Moment BFMTV : « Non », Sarah Saldmann n’éprouve aucune compassion pour les nourrissons assassinés à Gaza par l’armée juive

La rédaction
Démocratie Participative
01 décembre 2023

 

En ce mois de décembre, vient l’époque où nous allons devoir désigner « Le sale juif de l’année 2023 ». Jehovah a été très généreux, tout particulièrement depuis le 7 octobre.

Quelle moisson extraordinaire !

Dans la catégorie « Espoir », Sarah Je-n’ai-pas-vu-beaucoup-de-goys Saldmann tient la corde.

Un véritable coeur de pierre.

L’avocate Sarah Saldmann répond un « non » glacial, à une auditrice qui lui demandait si elle pouvait également avoir de la compassion pour les enfants de Gaza tués par Israël. pic.twitter.com/lkyLBV6GYu

— Histoire & Savoir 📚 (@HistoireSav) November 29, 2023

En réalité, Sarah, comme tous les juifs, se délectent des images de bébés souffrant le martyre. C’est un sentiment sanguinaire très ancré dans la cervelle des juifs depuis l’Antiquité.

Comme ses congénères, les 8,000 enfants déjà assassinés par Israël n’assouvissent pas sa soif génocidaire.

What about the children of Gaza? pic.twitter.com/b3klCVM25L

— OTHMAN AL_SALAMI (@3thman_IQ) November 30, 2023

Les juifs se présentent comme l’incarnation de la moralité universelle. C’est une conception d’eux-mêmes à laquelle ils adhèrent fortement. La décence morale, disent-ils, se transmet par la mère et elle est un privilège exclusif de la race juive.

Les goyim, eux, sont des bêtes dénuées de jugement.

Dans leur insondable générosité, les juifs considèrent que Yahvé, le juif fondamental, les a lestés du fardeau d’enseigner aux goyim à bien se comporter. À « être moral », c’est-à-dire, à servir la race juive.

Cependant, il n’est pas rare que les juifs apparaissent en public comme d’authentiques psychopathes, à l’instar de Sarah. S’ils exigent de l’humanité qu’elle se subordonne au magistère du peuple élu et qu’elle l’aime, l’inverse n’est pas vrai. Les juifs n’aiment personne et comme personne ne les aime en retour, ils font des lois dans les pays étrangers qu’ils infiltrent pour obliger les gens à les aimer.

Ceux qui pensent sincèrement qu’il y a « un problème d’antisémitisme » sont comme ceux qui pensent qu’une femme abusive n’est pas la cause d’une relation toxique. Plus ils cèdent aux exigences d’une telle femme, plus elle est abusive et ce cycle ne prend jamais fin.

Regardez cette définition de la personnalité toxique et comparez-la avec la personnalité des juifs.

Psychologue.net :

1. Les personnes toxiques sont manipulatrices. Leur mode opératoire est d’amener les gens à faire ce qu’elles veulent qu’elles fassent. Tout tourne autour d’elles. Elles utilisent d’autres personnes pour accomplir quel que soit leur objectif. Oubliez ce que vous voulez ; il ne s’agit pas d’égalité dans une relation – loin de là.

2. Elles portent des jugements. Gardez les yeux et les oreilles ouverts aux critiques – à propos de vous, de ce que vous avez fait et de ce que vous n’avez pas fait. Ce n’est jamais à leur sujet, et elles mentiront si cela les sert.

3. Elles n’assument aucune responsabilité pour leurs propres sentiments. Au contraire, leurs sentiments sont projetés sur vous. Si vous essayez de leur faire remarquer cela, elles défendront probablement avec véhémence leur point de vue et n’assumeront aucune responsabilité pour presque tout ce qu’elles feront.

4. Elles ne s’excusent pas. Elles ne voient aucune raison de le faire, car les choses sont toujours la faute de quelqu’un d’autre. Dans de nombreux cas, bien qu’elles essaient d’orchestrer les relations pour servir leurs propres fins, elles essaient de gagner de la sympathie et de l’attention en revendiquant le statut de «victime».

5. Elles sont incohérentes. Il est difficile de savoir avec qui vous êtes à un moment donné, car elles ne sont souvent pas la même personne. Elles peuvent changer leur point de vue, leur attitude et leur comportement en fonction de ce qu’elles pensent devoir accomplir ou de ce qu’elles souhaitent voir se produire. Et elles savent être gentilles quand elles veulent quelque chose de vous.

6. Elles vous font faire vos preuves auprès d’elles. Les personnes toxiques vous demandent de les choisir plutôt que quelqu’un d’autre, ou quelque chose qu’elles veulent plutôt que quelque chose que vous voulez. Souvent, cela se transforme en une dynamique «diviser pour conquérir» dans laquelle le seul choix c’est elles, au point même de vous obliger à couper d’autres relations significatives pour les satisfaire.

7. Elles vous font vous défendre. Elles ont du mal à rester au fait de certaines questions, probablement parce qu’elles ne sont pas intéressées par votre point de vue ou parce qu’elles essaient de parvenir à une conclusion à l’amiable. N’oubliez pas qu’elles sont des manipulatrices suprêmes : leurs tactiques peuvent inclure le fait d’être vague et arbitraire, ainsi que de détourner l’attention de la discussion vers la façon dont vous discutez d’un problème – votre ton, vos mots, etc. Ils se concentrent sur les problèmes, pas sur les solutions.

8. Elles ne se soucient pas, ne vous soutiennent ni ne s’intéressent à ce qui est important pour vous. En fait, les bonnes choses qui vous arrivent détournent l’attention d’elles et les empêchent de se concentrer sur leurs propres objectifs. Méfiez-vous des personnes qui vous  font souvent des reproches. La loyauté leur est étrangère.

Étonnant non ?

Tout comme il y a des personnes toxiques, il y a des peuples toxiques.

Les juifs sont le peuple le plus toxique de la terre, ce qui lui a valu la comparaison à un champignon vénéneux par l’héroïque Julius Streicher.

Nos lecteurs en mesure toute la cruelle réalité aujourd’hui.

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