Lyon : la boulangerie arrête de vendre du porc après une embrouille aux lardons avec des clients musulmans, « Sinon, ils brûlent tout »

La Rédaction
Démocratie Participative
16 août 2024

La Verr’in Dallery Pittie, Vénissieux

Le jambon est islamophobe, je veux rien savoir.

Lyon Mag :

Nouvel épisode marquant pour les établissements d’Alexandre Dallery à Vénissieux. Quand ce ne sont pas des préemptions de la mairie, c’est un esclandre sur fond d’islamisme qui fait polémique.

Ce vendredi, la Maison La Verr’in Dallery Pittie a d’abord annoncé stopper la vente de produits à base de porc, « suite à un incident » survenu dans la matinée.

Puis le patron de l’établissement et conseiller municipal d’opposition a donné des détails sur les réseaux sociaux : « Une de nos vendeuses a donné une quiche aux lardons à des personnes musulmanes en pensant que c’était au fromage. Si je ne suis pas là, je pense qu’ils la prennent par les cheveux et la défoncent. Je leur ai bien sûr remboursé, ils ont pris le billet et l’ont jeté à la vendeuse ‘qu’elle aille se laver la chatte avec’. Ils voulaient tout brûler tout casser. Pour calmer on ne fait plus de jambon. Sinon ils brûlent tout ».

Les lardons de l’oppression

Alexandre Dallery est résigné, d’autant qu’il baissera définitivement le rideau dans deux mois.

« Après les différentes pressions depuis plusieurs mois pour faire du hallal je craque je refuse que l’un de mes salariés ou moi même risquent quoique ce soit. On est à Vénissieux la ville que j’aime avec tellement de choses biens, que l’on sous estime. On ne veut plus de nous . Maintenant on reçoit des 1 étoile sur Google. Je ne déposerai pas plainte je les comprends. Au revoir vous avez gagné« , conclut-il.

C’est un rappel très utile : la violence, ça marche.

L’envahisseur obtient tout par la violence, larvée ou ouverte. Son seul potentiel de violence suffit à rendre ses menaces crédibles, donc à obtenir ce qu’il exige.

La bourgeoisie le sait si bien que la violence allogène est ce qu’elle appréhende le plus.

Paradoxalement, plus la bourgeoisie est violentée par un parti, un mouvement, une population, plus elle s’habitue à cette violence et l’accepte en dépit de ses sermons sur son caractère intolérable en « démocratie ».

Pour ce qui touche à la violence tribale des allogènes, la bourgeoisie l’accepte d’autant plus facilement qu’elle considère ces populations comme foncièrement étrangères et fixe pour elles des standards bien plus laxistes que pour les Blancs.

Plus les allogènes organisent d’émeutes, agressent, violent et tuent, plus l’état bourgeois augmente le tribut qu’il leur verse sous forme « d’aides sociales ».

La rhétorique sur le vivre-ensemble ne fait que trahir l’hypocrisie bourgeoisie sur cette question. Elle tolère de la part des envahisseurs des agissements qui lui sont insupportables dès lors qu’ils émanent de Blancs qu’elle juge fermement sous son contrôle.

La violence des Blancs, c’est donc « l’extrême-droite ».

La violence allogène, c’est un problème social causé par les Blancs.

Toute la lâcheté de la bourgeoisie se résume à ce discours de soutien aux envahisseurs.

À Lyon, la figure de cette immonde bourgeoisie se nomme Grégory Doucet, maire.

Tout le baratin sur l’islamisme, entre une rue Samuel Paty et un discours du préfet sur la laïcité, n’a pour seul but que d’endormir les Blancs subordonnés à la bourgeoisie démocratique, lui cacher la véritable règle du jeu : la violence.

Et face à la violence islamique, la bourgeoisie n’a pas fini de capituler.

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