Matinik: nwa boule tout bagay epi mande anpil lajan

La Rédaction
Démocratie Participative
19 septembre 2024

 

Après Mayotte et la Calédonie, c’est au tour du boulet colonial antillais d’exploser de rage raciale.

Comme toujours, ces mulâtres exigent que les Blancs leur donnent de l’argent.

Beaucoup d’argent.

Vous n’avez même pas idée des montants qu’ils exigent.

S’ils dénoncent la colonisation, ce n’est pas pour décoloniser. L’idée de voir les Blancs les abandonner sur leur île les terrifie.

Non, ce que ces « révolutionnaires » noirs veulent ce sont d’énormes montagnes de cash que l’homme blanc devra éponger à la sueur de son front.

La colonie martiniquaise coûte à elle seule plus de 2 milliards d’euros par an aux contribuables blancs. C’est près de 3 milliards d’euros pour les nègres de Guadeloupe.

Mises bout-à-bout, toutes ces colonies coûtent plus de 20 milliards d’euros par an à l’homme blanc hexagonal, 200 milliards sur dix ans, en expansion constante.

C’est deux portes-avions nucléaires chaque année, vingt sur dix ans.

Ou 15 CHU chaque année, 150 en dix ans.

À la place, nous avons 30% de la population française et 70% du territoire en désert médical.

Le problème que nous avons en France, c’est que les Blancs vivent encore inconsciemment à l’ère coloniale.

Ils pensent que la puissance d’un pays est indexée sur la superficie contrôlée par un état. Ils ont la certitude que cette myriade de cailloux stupides peuplés de cafres est un facteur de puissance, de prospérité et d’influence.

La plupart d’entre eux n’y foutra jamais les pieds, mais ils n’en démordent pas.

S’ils prenaient la peine d’écouter pendant 30 minutes leurs « compatriotes » négromorphes de ces îles discourir à leur sujet, ils commenceraient à réévaluer la situation.

Cette conception archaïque remonte à l’époque où la force d’un état reposait sur la production agricole.

Depuis la révolution industrielle, nous avons quitté ce paradigme. Le Japon est un archipel volcanique dépourvu de ressources soumis aux tsunamis et aux tremblements de terre, ce qui n’empêche pas cet état d’être l’une des principales économies du monde.

Ce qui fait la puissance d’un état, c’est sa race. Selon son intelligence, sa capacité de travail et d’organisation, un état sera puissant ou non.

Le Congo fait 5 fois la France, croule sous les ressources naturelles, et pourtant il stagne à l’ère du néolithique. Si la raison en est mystérieuse pour les gauchistes blancs, la réponse est simple à trouver.

Cette vérité fondamentale est activement ignorée par l’état démocratique actuel qui nous noie toujours plus sous les races les plus insolites et les plus inutiles.

Tous ces noirs insulaires sont employés fictivement par l’administration coloniale tandis que tous les biens de consommation y sont expédiés à prix d’or depuis la France.

Quand un homme blanc finit par dire à ces babouins la vérité, le régime négrocratique républicain se découvre une vivacité d’action dont il est incapable de faire preuve lorsque les bougnoules crament tout dans les banlieues.

Avec la France en faillite virtuelle, ce n’est qu’une question de temps avant que tous ces noirs des DOMTOM ne se mettent à tout détruire. Quand l’argent cessera d’affluer dans les volumes actuels, ce sera la chasse à l’homme blanc et la destruction généralisée.

Je continuerai de prêcher la dissolution finale de l’empire café-au-lait pour le bien du contribuable blanc injustement persécuté par les homosexuels souverainistes.

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