Lévy ordonne la mobilisation totale du régime contre les « antisémites »

La Rédaction
Démocratie Participative
04 juin 2024

 

La synagogue, assiégée, muscle le jeu.

Hier, à Paris, elle a sonné le tocsin. Ont répondu à l’appel de Bernard-Henri Lévy, grand maître de l’évènement, les cadres du régime.

La chaîne CNews couvrait l’affaire en direct. Pascal Praud était pleinement conquis par l’exercice. Il a consolé Gilles-William Goldnadel qui s’est lui-même longuement épanché sur les misères incompréhensibles qui frappent les juifs au beau milieu du carnage de masse de Gaza.

Bernard-Henri Lévy, lui, a préféré reprendre le ton qui a fait son succès et copieusement insulté la France sur scène.

Caroline Fourest représentait les gouines sionistes, si d’aventure ça existe.

Korsia, en charge des différents centres d’espionnage en opération en France, ce qu’on appelle des « synagogues », a également débarqué. Il a confirmé que l’Église Catholique était fermement entre les mains des juifs et que c’était là une force supplétive très utile.

Quand les juifs consentent à dire du bien des Nazaréens, c’est que ça va mal.

Le président du lobby pour sa part présente les nouvelles exigences de la meute.

Sur Israël 24, il a d’emblée dénoncé la radinerie patentée des autorités républicaines avant d’exiger un net durcissement.

Bernard-Henri Lévy est revenu à la charge aujourd’hui, cette fois sur BFMTV pour attaquer Mélenchon et d’autres gens.

Il a également fixé la ligne diplomatique de la France : soutien absolu à la machine de mort juive en Palestine.

Il se trouve qu’aujourd’hui, la gauche radicale avait décidé de planter à nouveau le drapeau palestinien dans l’Assemblée qui, à ce stade, n’est vraiment plus nationale. La campeuse Brau-Pivet a fondu un plomb devant l’audace de Rachel Kéké, qui, rappelons-le, ne sait pas parler français.

C’est une fin de régime où je ne m’y connais pas.

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