L’instaPAN belge Amélie Neten encourage son fils à manger en secret pendant le ramadan pour ne pas déranger les mâles musulman

La rédaction
Démocratie Participative
25 mars 2023

 

L’instapute belge Amélie Neten fait le boulot.

Son fils, racialement irréprochable, est cependant complètement bousillé psychologiquement par sa sorcière de mère. Le gamin est un brave dhimmi qui rase les murs à midi pour pouvoir manger et ne pas déclencher une émeute djihadiste dans son école grand-remplacée.

Sa traînée de mère adore cette soumission totale et se scandalise que des Blancs protestent.

« Parce qu’on est en 2023 »

« Parce qu’on est en 2023 » résume parfaitement la femme éternelle.

La femme n’a aucune projection dans le passé ou le futur, elle se contente d’actualiser son comportement en fonction de la puissance dominante masculine de l’heure.

L’instapute chouine, car elle a identifié qu’une autre force existe, hostile. Son cerveau est en pleine confusion. Elle tente de maintenir son discours tout en essayant de dire qu’elle n’a pas dit ce qu’elle a dit.

Pour parfaire le tableau, cette traînée a pour habitude de se faire bourriquer par des Nègres.

Cette démocratie vaginale émolliente emmène les jeunes Blancs directement à l’islam. Non pas comme ardents croyants, mais comme mâles beta vaincus et subordonnés à la rage des bougnoules à 75 de QI du Califat.

Il n’y a pas 36 solutions.

L’alternative est une force encore plus fanatique, radicale et masculine.

Non, ce n’est pas le souverainisme pour vieux cons gauchistes nostalgiques de la momie de De Gaulle.

C’est le racisme révolutionnaire.

Les Belges en ont eu une préfiguration, que ce soit chez les Wallons ou chez les Flamands.

La démocratie ne sert à rien, ni les élections. C’est la mort à feu doux.

La Belgique est un état fragile et cela offre des perspectives. La Wallonie est dévorée par la mafia socialiste et sombre de plus en plus vite dans le bolchevisme pur et dur sous l’influence du Parti des Travailleurs de Belgique, une organisation marxiste-léniniste orthodoxe.

La bourgeoisie belge, d’une rapacité égale à celle qui tient la France, importe des masses gigantesques de sous-hommes d’Afrique. Sa capitale, Bruxelles, est une ville intégralement afro-bougnoulisée. Les autres grandes villes du pays le sont autant ou presque.

L’ensemble du régime est corrompu au delà de l’imagination et c’est sur cet océan de merde que surnage le roitelet des Belges.

Sa voiture a même été attaquée par des hordes du tiers-monde qui semaient le désordre suite à la mort d’un migrant guinéen.

Cet ahuri couronné n’a même pas jugé nécessaire d’accuser cette vermine raciale.

La puanteur qui règne dans cet état devient intenable.

Dans un tel climat, les possibilités d’exploitation politique sont considérables pour déstabiliser le régime et précipiter son implosion.

Quelques hommes déterminés peuvent rapidement monter des cellules d’agitation dans les différentes régions du pays avec un seul objectif : intensifier au maximum les tensions raciales et religieuses pour accélérer la désintégration du régime démocratique.

La prudence rhétorique qu’affectent les réactionnaires est une impasse. Il faut à l’inverse hystériser la société en déversant de l’essence sur l’incendie ethnique et religieux.

Le Belgique dispose encore d’un stock racial de qualité, pour peu que l’on sache l’exploiter. En peu de temps, nous pouvons disposer d’un réseau révolutionnaire entièrement dédié à la destruction de cet état.

Les moyens nécessaires sont peu onéreux. Il faut uniquement de l’organisation, de la discipline et un plan.

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