Lyon : Bassem Braiki jure de pendre tous les noirs aux lampadaires

La Rédaction
Démocratie Participative
13 août 2024

 

Bassem Braiki appelait hier au lynchage des noirs.

Ce fier maghrébin jurait que si les cafres venaient à manquer de respect à leurs maîtres arabes dans le pays de Lyon, ils seraient pendus aux lampadaires.

Aujourd’hui, pour éviter quelques difficultés, Bassem Braiki jure avoir été mal compris.

Pendre des noirs à des lampadaires me semble pourtant compréhensible, mais il assure que c’est plus compliqué et que pendre les noirs aux lampadaires n’est pas réellement raciste.

Les considérations de Bassem à propos des nègres sont très largement partagées par les arabes.

Ce n’est pas pour rien qu’ils ont mené avec tant de succès leur traite négrière et, admettrons-le à regret, avec une intelligence bien supérieure à celle des Européens.

La castration systématique des esclaves le prouve.

Là aussi, le poison mental du christianisme a eu des conséquences désastreuses. En prétendant que les nègres d’Afrique avaient une âme, et même une âme parfaitement égale à celle de l’homme blanc, les puissances européennes ont permis aux noirs de proliférer à l’ombre de l’expansion coloniale.

Le résultat peut se mesurer dans toutes les Amériques.

Ces terres sont irrémédiablement affligées par la génétique négroïde.

Pour en revenir à Bassem et à ses promesses de pendaison de masse, la société multiraciale résultant de l’immigration non-blanche a toujours été vendue par les juifs et leurs associés comme un véritable paradis sur terre débarrassé du « racisme » des Blancs.

Les Blancs, d’après les idéologues juifs, étaient la cause de tous les problèmes des pays blancs.

Moins il y aurait de Blancs dans les pays blancs et plus ces pays seraient harmonieux nous disaient les juifs – eux-mêmes immigrés.

Après 60 ans d’immigration massive, nous voyons à la place une société ultra-violente, en pleine désintégration, où les confrontations raciales explosent.

De là à dire que les immigrés juifs ont voulu plonger les pays blancs dans le chaos, il n’y a qu’un pas que tout le monde doit franchir très allègrement.

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