L’imam de la Grande Mosquée de Paris demande à voir les 6 millions d’actes antisémites dont parle Darmanin

La rédaction
Démocratie Participative
14 novembre 2023

 

Demander des éléments factuels devient risqué au pays des étoiles de David peintes par les juifs sur les murs.

L’imam de la Grande Mosquée de Paris vient d’en faire les frais sur BFM Drahi.

Ça devient étrange d’être d’accord avec les musulmans qui nous envahissent.

Darmanin a essayé de bricoler un argumentaire de circonstance.

Pour que les faits s’imposent, je publie ici le détail des actes anti-religieux connus du ministère de l’Intérieur depuis le début de l’année :
👉1762 faits antisémites ;
👉564 faits antichrétiens ;
👉131 faits antimusulmans.

Parmi les faits antisémites :

👉50% de tags, affiches, banderoles (parmi lesquels des « morts aux juifs », des croix gammées, etc) ;
👉22% de menaces et insultes ;
👉10% d’apologie du terrorisme ;
👉8% d’atteintes aux biens ;
👉6% de comportements suspects ;
👉2% de coups et blessures ;
👉2% d’atteintes aux lieux communautaires. 

Cette liste ne veut rien dire.

J’aime particulièrement « 6% de comportements suspects ».

Par exemple, n’importe qui peut taguer une croix gammée, et tout spécialement les juifs qui apprécient beaucoup ces activités nocturnes. Sans identifier les auteurs et leurs motivations, on ne peut pas a priori classer ça d’emblée comme un acte antisémite.

Les « actes antisémites » dont il est question sont des allégations, sans décision de justice à ce stade puisque l’on parle de l’année 2023. La plupart de ces « faits » ne sont actuellement que des accusations suivies d’une enquête, pas des faits constitués, prouvés et condamnés par une décision de justice.

Les procès dans ce domaine étant en plus toujours politiquement orientés, on sait à quoi s’en tenir, mais disons que c’est une base de données vérifiable. Il faudrait les chiffres d’affaires jugées, mais nous verrions la somme des dits « actes » être divisés par 10 ou 15.

Au reste, les juifs considèrent comme un acte antisémite le fait de s’exprimer librement à leur sujet. C’est ce qui constitue 95% de leurs jérémiades. Si l’on s’en tenait à des faits de violence, nous parlerions d’incidents que l’on peut compter sur les doigts d’une main en un an.

Autant dire que l’espèce d’équivalence que ces juifs essaient de créer alors que leur armée commet des crimes abominables à Gaza se dégonflera aussitôt.

Depuis cinq semaines, les juifs gouvernent l’opinion par un torrent d’agitation émotionnelle sans précédent grâce auquel ils font pleurer dans les chaumières. À chaque fois, nous découvrons que tout est faux, biaisé, fabriqué.

Le cas le plus exemplaire étant l’histoire des 40 bébés décapités.

Il y a eu les fausses étoiles de David taguées sur ordre des juifs.

Et puis le bébé faussement brûlé dans un four par le Hamas.

Et encore la fausse agression antisémite de Lyon.

On ne compte plus les mensonges des médias juifs qui se sont effondrés sur eux-mêmes.

Cet imam demande à juste raison que le slogan des 6 millions d’actes antisémites soit étayé par des données objectives et transparentes, pour que l’opinion sache exactement de quoi il retourne.

Comment voulez-vous « condamner » quelque chose dont vous ignorez tout ?

Mais quand on demande des faits aux juifs, on récolte des menaces.

A priori, la loi Fabius-Gayssot qui sert à interdire toute question à propos des chambres à insecticide d’Adolf Hitler sera prochainement étendue à tout ce que disent les juifs.

Quand un juif parlera, ce sera la vérité révélée et la contester sera purement et simplement passible de prison.

On se demande même pourquoi ce n’est pas déjà le cas en France.

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