on aille les traquer partout pour les acheminer au front. Cette youpine fait un bruit infernal.

Historiquement, les juifs envoient les goyim mourir pour eux. Cela leur procure une grande joie intérieure.

Tout cela était prévisible. Si le nationalisme ukrainien avait été autre chose qu’un véhicule de l’OTAN et des buts de guerre juifs, il aurait dès l’origine cherché à préserver la neutralité de l’Ukraine, son intérêt d’évidence, et nourrit de bonnes relations avec la Russie. Après le putsch du Maidan en 2014, les juifs ont placé leurs hommes à la tête du pays pour s’en servir de chair à canon.

Le bilan est là. Quasiment toutes les femmes en âge d’avoir des enfants sont parties et elles ne reviendront jamais dans un pays en ruines, sans avenir, peuplé de vieillards ou d’éclopés, tous rendus fous et alcooliques par la guerre.

Il n’est pas impossible cette fois que les paysans ukrainiens refusent de mourir inutilement dans les ruines d’Adiivka.

Qui voudrait mourir dans un de ces trous à rats post-soviétiques perdus au milieu de nulle part ?

Et pire, pour les juifs ?

Le juif Zelensky a nécessairement prévu la chose et positionné des commissaires politiques chargés d’exécuter les mutins.

Souffrir sous les juifs est toujours un enfer, mais souffrir sous les juifs en Ukraine est le pire.

Quant à nous, et bien nous allons subir une marche pour la juiverie dimanche.

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