Marine Le Pen accueillie par le gouvernement Netanyahu en Espagne

La rédaction
Démocratie Participative
19 mai 2024

 

Les juifs ont réhaussé Marine Le Pen dans la hiérarchie protocolaire.

Après 6 mois d’une soumission irréprochable, elle a enfin pu rencontrer l’émissaire de Netanyahu en Europe, Amichai Chikli.  Au programme : la défense farouche du sémitisme.

Amichai Chikli était encore récemment au ministère de l’intérieur français pour superviser la répression.

« Israël », l’organisation armée à laquelle il appartient, a une large approche puisque même Zemmour lui est subordonné.

Peu importe l’identité du pion qui occupe temporairement des fonctions gouvernementales ou politiques, le maître reste le même.

En Espagne, les juifs ont convoqué l’ensemble des partis de droite acquis à leur cause pour fixer la ligne au niveau européen. De Vox à Meloni, ils étaient tous là ou pratiquement, y compris ce dégénéré de Javier Milei.

Ces gens de VOX sont très toxiques.

Quand ces partis de droite parlent de souveraineté, ils parlent à l’évidence de la souveraineté israélienne.

Les médias ont fait évoluer leur position. Le juif Alain Finkielkraut, paraît-il académicien après être entré par effraction dans le bâtiment, a officialisé la rédemption du RN. Il ne trouve plus que des qualités à Marine Le Pen.

Nous connaissons le programme de Marine Le Pen : se soumettre au lobby juif et accepter le statu quo démographique avec, comme conséquence, la stabilisation autoritaire de la société multiraciale actuelle agrémentée de flonflons tricolores pour la forme.

Comme le dit l’homosexuel Chenu, le RN est le « bouclier » de la juiverie qui domine la France.

La fonction d’un bouclier est de prendre des coups. C’est le projet du RN n’est guère attrayant pour les goyim qui devraient servir de gilets pare-balles à Enrico Macias.

L’AfD, qui évoque l’expulsion des envahisseurs, suscite chez elle une vive répulsion dont elle s’ouvre auprès de tous les journalistes juifs qui lui tendent un micro.

Hélas pour Marine Le Pen, si elle veut gouverner la France black-blanc-beur sans faire de vagues, les intéressés, renforcés de la gauche radicale, n’ont aucune envie d’être dirigés par quelqu’un qui s’appelle Le Pen. Ni aujourd’hui, et pour jamais.

Le chaos racial généré contre son gré par une présidence Le Pen ouvrirait de réelles possibilités révolutionnaires, avec un état paralysé et progressivement balkanisé.

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