Les juifs s’affrontent pour savoir s’ils peuvent ou non sodomiser les prisonniers palestiniens

La Rédaction
Démocratie Participative
30 juillet 2024

 

Il y a un grand débat en Palestine occupée.

Les juifs se disputent pour savoir s’il est possible de sodomiser les captifs autochtones.

La majorité au pouvoir pense que oui.

Si l’on en juge par la cérémonie d’ouverture des JO, Macron doit penser la même chose.

Israël vit un moment semblable à celui du 6 janvier.

Des milices armées affirment avoir pris le contrôle des tribunaux militaires.

Des extrémistes, des membres de la Knesset et des ministres ont manifesté et pris d’assaut la prison de Sde Timan en Israël pour empêcher l’arrestation de 9 soldats israéliens (gardiens de prison) accusés d’avoir torturé et violé des détenus palestiniens.

Ils ont également demandé l’exécution des prisonniers palestiniens.

Par principe, les anus des hommes me semblent être quelque chose d’assez peu captivant, mais la culture orientale est différente.

Ces juifs sont vraiment déterminés à pouvoir disposer de l’anus de leurs prisonniers.

Des dizaines de colons israéliens ont pris d’assaut le quartier général de la police militaire à Bayt Lid en soutien aux soldats présumés du centre de torture de Sde Teiman qui sont interrogés après qu’un prisonnier palestinien ait été agressé et hospitalisé.

Le seul contexte où la chose pourrait me sembler intelligible est la légalisation de l’emploi du pal, comme dans la Roumanie médiévale.

Apparemment, ce n’est pas de cela dont il s’agit, mais bien de sodomie.

Le parlement en discute avec un grand intérêt.

Les législateurs israéliens débattent de la question de savoir s’il est acceptable pour les Juifs de sodomiser des prisonniers non juifs.

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Le mot « démocratie » est censé nous mettre dans la même sphère que cette entité dénommée « Israël », mais c’est douteux.

Que les juifs mettent des bulletins dans une urne quelque part dans un désert du Proche-Orient ne les rend guère plus proches de nous qu’une peuplade obscure d’Afrique centrale.

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