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La rédaction
Démocratie Participative
25 avril 2023
C’est quelque chose d’inédit dans l’histoire de France. La colonisation d’un territoire africain se transforme en arbitrage des interminables affrontements tribaux entre indigènes.
À peine sorti de sa jungle, le numéro 2 macroniste du département magique de Mayotte exige l’éradication physique de ses compatriotes comoriens.
Des nouvelles de l’opération « Wuambushu » à Mayotte.
En direct sur la télévision publique, le Vice-président du Conseil départemental de Mayotte, Salime Mdere, qualifie les jeunes Comoriens de « terroristes » et affirme dans le plus grand des calmes : « Il faut peut-être en tuer » pic.twitter.com/clVMzzmXch— Oui d’accord (@OuidaccordOK) April 24, 2023
Il n’y a rien qui distingue ce Comorien des autres Comoriens qu’il veut faire assassiner par les Blancs, hormis l’accès aux avantages sociaux qu’offre la transformation de ce caillou de l’Océan indien en « département français » au même titre que l’Eure-et-Loire ou la Sarthe.
Nous ne nous sortirons jamais de ce guêpier colonial, pas plus que le déploiement de l’armée française et le transfert de 20% du PIB français en Algérie n’ont empêché sa colonisation de se transformer en désastre.
Mayotte est devenue une pompe aspirante pour toute l’Afrique, mais aussi pour le sous-continent indien.
L’immigration immédiate n’explique pas tout. Avec 5 enfants par femme, cette populace islamo-mahoraise est en croissance exponentielle. Plus elles font de négrillons, plus elles touchent les subsides de la Crépublique.
Cette île a franchi le cap des 300,000 habitants en 2022 et gagne plus de 110,000 habitants tous les dix ans.
Ils seront 400,000 en 2030, probablement plus de 550,000 en 2040.
Peu importe que l’on expulse ponctuellement 10,000 Comoriens à quelques kilomètres de là, cela ne changera rien au fait que Mayotte est le plus grand champ de négroculture de l’Océan indien, financé à 100% par l’État français.
Si vous avez une connaissance minimale de la gestion avisée des hauts-fonctionnaires français de ce genre de questions, vous savez déjà que Paris va transporter le problème par voie aérienne en métropole et lâcher ces Nègres mahorais partout dans les campagnes et villes de France.
Je vous laisse méditer sur cette expérimentation.
Il n’y a aucun problème de titres de séjour à régler, car ces indigènes sont déjà français légalement.
Le RN l’a bien compris. Sa grande politique coloniale lui permet de transformer cette biomasse invasive en manne électorale.
Plus il y en a, mieux c’est pour Marine Le Pen.
Et de toute façon, il suffit qu’un Nègre agite un drapeau français pour que tout souverainiste qui se respecte exige que l’on signe tous les chèques nécessaires à l’entretien de ce brûlant patriotisme.
La seule solution viable est l’indépendance unilatérale, mais cela n’arrivera pas. Les dirigeants français se battront avec la dernière énergie pour s’assurer que ces sauvages bénéficient de tout le confort que les droits de l’homme leur promettent.
Ils vont démanteler maternités, écoles, hôpitaux dans tout l’arrière-pays de France, mais engager avec fanatisme cette bataille pour la survie de l’empire café-au-lait dans l’Océan indien.
Ce sera à vous, contribuable, de payer ce grand projet de civilisation.
Si jamais vous bronchez avec des histoires de sous, vous serez qualifié de traître à la nation par les ultras souverainistes dévoreurs de boches.
Ce truc doit aller à son terme et la république s’assure de faire de Mayotte un nouveau Dien Bien Phu, mais un Dien Bien Phu à l’image de la société française de notre époque, c’est-à-dire fiscal et négrocalyptique.
