Macron dénonce les jeux vidéos : les flics, peu convaincus, appellent à écraser l’insurrection raciale dans le sang

La rédaction
Démocratie Participative
30 juin 2023

 

Macron a trouvé l’explication.

C’est GTA.

Et aussi, les parents il faut qu’ils soient sévères.

Sa stratégie de laisser les bouègres se déchaîner jusqu’à ce qu’ils se lassent n’intégrait pas leur nombre et de leur détermination à piller. Cela fonctionne d’ordinaire, mais avec la masse qu’ils représentent les données de l’équation changent. Les laisser faire pour ne pas en tuer implique des dégâts à grande échelle et, au bout d’un moment, des morts dans la population civile.

Ou chez les flics.

Il est déjà presque inexplicable que personne n’ait été tué.

Face à cette paralysie politique, les flics doivent rapidement réagir car le moment approche où ils se feront allumer à l’arme de guerre par les dealers.

Vu la masse des protagonistes, retrouver ce genre d’assassins n’est pas garanti.

Le syndicat UNSA et Alliance se sont émancipés de l’autorité de Darmanin, qui n’existe plus, et de celle de Macron, pour appeler à la lutte.

Cela devient intéressant.

« Hordes sauvages », « combat », « nuisibles » : c’est bien, mais j’aurais ajouté les mots « sous-race », « nègres », « baiseurs de chèvres » et « macaques ».

Entre quatre murs, les flics vont menacer Macron.

Le deal va être simple : soit il soutient publiquement leur plan pour écraser l’insurrection raciale, soit ils resteront dans leurs commissariats.

Pour Macron, cela veut dire de voir une vague de violences raciales réellement inédites dans l’histoire de France. Avec quelques 16 ou 17 millions d’allogènes en France, faire passer le message que le pillage est admis aboutira à un déchaînement de prédation afro-orientale.

La gauche radicale pousse au pire. Elle accuse la police de faire exactement ce qu’elle fait : appeler à l’insurrection.

Les députés mélenchonistes vont jusqu’à la qualifier de « milice d’extrême-droite ».

L’audace de la gauche blanche est une leçon de radicalité. Ils assument complètement leur fuite en avant émeutière, convaincus de tirer les marron du feu – si je puis dire.

Dans tout ça, je me demande : qu’en est-il de la guerre civile russe ?

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