La nouvelle présidente juive du Mexique exige de l’Espagne qu’elle s’excuse pour avoir libéré le pays des mangeurs d’hommes aztèques

La Rédaction
Démocratie Participative
27 septembre 2024

Le Mexique est un désert sinistre peuplé de gangs indigènes qui pratiquent encore de nos jours les sacrifices humains. 

Tombé aux mains des juifs, le Mexique, ce pays de narco-trafiquants adeptes des sacrifices humains, déclare la guerre à l’Espagne.

Si l’UE servait à quelque chose, nous mettrions ce régime sous sanctions.

Le Monde Diplomatique :

Pour le quotidien espagnol El País, qui en fait tout un éditorial, c’est un “faux pas de Sheinbaum” qui “dévoile aux yeux du monde entier une propension à la tension diplomatique qu’il vaut mieux ne pas avoir lorsqu’on défend la fraternité entre deux peuples”.

Outre-Atlantique, dans le plus grand pays hispanophone du monde, le quotidien mexicain de centre droit El Universal commente : “La politique étrangère de Sheinbaum commence mal… la présidente élue est littéralement partie du mauvais pied dans ses relations internationales.”

Jamais la tension diplomatique n’a été aussi forte entre l’Espagne et le Mexique, “deux nations qui ont en commun d’énormes intérêts culturels et économiques”, continue le journal espagnol.

La raison ? Délibérément, et contrairement à tous les usages diplomatiques, le chef de l’État espagnol, le roi Felipe VI, n’a pas été invité à l’investiture, mardi 1er octobre, de Claudia Sheinbaum, élue le 2 juin dernier. Une décision qualifiée d’“inacceptable” par Madrid, qui, du coup, n’enverra aucune délégation à la cérémonie officielle.

La juive Sheinbaum va détruire le Mexique. Notez bien ce que je dis.

Une vieille histoire a ressurgi soudainement : en mars 2019, trois mois après son investiture, le président mexicain de gauche Andrés Manuel López Obrador – dit “AMLO” –, prédécesseur de Claudia Sheinbaum, avait demandé des excuses au roi Felipe VI pour les “dommages” causés par la conquête de ce qui allait devenir le Mexique.

Mercredi 25 septembre, “Claudia Sheinbaum a rappelé que la requête de López Obrador n’avait pas reçu la réponse diplomatique espérée”, relate El Heraldo de México. En fait, comme dans toute monarchie parlementaire, où le roi n’a pas de pouvoirs diplomatiques, c’est le ministère des Affaires étrangères espagnol qui avait répondu à l’époque, évoquant des “peuples frères” et “un héritage commun” : “L’arrivée il y a cinq siècles des Espagnols sur les terres mexicaines actuelles ne peut être jugée à l’aune des considérations d’aujourd’hui ».

Mais AMLO n’a jamais lâché l’affaire – l’absence de réponse personnelle du roi d’Espagne. Repris par le quotidien de gauche La Jornada, il a ainsi justifié que Felipe VI ne soit pas invité à l’investiture de sa dauphine : “Je pense qu’il est plus que temps de changer cette posture arrogante, de raconter l’histoire d’une manière différente aux nouvelles générations d’Espagnols, et d’en finir avec le racisme.”

Ces gens considèrent que les empêcher de sacrifier des enfants en leur arrachant le coeur devant des foules hystériques est « raciste ».

Les Espagnols n’ont pas tué assez de ces cannibales.

Comme d’ordinaire, les juifs dans cette affaire agissent sous l’effet des trois sentiments qui les gouvernent : le culot, la soif de destruction et l’absence totale de scrupules.

Aussitôt élue, et ce au moment où dans leur colonie les juifs se livrent à la plus grande campagne génocidaire du 21e siècle, la juive Sheinbaum se met à faire chanter l’Espagne pour avoir civilisé le Mexique.

Le peu de culture que le Mexique a, il le doit aux Espagnols. Sans eux, ils en seraient encore à sacrifier leurs congénères.

Si les Mexicains devaient faire quelque chose, c’est remercier les Espagnols d’avoir fondé leur pays.

La juiverie utilise froidement le ressentiment de certains nostalgiques de l’ère des Aztèques buveurs de sang pour les besoins de sa propre campagne d’extermination coloniale au Proche-Orient.

Ils sont prêts à tout.

La soif de sang génocidaire des Hébreux correspond à la nature des Aztèques abusivement appelés « Mexicains ».

Claudia Sheinbaum – la première présidente juive du Mexique

Mazal tov

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