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La rédaction
Démocratie Participative
02 septembre 2023
Le débat avance.
Pour la première fois, l’INSEE donne la proportion officielle du nombre d’extra-Européens – de non-Blancs donc – dans le peuplement de la France : plus de 13 millions.
Pierre Albertini, @Le_Figaro : « la population ne comptant aucun ascendant immigré du fils au grand-père, représente environ 46 millions, celle ayant une origine immigrée, totale ou partielle, environ 22 millions, dont 60 % de provenance extra-européenne, selon l’Insee. »
— Dominique Reynié (@DominiqueReynie) September 2, 2023
C’est le chiffre officiellement admis par l’État, mais nous savons tous que l’INSEE sous-estime depuis toujours l’ampleur de l’immigration pour des raisons idéologiques, i.e. « ne pas faire le jeu de l’extrême-droite ».
Ici, nous estimons le nombre d’allogènes à 17 millions environ. Pour l’INSEE il y a donc 20% de non-Blancs, pour nous environ 25%.
La France gonfle approximativement de 4 à 5 millions d’allogènes tous les dix ans, avec un 400 à 500,000 nouveaux colons chaque année. Et bien sûr, il y a la part de non-Blancs dans les naissances, que l’on peut évaluer à 42% (fourchette haute) ou 35-36% (fourchette basse).
C’est bien entendu un plan de « repeuplement » concerté, mais pas revendiqué par l’oligarchie au pouvoir. Le discours officiel consistant à dire que cette immigration est « subie ». C’est complètement faux, elle n’est que marginalement subie. L’essentiel vient en France par avion, avec un visa délivré par les ambassades françaises.
En plus d’écraser les Blancs sous une masse de supplétifs du tiers-monde, l’idée est de maintenir la « consommation » ainsi que le système « social » qui fait de chaque personne en France un esclave dépendant de l’État et de ceux qui le contrôlent.
Les boomers en particulier plébiscitent cette politique en votant massivement pour Macron dans l’espoir de voir le financement de leurs retraites maintenu.
Cette société de consommation individualiste couplée à l’étatisation des mécanismes de solidarité produit des gens coupés de leur propre famille, tribu, peuple, race. La survie d’un esclave type ne dépend pas de son frère de tribu ou de village, mais de la stabilité financière de l’État. C’est à l’État, et surtout au guichet social que va sa loyauté.
Le système est habile. Le bétail n’est pas sévèrement réprimé, mais gratifié pour sa docilité. Les congés-payés sont certainement un des plus puissants instruments de domestication de la population.
L’égoïsme est au coeur du modèle de cette société juive gouvernée par l’utilitarisme.
Sur le papier, un larbin d’origine française peut être remplacé par un larbin d’origine guinéenne ou afghane. En pratique cependant, les allogènes conservent leur nature grégaire et le système commence à dysfonctionner face à la constitution de blocs ethniques inassimilables qui coûtent au lieu de rapporter.
Que l’on appelle cela « Grand Remplacement », « transition démographique » ou « créolisation », les conséquences seront exactement les mêmes : la fin de la France comme pays européen.
Et sa « transition de genre » vers un nouvel ensemble, africain et islamique.
— Romain Sens (@RomainSens_) September 2, 2023
Au bout d’un moment, ce sont ces blocs qui assimilent les individus indigènes acculturés par cette société individualiste, car les individus autochtones n’ont plus de cohésion forte.
Quand l’État sera suffisamment impuissant, il se fragmentera, nous connaîtrons alors ce qu’a connu l’empire romain avec de véritables déferlements de dizaines de millions d’envahisseurs qui s’établiront dans telle ou telle région. Nous pouvons voir ces barbares camper dans toutes les villes françaises ou quasiment.
Reforger une cohésion raciale, ethnique, tribale et locale est le véritable travail que nous avons devant nous pour préparer la résistance dans la longue durée.
