« Lutte des races » : Houria Bouteldja choque la droite antiraciste

La Rédaction
Démocratie Participative
12 juillet 2024

 

La droite identitaire est très choquée par l’usage du mot race.

Virulente réaction judéo-chrétienne.

Après « c’est la gauche les vrais fascistes », vous reprendrez bien un peu de « c’est la gauche les vrais racistes ».

Tout comme la terre tourne autour du soleil, la lutte des races, en tant que réalité biologique indépassable, n’est pas plus de gauche que de droite. Elle existe tout simplement. À chacun de faire ce qu’il veut de cette réalité, que ce soit à gauche ou à droite.

La négation de l’existence des races relève de la pensée magique et procède de la croyance irrationnelle dans le mythe de l’égalité qu’a inventé la révolution française à la suite de l’idéalisme chrétien.

L’extrême-droite, comme force d’inertie, « de conservation », se contente de veiller au maintien de l’ordre idéologique et moral existant plutôt que de penser le nouveau développement du champ de la conscience collective qu’est la pensée du fait racial.

L’analyse de Bouteldja souffre cependant d’une erreur majeure qui provient du charabia marxiste dans lequel elle patauge. Elle affirme que les petits Blancs votent « suprémaciste » pour préserver leur position aux côtés du « bloc bourgeois » (blanc) dans ce qu’elle nomme une « collaboration de classes ».

Cette thèse a été spectaculairement démentie par le « front républicain » qui a vu la gauche radicale blanche et les macronistes faire cause commune pour empêcher les petits Blancs dotés d’une conscience raciale commune de mener une politique gouvernementale conforme à leurs intérêts.

La collaboration objective de « classe » se situe a contrario entre les parasites du bas (allogènes) et ceux du haut (juifs & supplétifs blancs) par l’intermédiaire de la gauche radicale blanche au sein d’un bloc « antifa » qui a été érigé en défense du cosmopolitisme démocratique dominant.

C’est l’alliance des livreurs du tiers-monde Deliveroo et de leurs clients bobos.

L’enjeu majeur est de transformer le vote RN en expression d’un vote racial conscient, par opposition à l’impuissante réaction cocardière et jacobine qu’il est actuellement.

En faisant entrer le discours racial dans le champ politique, Houria rend un service inestimable à la cause raciale blanche qui fait face à la coalition des partis démocratiques antiracistes, RN compris.

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