Marseille : dans une vidéo, la Mafia DZ jure ne pas avoir assassiné un VTC

La Rédaction
Démocratie Participative
09 octobre 2024

 

Plus Belle la Vie reprend.

Très loin de la démocratie, voici les nouveaux chefs de Marseille.

Il n’y a pas eu d’élections, uniquement des armes et des meurtres.

À présent, ils s’adressent directement à la population grâce à leur chaîne de télévision improvisée.

Actu.fr :

Dans la nuit du 3 au 4 octobre 2024 à Marseille, un chauffeur VTC a été abattu d’une balle dans la tête par un tueur à gage de 14 ans. La victime n’avait aucun lien avec un éventuel trafic de drogue.

Un meurtre avait été commandité depuis sa prison par un détenu se revendiquant de la DZ Mafia, l’un des gangs qui cherche le monopole du trafic dans la cité phocéenne. Sur les réseaux sociaux, une vidéo, non identifiée à cette heure, met cependant en scène un démenti formel de l’organisation mafieuse.

« Cela fait plusieurs jours que circulent, dans les médias et sur les réseaux sociaux, de fausses informations au sujet du meurtre de vendredi dernier ». Tels sont les premiers mots que l’on entend dans cette vidéo, diffusée sur internet ce 9 octobre.

Le « porte parole », entouré d’une dizaine de personnes cagoulées et vêtues de noir, continue.

« Le communiqué d’aujourd’hui est fait dans l’intention de rétablir la vérité. Tout d’abord, nous adressons toutes nos sincères condoléances à la famille des défunts, en leur souhaitant force et courage dans leurs épreuves (…) La DZ Mafia n’est pas impliquée, ni de près ni de loin, avec ce qu’il s’est produit. Notre nom est utilisé par de nombreuses personnes malveillantes », entend-on encore sur cette vidéo. Ils expliquent également que le détenu se revendiquant de la DZ Mafia serait un « mythomane ». Le mode opératoire ne « correspond en rien », de « l’enfant de 14 ans » à « l’utilisation d’un VTC pour commettre un crime ».

Avant de conclure : « Cela n’a rien à voir avec nos méthodes : nous avons assez d’hommes et de véhicules et de moyens pour agir. Nous espérons que la vérité sera rétablie. Signé, la DZ Mafia ».

Contactée, la police nous confirme que la vidéo sera authentifiée et que le parquet va rapidement se pencher sur le sujet.

La DZ Mafia devient un acteur central de Marseille qui se soucie de son image auprès de la population afro-magrébine. Ses membres ne peuvent pas se permettre de passer pour des psychopathes qui tuent des Maghrébins ordinaires sur leur lieu de travail (quand exceptionnellement ils travaillent).

Comme tout cartel, ils doivent veiller à prendre en charge la population dans la zone où ils remplacent l’État. Sans le soutien de la population, des concurrents contesteront son autorité et des balances commenceront à coopérer avec les flics.

Les membres de la DZ Mafia voient plus loin que la moyenne des dealers ordinaires. D’ici quelques années, les seuls gens susceptibles de faire régner un semblant d’ordre à Marseille seront les membres de ce cartel algérien.

Un État digne de ce nom ne devrait pas tolérer quelque chose de cette nature. Ce cartel est un concurrent direct de sa souveraineté. Mais il n’y a plus d’État en France, seulement une démocratie assise sur une administration fiscale avec des flics pour racketter les automobilistes. Le développement de ce cartel est donc aussi logique qu’inéluctable, faute d’hommes aux idées claires pour le stopper.

Ce cartel va devenir si puissant qu’il aura des élus dans la poche, des magistrats, des journalistes, bref tous les relais que la pègre achète avec le temps pour asseoir son influence.

La seule mesure efficace contre un cancer est en trois étapes : faire le bon diagnostic, enlever la tumeur chirurgicalement puis appliquer une chimiothérapie à l’organisme.

Dans ce cas d’espèce, cela suppose d’en finir avec la démocratie et son mythe incapacitant de l’égalité raciale, de lever une force paramilitaire blanche dont la fonction est d’exterminer sans procès tout criminel ou délinquant allogène, puis de procéder au nettoyage ethnique à grande échelle.

Opter pour des soins palliatifs en « gendarmant » des populations étrangères criminogènes comme le font les démocraties antiracistes ne peut conduire qu’au développement massif de ces cartels.

Sans escadrons de la mort, pas de solution.

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