Les villes du Canada remercient Trudeau, prophète de la race indienne

La Rédaction
Démocratie Participative
08 octobre 2024

 

Trudeau n’a pas perdu de temps.

Sous son règne, entamé en 2015, le Canada a entamé sa marche finale vers la submersion raciale complète du pays.

Quelle chance de vivre dans un cloaque de la banlieue de Mumbai, la température glaciale en plus.

Cette vidéo provient d’un quartier résidentiel de Brampton, au Canada.

Imaginez que vous viviez dans cette rue.

Trudeau importe un demi-million de migrants par an.

Un plan colonial méthodique, brutal.

Pas une ville blanche, même la plus petite et la plus isolée, ne doit échapper à ce terrible sort qu’est l’immigration du sous-continent indien.

#BreakingNews : Le Canada maintient son plan de niveaux d’#immigration pour les 3 prochaines années à 485 000 pour 2024 et 500 000 pour 2025.

🇨🇦 À partir de 2026, les niveaux d’immigration du #Canada seront maintenus à 500 000.

La presse canadienne annonçait déjà à la population blanche ce qui lui était réservé d’ici à 2036, un destin qu’elle a massivement soutenu à toutes les élections : devenir une minorité haïe dans le pays qu’elle a construit.

Certains en France pensent que l’Algérie est l’endroit le plus désolé du globe.

C’est faux.

L’Algérie est presque un pays de haute culture par comparaison.

Dans cette partie de la planète où vit en maître l’Indien, les cadavres pourrissent dans les rivières, la défécation se fait de préférence dans la rue et les points d’eau, la sorcellerie tient lieu de religion à des centaines de millions de pratiquants affligés d’un QI de 75 points.

Les Indiens, loin d’être troublés par ces terrifiantes conditions de vie, prolifèrent au milieu des montagnes d’ordures qu’ils produisent sans fin, survivant au milieu des rats avec lesquels ils partagent le gîte et le couvert et qu’ils considèrent comme des créatures d’essence divine. La boisson la plus prisée d’Inde est le lait pourri dont se nourrissent les rats que le Pajeet vénère.

Le Pakistan ne s’est pas seulement séparé de l’Inde pour des raisons d’ordre religieux, mais aussi parce que le Pakistan est bien moins affecté par le sang dravidien qui fait la gloire de son voisin.

De ces contrées lointaines et inhospitalières, l’Occidental ne sait rien ou peu de choses. Il ne s’imagine dans quel environnement vivent chaque jour plus de 1,2 milliards de ces Indiens.

Une des légendes les plus anciennes du folklore barbare de l’Inde veut que le Pajeet doive sa couleur de peau à la terre qui s’est glissée sous elle à force de ramper nu dans le sol jonché d’excréments et de cadavres en décomposition qui a donné naissance à cette culture.

L’un des piliers de la religion indienne est la coulure anale de vache dont les Indiens se délectent. Ils organisent de grands festivals où ils dévorent des kilos entiers de cette déjection noirâtre fraîchement collectée.

Une antique prophétie de leur religion affirme qu’à la fin du monde, les Indiens couleront sur le monde par l’anus de leur dieu à tête de vache.

« Ce jour-là, dit la prophétie, le monde entrera dans une ère de ténèbres perpétuelle ».

Les Indiens croient avec ferveur à cette prophétie et fuient par millions leur terre natale ravagée pour étendre le règne de Kamadhenu, le bovin qui défèque éternellement.

D’après eux, le Canada joue un rôle central dans cette prophétie et les Pajeet voient en Justin Trudeau l’avatar de Rama, un des souverains de l’Inde fécale qui doit faire advenir ce règne éternel.

Demain, les villes canadiennes seront à l’image des quartiers les plus oubliés de la lumière du jour de New Delhi, ravagées par cette menace écologique de premier ordre.

L’Amérique fera prochainement l’expérience d’un débordement inédit venu du Nord.

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