L’État instaure la taxe de 500 euros sur le port du couteau de poche

Leutnant
Démocratie Participative
21 septembre 2024

 

Face aux attaques au couteau commises par les arabes, il y a deux options :

  1. Interdire les arabes
  2. Interdire les couteaux

Le choix des autorités françaises va vous surprendre.

Contrepoints :

Face à l’islamisme et aux attaques terroristes, l’État français a pris une mesure courageuse : interdire les Laguiole et les Opinel. Finis les pique-niques entre amis, fini le saucisson coupé sur les bords de Seine : le Laguiole est le danger.

Les couteaux de poche sont classés comme des armes de catégorie D dont le port est prohibé. Jusqu’à présent, une tolérance était appliquée. Mais face à l’ampleur des attaques « au couteau », l’État, qui veut votre bien, a décidé d’agir en renforçant les contrôles et les peines.

Désormais, vous encourez 500 euros d’amende et une inscription au casier judiciaire.

Voici ce que nous apprend Le Figaro :

« Ainsi, depuis le 17 avril 2024 dans les zones dépendant des parquets de Bobigny, Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Pontoise, Rennes, Saint-Étienne, Toulouse et depuis le 2 mai pour celles sous tutelle du tribunal judiciaire de Paris, les autorités expérimentent la mise en place d’une amende forfaitaire délictuelle (AFD) de 500 euros en cas de port ou transport « sans motif légitime » d’une arme de catégorie D. »

« Sans motif légitime », c’est-à-dire la toute-puissance de l’État qui pourra faire peser son arbitraire.

C’est sûr, les arabes vont arrêter de se promener avec une lame.

Plus de laguiole pour les Blancs

S’agissant d’une amende forfaitaire de cinquième classe, son paiement est automatiquement inscrit au casier judiciaire de la personne sanctionnée et entraîne mécaniquement son inscription au Fichier national des personnes interdites d’acquisition et de détention d’armes. Cela menace directement les chasseurs ainsi que les tireurs sportifs.

Les écologistes considèrent non ironiquement les chasseurs comme une menace plus grave que les djihadistes

Encore une fois, l’État lutte contre le port d’arme, pourtant acte légitime et principe de base d’un État libre. Cette fois-ci il va encore plus loin en s’en prenant aux couteaux de poche, objet de tradition et objet utile. Cela ne fera pas reculer les actes terroristes, mais plutôt que de s’en prendre à la racine du problème, l’État réduit les libertés publiques.

Mais la France n’est pas un état libre.

Encore une loi qui prétend régler un problème posé par les bogmoules qui va servir à désarmer et racketter un peu plus les Blancs pour renflouer la CAF. Ça s’appelle joindre l’utile à l’agréable.

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