L’université d’Oxford supprime la fête de la Saint Georges au profit de l’Aïd

La rédaction
Démocratie Participative
06 avril 2023

Le royaume de Charles III est une dynamique terre d’islam où les croyants sont honorés comme il se doit en leur qualité de nouveaux maîtres du pays.

Express :

La décision de l’un des collèges de l’université d’Oxford de ne pas célébrer la Saint-Georges par un dîner officiel a été qualifiée de « folie furieuse ». Le Magdalen College a décidé de ne pas poursuivre le banquet annuel prépandémique célébrant le saint anglais, qui réunissait les étudiants, les doyens et les boursiers d’Oxford. Au lieu de cela, le collège ne célébrera que l’Aïd al-Fitr, la fête islamique marquant la fin du ramadan.

L’université organisera un dîner officiel à l’occasion de l’Aïd le 23 avril, honorant ainsi une demande formulée par ses étudiants musulmans.

Un courriel du vice-président de l’université, le professeur Nick Stargardt, consulté par le Daily Telegraph, décrit les plans d’un « dîner festif » célébrant l’occasion.

L’invitation, envoyée à des centaines d’étudiants et à leurs professeurs, ajoute que le repas « suivra les coutumes musulmanes ».

Les cuisiniers prépareront un plat de viande halal et ne serviront pas d’alcool aux convives.

Subhanallah !

Le repas a lieu deux jours après l’Aïd, qui a lieu cette année le 21 avril, et a déclenché une vive polémique parmi les universitaires de Magdalen.

Un donateur anonyme a déclaré au Telegraph que cette décision revenait à « annuler le jour de la Saint-Georges ».

Il a ajouté que cela montrait que les dirigeants des institutions universitaires britanniques « semblaient ressentir » une « profonde antipathie » envers « le pays qui les a construites et qui les entretient ».

Un autre a déclaré que cette décision était « complètement folle » et a accusé la présidente de l’université, Dinah Rose KC, d’être de gauche.

Le collège a contesté les affirmations selon lesquelles le dîner remplacerait une tradition de longue date.

Le Telegraph a déclaré qu’il avait vu des documents montrant que Magdalen organisait des dîners dédiés à la St George depuis 2016. Les documents, selon la publication, montrent que le jour a été célébré de cette manière jusqu’en 2019, lorsque la pandémie de Covid a frappé le Royaume-Uni.

Un événement organisé en 2018 aurait invité les conférenciers à une « salle formelle et à une table haute » avec un « menu anglais spécial ».

Les participants ont également eu droit à « Grace and English Music by the Clerks » et à une oraison.

En même temps, avec un premier ministre indien qui vénère des vaches et deux pakpaks à la tête de l’Écosse et de la ville de Londres, c’est une évolution logique.

Il faut s’adapter.

Pour l’anecdote, Saint George était un Grec converti au christianisme qui avait pour habitude de saccager tout ce qui touchait à la religion ethnique des Grecs.

Il haïssait particulièrement Apollon.

Il souffrait déjà de la haine de soi, comme les gauchistes blancs d’aujourd’hui qui soupirent après l’idolatrie égalitariste.

Malgré les nombreuses remontrances des autorités romaines enjoignant Georges de cesser son agitation, il persista en excitant les cellules révolutionnaires chrétiennes d’Asie mineure, les encourageant à renverser l’ordre établi. L’empereur Dioclétien se décida enfin à le faire exécuter pour ramener le calme politique.

Aujourd’hui, la fièvre wokiste a abandonné une église anglicane fatiguée de vivre au profit d’une secte monothéiste qui a encore la volonté de dominer le monde. L’islam donc.

L’islam se propose de revivifier le bolchevisme abrahamique éternel et trouve tout naturellement chez les bêtes malades de la gauche blanche les saboteurs dont il a besoin pour semer la terreur.

Il ne faudra pas beaucoup d’efforts pour renverser ce royaume dégénéré.

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