« L’Europe n’existe pas, c’est la mule de l’Amérique » confirme le ministre turc de l’intérieur

La rédaction
Démocratie Participative
21 avril 2023

Mamouth a parlé

Les Turcs font le travail que les Européens ne veulent plus faire.

RT :

L’influence de l’Europe diminue et elle n’est rien d’autre qu’un « pion » des États-Unis, a déclaré le ministre turc de l’intérieur, Suleyman Soylu. Le responsable, qui faisait référence à l’UE et au Royaume-Uni, a tenu ces propos lors d’une rencontre avec des membres d’une association de jeunes à Istanbul mardi.

M. Soylu a affirmé que les dirigeants de l’UE sont de plus en plus discrédités, alors que le continent est confronté à de nombreux problèmes, allant du vieillissement de la population à la baisse de la production économique dans l’ouest du continent. Il a également affirmé que « l’Europe » avait perdu toute influence internationale depuis longtemps et qu’elle n’était plus qu’un vassal des États-Unis.

« L’Europe n’existe pas. N’y pensez pas trop. L’Amérique existe. L’Europe est une mule dans le convoi de l’Amérique. Elle n’a pas de caractéristiques spéciales.« 

Tu es passé de Napoléon et Hitler à Ursula Von der Leyen, gringo

Connu pour ses critiques acerbes à l’égard de Washington, M. Soylu a laissé entendre que les États-Unis eux-mêmes continuaient à perdre leur crédibilité. Washington est universellement « détesté » dans le monde entier, tandis que l' »Europe » est confrontée à une attitude similaire, en grande partie à cause de sa subordination, selon le ministre. « L’Europe » est aujourd’hui particulièrement détestée dans toute l’Afrique, car les nations locales méprisent à juste titre ceux qui les exploitent, a affirmé M. Soylu.

Nous sommes ridicules à suivre cet état hébraïque américain et sa tyrannie anale.

Mettre des femmes blanches ménopausées à la tête de l’UE n’arrange rien.

Le fait relativement nouveau, c’est que personne ou presque ne s’oppose à cette domination de la juiverie américaine sur l’Europe. Encore moins à gauche grâce au miracle anal. Il n’y a plus une guerre que les États-Unis lancent qui ne soit massivement soutenue par les gauchistes à présent qu’il s’agit d’aller injecter des bloqueurs hormonaux à des petits garçons.

Les gauchistes sont totalement bellicistes, pro-Ukraine et pro-guerre mondiale pour cette seule raison.

Et nous déclarons la guerre à la planète entière pour mettre les bonnes femmes et les homosexuels au pouvoir.

Ça ne peut que nous faire haïr du reste du monde.

À l’approche des élections générales prévues le 14 mai en Turquie, le ministre a également critiqué le modèle démocratique occidental, insistant sur le fait qu’il a été endommagé par les troubles actuels dans de nombreux pays occidentaux. Soylu a notamment évoqué les bouleversements politiques au Royaume-Uni, où trois premiers ministres se sont succédés l’année dernière.

« Nous constatons que la peinture démocratique en Europe et en Amérique s’est écaillée », a déclaré M. Soylu.

La démocratie ne fait plus rêver grand monde.

Son principe de base – 51% des gens ont raison parce qu’une majorité numérique a forcément raison – est le concept le plus absurde qui a jamais existé dans le domaine des idées politiques.

Ce principe permet de donner un droit de veto à la foule sur n’importe quoi, mais il y a une ficelle : quiconque contrôle les médias et maîtrise l’art de la propagande peut créer une majorité de zombies d’accord sur n’importe quoi et activer ce veto quand bon lui semble. En Occident, il se trouve que ce sont les juifs qui détiennent ce pouvoir.

90% des gens ont cru à la mortalité du Rhume19 et 90% des gens ont plébiscité l’empoisonnement Pfizer. Aujourd’hui, il est admis que le Rhume19 était un rhume et que le vaccin ne sert à rien.

La domination du bloc occidental n’existe plus, mais les États-Unis et l’Europe tentent toujours de persister dans leurs vieilles habitudes, a affirmé M. Soylu, avant de louer les efforts du président turc Recep Tayyip Erdogan pour garantir la « pleine indépendance » de son pays.

« Ce que notre président Recep Tayyip Erdogan est en train de faire, c’est de changer l’histoire du monde », a affirmé le ministre. « Le principal objectif de la Turquie est l’indépendance totale, et la Turquie atteindra cet objectif avec Erdogan ».

Je ne crois pas qu’Erdogan « change l’histoire du monde », ni même que la Turquie soit « indépendante » des États-Unis.

Si c’était le cas, les Turcs ne mendieraient pas en permanence du matériel US au juif Blinken.

Erdogan essaie de jouer les uns contre les autres pour gagner en marge de manoeuvre, mais ce n’est suffisant pour faire d’un état une puissance indépendante.

La Turquie a aussi un problème kurde à régler. Cette engeance prolifère à une vitesse sidérante. Les Turcs ont un taux de natalité de 2 enfants par femme contre 3,5 pour les Kurdes.

Les Kurdes représentent déjà 20% de la population de la Turquie, mais 50% de la population scolaire du pays.

C’est la raison pour laquelle Erdogan est si sensible à la présence kurde à la frontière turco-syrienne. Avec un tel désastre démographique en cours, l’agitation ethnique kurde aux abords du territoire turc est une menace très grave pour l’État turc.

La Turquie est en crise et comme en Europe, la cause est principalement démographique. Pour en sortir, seules des mesures extraordinaires pourront sauver cet état de la partition.

La démocratie juive, elle-même conditionnée par la démographie que les juifs sabotent, ne peut pas être la solution.

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