Lyon : manifestation en souvenir de Thomas Perotto interdite par Darmanin pour lutter contre la « xénophobie »

La rédaction
Démocratie Participative
22 novembre 2023

 

Tout devait bien se passer. Marine Le Pen a participé à la manifestation pour le sémitisme, Éric Zemmour est revenu d’une tournée triomphale en Israël, CNew a abondamment invité tout ce qui pouvait tirer à boulets rouges sur l’islam et les arabes.

Du moins, tant qu’il s’agissait de la « sécurité d’Israël ».

Avec la razzia sanglante de Crépol, la France revient à sa routine.

Les manifestations pour la sécurité des juifs au pouvoir, oui, bien sûr.

Cependant, une confusion a pu naître dans certains esprits, les plus naïfs des goyim croyant que leur soutien bruyant à l’armée israélienne permettrait aux Blancs de se plaindre de l’immigration de masse organisée par le système financier international. Un système qui n’est pas tenu par les palestiniens.

Un rappel a donc été fait, sur ordre d’Élisabeth Bornstein et de Yaël Braun-Pivet à propos d’une manifestation pro-whites, pro-blancos.

Face aux tentatives de récupération, aux slogans xénophobes et provocations à la haine susceptibles d’être prononcés, mais aussi aux risques de confrontations violentes, le rassemblement prévu ce soir à 19h00 à Lyon 5e est interdit par arrêté préfectoral. pic.twitter.com/WqzcuM2ekl

— Préfète de région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rhône (@prefetrhone) November 22, 2023

Comme l’a rappelé le premier ministre, qui est une survivante de l’holocauste, pas de place pour les Blancs qui veulent récupérer les lynchages dont ils sont victimes.

C’est un privilège du peuple élu.

Elisabeth Borne sur la mort de Thomas : «Utiliser ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les victimes» pic.twitter.com/HVd7AJI9CR

— CNEWS (@CNEWS) November 22, 2023

Le régime a déployé 10,000 policiers et gendarmes pour sécuriser écoles juives, synagogues et autres repaires du sémitisme en tous genres. La moindre marque d’hostilité vaut à l’impétrant un vol en urgence, direction l’Afrique ou l’Afghanistan.

La situation étant solidement bétonnée depuis le dimanche 12 novembre, avec un soutien aveugle de tous les partis, hormis celui de Mélenchon, les juifs peuvent reprendre leurs affaires. Ces affaires impliquent de tenir en laisse tout aussi fermement les Blancs que les maghrébins, qui, d’ailleurs, ne sont pas des arabes ethniquement parlant. Et bien sûr, de maximaliser l’immigration.

Nous en revenons au point de départ : sans pression massive contre le pouvoir juif, la machine juive poursuivra sa marche génocidaire – que ce soit en Europe ou au Proche-Orient.

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