Mediapart instaure un commissaire politique « aux questions raciales »

La Rédaction
Démocratie Participative
27 septembre 2024

La droite : « Non, Fatima, les races n’existent pas »

Aussi la droite en soirée :

Alors que les losers de la droite antiraciste française s’enfoncent dans le négationnisme racial, la gauche radicale avance et vite.

Mediapart a annoncé la nomination d’un commissaire politique aux questions raciales.

Mediapart :

Parler de « race » aujourd’hui en France suscite des polémiques sans fin, alors que le racisme se déchaîne et se propage dans toutes les sphères de la société, et de la politique. Le mot est tabou, il a même été rayé de la Constitution au nom des valeurs qui sont censées nous animer.

Justement, c’est à Mélenchon que l’on doit cette régression lexicale. Lui et sa bande ont exigé et obtenu cette censure du mot « race » dans la constitution.

Notez qu’en 2018 aucun député – zéro ! – n’avait jugé odieux l’abolition de ce concept essentiel. Et surtout pas les députés inutiles du RN dirigés par cette nationaliste mahoraise fanatique de Marine Le Pen.

Mais l’influence de ces obscurantistes s’évanouit rapidement.

Avec désormais 17 millions d’allogènes en France, l’époque où la gauche juive pouvait imposer la négation du fait racial en culpabilisant les Blancs est révolue.

Une nouvelle ère commence. Une ère hyper raciste.

Mais alors comment décrire le racisme, si nous ne pouvons pas nommer – ni mesurer – les expériences vécues par celles et ceux qui subissent des oppressions raciales liées au fait d’être perçus, et traités, comme « Arabe », « Noir », « Asiatique », etc. ? Comment décrire les hiérarchies raciales si le mot « Blanc » est interdit du vocabulaire ?

En octobre 2020, Mediapart a décidé de créer un poste de responsable éditoriale aux questions de genre pour « veiller, de manière transversale, à ce que le journal concerné soit plus inclusif dans son traitement éditorial et dans son fonctionnement interne ».

Quatre ans plus tard, fidèle aux valeurs « radicalement démocratiques » que porte le journal, Mediapart complète ce poste de « gender editor » en créant une fonction de responsable éditoriale aux questions raciales, pour veiller aux biais discriminatoires dans les contenus éditoriaux (texte, vidéo, podcasts…) et dans le choix des interlocuteurs et des interlocutrices.

Cette créature marron va faire régner la terreur dans les couloirs de Mediapart

Ce choix vient concrétiser des discussions plus anciennes, notamment dans le cadre de la Commission diversité de Mediapart – devenu Comité antiraciste –, et qui ont rebondi à l’occasion de plusieurs débats au sein de la rédaction au moment de la préparation du nouveau projet éditorial porté par Lenaïg Bredoux et Valentine Oberti. Il figure également dans les recommandations de l’Ajar, l’association des journalistes antiracistes et racisé·es.

Apparemment c’est un vrai truc.

Pour mener à bien cette noble et audacieuse mission, nous nous sommes fixé une feuille de route, avec des chantiers à démarrer rapidement, et d’autres à développer au long cours.

Premier chantier : les mots
Le mot « race » fait peur. Nous le savons bien.

Il évoque l’esclavagisme, le colonialisme, le nazisme. Il est même l’objet d’une répulsion républicaine, tant nous aimons au « pays des droits de l’homme » se croire indifférent à la couleur. Alors, pour parler de ce (ceux) qui dérange(nt), certains préfèrent le vocable euphémisant de « quartiers populaires », de « minorités visibles », de « descendants d’immigrés », ou encore d’« ethnie »… D’autres carrément de « sauvageons », quand ce n’est pas de « racailles »… Mais substituer les mots est à la fois incorrect et fallacieux. Cela détourne le regard en fixant notre intérêt sur les groupes jugés problématiques, plutôt que sur la politique de racisation qui vise à séparer certains Français·es du reste de leur concitoyen·nes, de certains êtres humains de l’humanité…

« La bataille » des mots – notre terrain de jeu – est à ce sujet, essentielle. Pour la mener, il faut porter la plume dans la plaie, en parlant plus franchement de la race (la racialisation, la racisation…), la blanchité, les privilèges, etc. Mais avec justesse, et clarté. Ce champ nous intéresse en tant que journalistes – nous comptons élaborer un glossaire et un guide des bonnes pratiques –, car le vocabulaire que nous choisissons détermine ce que l’on s’autorise à regarder et les moyens que l’on se donne pour décrire la société. Ces mots sont donc des outils, mais pas seulement, ils sont aussi l’objet d’une bataille idéologique violente, où les intimidations et les anathèmes font rage.

C’est absolument exact.

On ne peut pas changer la réalité si la décrire avec exactitude est impossible.

Cela vaut bien sûr pour les Blancs dotés d’une volonté de vie qui veulent en finir avec l’inhibition de leurs instincts commandés par la pudibonderie des curés antiracistes.

Autant dire que la droite Martin Luther King ne va du tout aimer.

La droite, c’est la gauche d’hier, en toutes circonstances. À présent que les populations non-blanches s’affirment racialement, la droite hexagonale reprend à son compte ce qui en 2018 encore était un combat de gauche.

Celui de Mélenchon en l’occurrence.

Et très vite le mythe de l’holocauste est convoqué, ce qui est parfaitement logique puisque l’antiracisme – la haine de l’homme blanc –  a été érigé en système à Nuremberg.

C’est une heureuse évolution.

L’édifice politique, juridique, idéologique et culturel mis en place à Nuremberg ne pouvait être détruit que de l’intérieur sous l’effet de ses contradictions.

Rééduquées dès l’enfance par ce système pour être dépourvues de toute conscience raciale collective, les populations blanches ne pouvaient pas s’émanciper d’elles-mêmes.

Sans l’immigration non-blanche, l’empire antiraciste juif aurait pu durer mille ans.

C’est sous l’effet concret du système de Nuremberg – antifascisme, démantèlement des frontières, dissolution des appartenances ethniques dans le monde blanc, immigration de masse – que les conditions de sa destruction se forment.

Cette rupture terrifie les juifs.

Les juifs ont systématiquement soutenu la démocratie libérale dans les pays blancs en raison de son caractère dissolvant pour les peuples blancs. Dans une démocratie libérale, l’État et le marché remplacent progressivement les unités collectives organiques, qu’elles soient familiales, ethniques, nationales, religieuses. Si le juif ne se départit jamais de sa conscience raciale, pour s’infiltrer et se mouvoir sans craindre de résistance autochtone il doit concasser les peuples en individus atomisés, sans loyauté commune pour leur propre race.

Le juif peut alors s’ingénier à diviser pour régner, jouant une sous-catégorie sociale contre une autre : gauche contre droite, religieux contre athées, prolétaires contre patrons, homosexuels contre hétérosexuels, etc.. Le juif est le destructeur par excellence pour cette raison, le principe fondamental de toute division, de toute guerre.

Pour le juif, il s’agit de jouer sur les deux tableaux : appliquer aux autres la démocratie individualiste qu’il se garde bien de s’infliger.

Ce double-jeu se manifeste de façon spectaculaire depuis la formation du soi-disant « état » juif en Palestine, et singulièrement depuis le début de la guerre à Gaza. Tous, comme un seul homme, dans tous les pays où ils vivent, agissent ouvertement comme une cinquième colonne entièrement dévouée à la cause de la race juive au Proche-Orient.

Parce qu’il est désormais dénoncé pour ce qu’il est par le groupe arabo-musulman concurrent, le juif est de plus en plus démasqué aux yeux de tous.

Sans le camouflage de son mimétisme social, le juif ne peut subvertir pour l’intérêt bien compris de sa race. Il doit assumer sa politique au grand jour. Or, en démocratie, le seul rapport de force numérique face à un groupe racial et religieux conscient de lui-même le condamne à la défaite.

La pseudo lutte contre « l’antisémitisme » n’est que l’arrogante prétention du juif à faire taire ceux qui constatent son double-jeu racial.

Les démocraties antiracistes soutiennent le nationalisme racial juif, y compris dans ces opérations militaires les plus brutales.

Dans le même temps, elles répriment avec zèle toute manifestation de défense collective chez les Blancs.

Un homme a été emprisonné pour deux ans après avoir apposé des autocollants portant des slogans tels que « C’est normal d’être blanc » et « Rejetez la culpabilité blanche ». Il s’agit d’un outrage à la liberté. Emprisonner des personnes pour ce qu’elles pensent et disent relève de la tyrannie, déclare Brendan O’Neill.

Le fascisme, singulièrement le fascisme allemand, a été une réaction au processus de dissolution racial qui était en cours.

Après une guerre mondiale pour stopper la libération de l’homme blanc initiée par l’Allemagne nationale-socialiste, Nuremberg visait à river définitivement dans sa cervelle l’impossibilité de sortir de la matrice antiblanche qu’est la démocratie juive. Depuis 80 ans, la religion de l’holocauste culpabilise l’homme blanc pour qu’il accepte sa domestication.

La mentalité du bourgeois blanc, zombifié par les juifs et leur démocratie, consiste à rejeter d’instinct toute loyauté fondée sur les liens intimes du sang.

En démocratie, c’est l’argent qui détermine la légitimité des liens. L’antique loyauté gratuite du sang est remplacée par l’anonyme « contrat social » démocratique au terme duquel le légalisme, l’impôt et le marché fixent la valeur des hommes et des choses.

Remplacer les Français de souche par l’Afghanistan ? Oui, si ces Afghans entrent LÉGALEMENT, PAIENT LEURS IMPÔTS et DISENT MERCI.

Le golem qu’est la droite antiraciste aboie comme un chien de garde quand un Blanc essaie de sortir du goulag mental de la démocratie de marché.

L’hostilité petite-bourgeoise vis-à-vis de l’islam n’est la plupart du temps qu’une réaction atavique de peur qui résulte du conditionnement libéral.

Contrairement aux apparences, l’antiracisme de la petite-bourgeoisie blanche de gauche est identique, mais cible un autre objet. En lieu et place des populations musulmans grégaires, c’est le spectre du grégarisme blanc qui la terrifie.

C’est pour cette raison qu’elle guette avec désespoir l’ombre d’un catholicisme oppressif qui n’existe plus : ancienne religion « des Blancs », son retour tant désiré permettrait de culpabiliser « comme avant » les Blancs tentés par un collectivisme communautaire.

La peur que le groupe prime l’individu terrifie le bourgeois blanc, anarchiste mou soucieux de la suprématie de son égoïsme, indissociable de la société de consommation et de loisirs à laquelle il est tant attaché.

Dans le monde horizontal de la démocratie marché, aucune valeur collective ne doit animer l’homme blanc. Les seules « valeurs » légitimes sont des anti-valeurs, c’est-à-dire des injonctions à ne respecter aucun principe collectif. De la déification des juifs (dont le négatif est la diabolisation de l’homme blanc), au féminisme (idem) en passant la préférence étrangère, l’homme blanc, pilier naturel des sociétés aryennes, doit être empêché de rétablir l’ordre.

En tant que force réactionnaire sous direction juive, la droite antiraciste devient logiquement l’alliée d’évidence pour la juiverie. Idéale parce que domestiquée, elle permet de maintenir l’homme blanc dans l’absence de conscience raciale, condition dont le juif a besoin pour continuer de se mouvoir dans les pays occidentaux, tout en servant de gourdin pour intimider les groupes raciaux concurrents qui se forment sous l’effet de l’immigration.

CNews est l’outil de propagande privilégié de cette stratégie juive qui vise à utiliser le golem blanc à la fois contre les allogènes et les rebelles blancs qui voudraient renverser l’ordre judéo-démocratique au nom des intérêts de la race blanche.

La gauche marron est en train de nettoyer la gauche juive de l’hypocrite antiracisme juif. D’ici peu, le paradigme racial effacera les thèses séniles de 1789 et replacera la réalité matérielle de la race au coeur du combat politique.

Le nouveau chantier consiste à réhabiliter le racisme chez les Blancs, ce qui implique de combattre avec détermination la droite antiraciste, proxy de la juiverie antiblanche.

Il nous faut, à nous aussi, des commissaires politiques aux questions raciales afin de mener le travail d’épuration sans lequel l’homme blanc restera l’esclave des races étrangères.

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