« L’immigration légale est nécessaire » : le serviteur de Zemmour Damien Rieu explique pourquoi Meloni a raison de trahir en important un demi-million de migrants par an

La rédaction
Démocratie Participative
04 mai 2023

Goy, un demi-million de Musulmans supplémentaires, est-ce incompatible avec la défense de l’identité européenne, franchement ?

Si vous lisez régulièrement notre média alternatif, vous aurez remarqué que dès avant l’élection de la femme Meloni nous avons adopté une position totalement hostile contre elle et son parti. Pendant ce temps-là, le pire de la droite française hurlait son soutien pour cette traînée.

Extase à droite : une femme populiste prochainement à la tête de l’Italie

Techniquement parlant, on peut mesurer l’engouement d’alors au degré d’enjuivement de ses fans français. C’est aussi simple que ça. Plus ça célèbre le Likoud médiatique et ses morpions accrochés à nos écrans comme Goldnadel et consorts, plus c’était transcendé par la femme Meloni.

Ce serait franchement cruel de citer toutes les têtes de gondole droitistes qui ont applaudi l’avènement d’une femme blanche à la tête de l’Italie. D’autant qu’on nous accuserait de faire du mauvais esprit.

Si vous avez lu avec assiduité nos articles sur la question, vous verrez qu’un seul élément a suffi à déterminer notre position : son pèlerinage à Yad Vashem en Israël, en 2009, quand cette garce était sous-ministre de Berlusconi.

Si vous n’avez aucune idée de ce qu’est Yad Vashem :

Tous les chefs d’état sont tenus d’aller s’y prosterner en signe de soumission et de foi dans le plus grand mensonge de l’histoire humaine : le gazage à l’insecticide par des Blancs énervés de 6 millions de juifs dans une pièce quelque part en Pologne.

Ils défilent sans cesse, portant kippa, dans cette grotte dont l’atmosphère lugubre illustre parfaitement la laideur de l’âme juive.

Le système démocratique occidental qui procède à la destruction des peuples blancs par remplacement massif repose idéologiquement sur ce mensonge hébraïque, d’où sa centralité dans le dispositif idéologique ennemi et l’importance des moyens que ce système déploie pour enseigner à chaque jeune Blanc la haine de sa propre race. Le message implicite étant que tout homme blanc qui défend les intérêts de la race blanche est par nature un criminel.

Pour approfondir : Nuremberg ou la terre promise, Maurice Bardèche

Vous-même êtes forcément passé par ces cours de rééducation idéologique avec l’histoire d’Anne Frank et de son stylo Bic, le bouquin de Primo Levi « Si c’est un homme », le visionnage de la Liste de Schindler et de ses douches à gaz. Ce que le système appelle le « devoir de mémoire » n’est rien d’autre que l’ordre juif intimé à chaque Blanc de haïr sa race en rédemption de ses péchés inventés par les juifs.

Comme le dit Vincent Reynouard, personne, sauf les juifs, ne se lève le matin en pensant à la théorie de l’holocauste. Mais dès que la situation commence à se tendre sur n’importe quel sujet en Occident, le système mobilise le mythe fondateur de l’ordre établi qu’il a imprimé sur chaque cervelle dès le plus jeune âge pour rappeler la source religieuse de son autorité dans les affaires publiques et signifier aux goyim qui commande et pourquoi.

La menace d’être excommunié pour antisémitisme-racisme-nazisme suffit à disperser les mécontents comme une volée de moineaux.

La vidéo suivante dure 10 minutes et explique de manière claire et brillante pourquoi, tant que nous subirons la démocratie juive et sa clef d’explication du monde qu’est l’holocauste, rien, absolument rien ne pourra être fait de significatif qui soit de nature à inverser la catastrophe raciale actuelle qu’est le remplacement de population. La religion de l’holocauste, puissant poison incapacitant, permet à ce système de neutraliser les défenses immunitaires de l’homme blanc à chaque fois qu’il veut se défendre contre une agression étrangère.

C’est particulièrement vrai à chaque fois qu’une force politique nationaliste ou prétendue telle semble gagner en force.

C’est également vrai pour justifier de l’existence de la colonie raciale juive en Palestine.

La vidéo suivante de Vincent résume tout aussi efficacement la cause de l’impunité de l’état racial juif, la même qui a contrario explique la paralysie raciale blanche évoquée plus haut.

Ce qui renforce la race juive affaiblit la race blanche et vice versa.

Ce rapport dialectique est indépassable.

Bien sûr, vous pouvez rester indifférent à cette réalité, mais les juifs, eux, l’ont constamment à l’esprit et c’est tout ce qui importe parce qu’ils contrôlent l’usine culturelle qui façonne les esprits occidentaux. Vous n’avez pas besoin d’être antisémite pour que les juifs s’occupent de votre cas, qu’ils vous désignent comme tel suffit.

Nous avons de gros malins qui pensent que ces juifs vont « oublier » ce formidable outil de propagande en leur possession parce que des égorgeurs musulmans passablement antisionistes courent les rues occidentales et que ces mêmes juifs vont mettre de côté leur rhétorique génocidaire contre la race blanche pour rééquilibrer la situation.

Un paraplégique a plus de chances de voir une bourrasque déposer un ticket gagnant du loto sur son nez que de voir ces juifs abandonner la clef de leur puissance en Occident, donc dans le monde. Aucun coup de couteau par un Algérien énervé ne justifiera jamais un tel troc. Le juif se contentera de se barricader dans un quartier ultra-sécurisé qu’il aura obtenu gratuitement grâce à l’aide des gouvernements qu’il a entre ses mains.

Il n’y a pas de juifs « de droite » ou « de gauche », pas plus qu’il n’y a de Roms « de droite » ou « de gauche », il n’y a qu’une seule et unique race juive, nomade, avec différentes stratégies de prédation contre les autres races. D’ailleurs, ceux qui s’amusent à agiter ce concept ne nous parlent jamais de « Musulmans de droite » qu’il faudrait accommoder à la différence de « Musulmans de gauche » qu’il faudrait contrer. Ce genre de roucoulements n’est réservé qu’à nos hôtes jamais invités de Judée qui, pourtant, nous ont infligé bien plus de dommages et de préjudices que jamais l’entièreté du monde islamique.

S’il y a quelque chose que nous savons, c’est que les déterminismes raciaux sont monolithiques et que la race juive est une et indivisible dans ses atavismes, comme toutes les races. Cette fantaisie d’enjuivés irrigue bien entendu l’ensemble de la droite française qui a absorbé comme une éponge la mystique du pyjama rayé.

Un crétin qui parle de « juif de droite » prétend que le nomade juif peut prendre une douche et se débarrasser de sa haine innée pour le sédentaire aryen qu’il a passé des siècles à démoraliser, escroquer, égorger par tous les moyens en sa possession.

L’effroyable révolution bolchevique qui a montré toute la bienveillance du peuplé élu à l’égard de la race blanche est passée par pertes et profits, contrairement à l’absurdité des chambres à gaz que nous devons déguster en crudités à chaque repas.

Quand vous voyez un de ces singes de droite s’exciter sur l’extrême nécessité qu’il y a de se concilier les juifs au moment où l’homme blanc commence à vouloir s’ébrouer de ce parasite, vous pouvez être sûr que l’intéressé a commerce avec cette race maudite qui a flairé l’approche des fumigations.

Ce qui m’amène à Meloni

Ces rappels faits, nous avons donc en Europe toutes ces bandes de politiciens démocrates de droite qui ne cherchent pas à renverser la table, donc à détruire le système hostile édifié en 1945, mais à se mouvoir dans l’aquarium juif qu’on appelle la démocratie de marché.

La déception des naïfs est toujours au rendez-vous et la plus récente expérience de ce genre provient d’Italie qui est, rappelons-le, une république juive spécifiquement construite contre l’Italie fasciste renversée en 1945 par les Alliés.

Après s’être faite élire sur une ligne radicalement anti-immigration, Meloni non seulement ne fait rien, mais accélère ouvertement l’immigration de masse. Pas moins d’un demi-million de migrants supplémentaires seront importés pour la seule année 2023.

Damien Rieu, l’un des rabatteurs des séfarades Zemmour et Knafo, tente de justifier auprès des crédules le coup de poignard dans le dos de son allié ultra pro-israélienne Meloni.

Pour « l’identitaire » Rieu, l’immigration légale est finalement « indispensable » en Italie pour ramasser des olives – donc, par évidence, en France. Le plus important, c’est de voter pour ces gens, même s’ils ne font rien, en attendant qu’un jour tout aille mieux. Parce que tout finira par aller mieux, même s’ils ne font rien quand ils sont au pouvoir.

L’immigration légale est malheureusement encore indispensable goy.

 

Il faut s’arrêter aux énormités que raconte ce faisan.

Premièrement, je ne sais pas qui a dit ou théorisé que l’Italie serait d’aucune utilité à la France pour la question migratoire. Cette question peut être résolue immédiatement, il suffit de déployer la Gendarmerie à la frontière franco-italienne et de la renforcer d’unités militaires au besoin pour interdire tout franchissement. Cela prendrait quelques jours, au maximum.

Si Macron a des drones pour surveiller les paysans en colère, nous pouvons en avoir pour survoler la frontière et repérer ces ennemis.

Deuxièmement, nous en venons au point essentiel : « mais elle ne va pas tirer sur les petits bateaux avec des Noirs dessus !!! »

Cause

Conséquence

Si, justement, c’est là tout l’enjeu. Un état a le droit suprême de tuer ses ennemis, c’est pour cette raison qu’il a une armée, c’est pour ça qu’il existe. Si un homme le dit, en toute cohérence et en toute justice, s’en suivent immédiatement les réactions prévisibles des démocrates de droite : « Mais vous délirez, l’Italie serait immédiatement isolée, sanctionnée ! La gauche serait déchaînée ! ».

Oui, comme la Russie dès lors qu’elle a défendu ses intérêts vitaux les armes à la main. C’est ça, un état, contrairement à une bureaucratie démocratique pilotée par des traîtres et des lâches pour le compte de la banque juive.

Ces femmes apeurées se cachent sous leur lit à la seule idée de la guerre à mener.

Il faut assumer le conflit et être prêt à détruire l’ennemi pour atteindre l’objectif, que cet ennemi soit intérieur ou extérieur, ce que ne permettra jamais cette « démocratie », précisément, puisqu’elle exige de tous qu’ils lui rendent les armes au nom du respect de ses « principes », par définition hostiles à notre cause, la cause blanche.

Pour un état, une invasion s’écrase dans le sang ou elle s’accepte et cet état disparaît. Il faut choisir et si vous voulez vivre, vous avez déjà choisi.

Troisièmement, le plus puant, la nécessité de l’immigration « de travail », « temporaire ». Depuis les années 1960, nous savons ce que veut dire l’éternel provisoire dans la bouche du patronat.

Cette droite démocratique ne peut faire ce qu’a fait la droite démocratique depuis 1945 : les volontés des financiers juifs et de leurs associés.

Les réactions acerbes des gens montrent que la sauce prend assez mal.

Il y a aussi l’ahuri éternel qui soutiendra n’importe quoi pourvu que ce soit théoriquement et déclarativement de droite.

Les gens sont médusés, ils découvrent la politique démocratique : des promesses électorales et ensuite de longues explications pour justifier une subordination complète aux puissances financières qui tirent les ficelles dans la coulisse, c’est-à-dire au statu quo.

Le problème n’est pas de voter pour l’un ou l’autre.

Le problème n’est pas davantage « la souveraineté » au sens où l’entendent les salafistes du FREXIT. Hors de l’UE, nous ferions ce que fait la démocratie financière britannique : importer encore plus massivement des allogènes. Plus d’un million par an depuis que la Grande-Bretagne n’est plus dans l’UE, dont 700,000 extra-Européens.

Le problème est la démocratie en elle-même. Ce système ouvert aux influences extérieures permet aux financiers internationaux d’acheter journaux et factions bourgeoises, de diviser pour régner en alimentant la guerre civile larvée qui érode toujours plus l’État.

Le jeu électoral est verrouillé en permanence par la propagande pré-électorale, le conditionnement antifasciste dont j’ai parlé au début, la mobilisation des cliques d’intérêts établies, mais aussi par l’importation perpétuelle de clientèles raciales hostiles aux autochtones qui se solidarisent naturellement de la puissance cosmopolite en place.

Il est grand temps de comprendre la nature du problème que nous affrontons, un problème global et permanent qu’aucune élection passagère ne peut résoudre. Tant que nous vivrons dans un système capitaliste qui fait du profit à court terme et de l’anarchisme individuel la base de son fonctionnement politique et social, tant que ce système capitaliste sera modéré par le catafalque du bolchevisme mou qui consiste à racketter les forces vives pour alimenter les parasites ennemis du travailleur blanc, nous subirons la tyrannie de la dénatalité féministe, la voracité des Boomers, la prolifération des ratés, le nihilisme consumériste de la plèbe, la voracité du patronat le plus vile et l’immigration de masse qui alimente la bulle spéculative de l’économie tertiarisée, tendanciellement privée de consommateurs et de larbins, faute de naissances suffisantes.

Prétendre résoudre quoi que ce soit avec la démocratie élective greffée sur une telle désorganisation sociale, avec sa prétendue « alternance », c’est guérir son alcoolisme en ne buvant qu’une bouteille de whisky un jour sur deux.

Tout le monde veut un changement radical, mais sans les désagréments et les risques d’un changement radical. D’où le magnétisme de la démocratie, avec sa révolution que l’on pourrait obtenir par procuration grâce à un bulletin de vote glissé tous les deux ans dans une urne. Elle fascine le gigot bourgeois qui cuit à feu lent dans son jus.

Si les gens s’inquiètent de finir submergés par l’Afrique, ils doivent d’abord regarder les choses en face : le bloc d’électeurs retraités, de bourgeois planqués et de métèques est suffisamment massif pour empêcher tout changement électoral. Si d’aventure un RN complètement vidé de sa substance parvenait au pouvoir, le régime et ses juges stipendiés par les juifs de Black Rock utiliseraient toutes les ficelles de « l’état de droit » pour défaire le résultat électoral.

Qui trône au Conseil Constitutionnel ?

Le crapaud juif Fabius qui après avoir brillé en soutenant Al Qaeda en Syrie a fait des merveilles pour le compte de son congénère Bourla.

Ce qui m’amène à mon dernier point : une révolution suppose une révolution, pas une élection. Une élection peut conforter une révolution, mais la révolution en elle-même est une chose complètement différente. Elle suppose pour les révolutionnaires d’aller physiquement extirper tous les obstacles qui se dressent sur la route de la révolution, que ce soit les juges, les journalistes, les partis, les syndicats, les églises, les intellectuels ennemis. La première chose que l’on fait dans une révolution, c’est se débarrasser des contre-révolutionnaires.

Ce que nous avons sur les bras, c’est une guerre civile, la même que celle qui a démarré en 1789 avec la survenue des forces déchaînées de l’égalitarisme fanatique. Nous ne ferons pas l’économie de l’explication finale avec ces gens-là.

La première chose à détruire partout, c’est ce qu’il reste de la gauche organisée, c’est-à-dire cette viande blanche avariée et beuglante avec son obsession pour le pognon du voisin et son monothéisme à base de mélanine.

Les métèques sont un problème politique secondaire, ces gens-là étant incapables de s’organiser. Il ne faut percevoir cette question que sous un angle purement logistique.

Enfin, bien sûr, les juifs, le plus puissant réseau international qui existe, l’âme satanique de ce système, le principe organisateur de cette dystopie.

Voilà la situation et voilà qui a de quoi faire tirer la langue à toute personne plus soucieuse de ses congés payés que de l’avenir de ses petits-enfants, quand elle daigne en avoir.

Face à une telle tâche qui nécessite des efforts surhumains, la plupart des gens se jettent en arrière sur leur chaise et abandonnent déjà. Mais l’alternative, c’est l’éradication des Blancs en Europe, une réalité très concrète qui a le visage patibulaire de l’Afro-maghrébin très hostile que vous croisez en sortant de chez vous.

Le découragement et la lassitude ne sont pas une option. La pulsion de vie sera toujours suffisamment forte dans une part significative de la population blanche pour que les ressorts psychologiques finissent par s’activer en vue de la révolution raciale.

Plutôt que de se démotiver face à l’ampleur de la tâche, il faut se focaliser sur la préparation active des esprits pour cette révolution en faisant de la guerre raciale le nouveau paradigme de la psychée collective des Blancs.

Nous devons effectivement préparer psychologiquement chaque homme blanc pour cette guerre.

Ce n’est pas la croix de Lorraine des boomers sous viagra et des homosexuels du Frexitisme qui apportera le feu intérieur nécessaire pour mener cette lutte biologique pour la survie jusqu’à la victoire, mais la foudroyante swastika de l’Aryanité millénaire.

On ne solde pas un désastre de cette ampleur par une agitation pusillanime et hésitante, mais par une résistance farouche et fanatique qui veut bien plus que limiter les déconvenues. Elle doit dépasser le désastre bio-culturel par une vision nouvelle plus grandiose encore et cette vision c’est l’empire blanc.

Le forum EELB sera prochainement de retour