Nous entrons en territoire révolutionnaire

La Rédaction
Démocratie Participative
07 août 2024

 

La classe dirigeante britannique se mobilise avec la même intensité que la bourgeoisie derrière Macron et Mélenchon lors des dernières élections législatives.

Les médias reçoivent les consignent du ministère de l’intérieur qui les publient avec zèle.

Hier, la rumeur de « 100 » manifestations « d’extrême-droite » était lancée par la clique de Starmer pour mieux prétendre le lendemain que la crasse gauchiste et immigrée rameutée pour l’occasion les avaient fait disparaître des rues.

Il s’agit d’une opération de guerre psychologique pour intimider la population blanche.

La presse populiste de droite s’exprime comme Libération.

L’ultra-gauche et les gangs musulmans deviennent des « manifestants anti-haine » qui font « baisser les yeux » des « voyous ».

Ou encore, « La Grande-Bretagne tient fermement contre les voyous ».

Les « voyous » sont les prolétaires blancs lassés de voir leurs enfants se faire hacher par les allogènes qu’importe à marche forcée la classe dirigeante britannique.

Les « manifestants anti-haine » sont des hordes de musulmans armés qui hurlent à l’instauration du califat.

Des musulmans, couteaux à la main, crient Allah Akhbar à Croydon, Londres.
Où est la police ?

Le gouvernement de gauche à peine élu a si ouvertement pris position pour les factions musulmanes les plus radicales, quitte à leur donner carte blanche dans les rues contre les Blancs, que la rupture est consommée.

Ce que nous avons vu ces derniers jours, c’est la fin de la relation entre le parti travailliste et la classe ouvrière blanche.

David Starkey affirme que la classe ouvrière blanche est le seul groupe qui n’a pas le droit d’avoir des « leaders communautaires ».

Ce n’est pas qu’une question « droite/gauche », car ces allogènes ont été importés pendant plus d’une décennie par la droite affairiste qui marche main dans la main avec la gauche.

La différence réside dans le fait que la gauche a théorisé la haine raciale anti-blanche. D’un mouvement ouvrier anti-bourgeois au 19e siècle, elle est devenue anti-impérialiste puis anti-colonialiste.

Quand la bourgeoisie a décidé de repeupler la Grande-Bretagne avec le tiers-monde dans les années 1960, son anti-colonialisme a fixé sa haine non plus sur la bourgeoisie, mais sur l’homme blanc ordinaire.

Comme la gauche blanche n’a plus besoin des électeurs blancs, sa transformation en parti de l’étranger, anti-autochtone, est à présent finalisée.

Face aux indigènes blancs qui refusent d’être mis en minorité, le système démocratique libéral, qui pour des raisons idéologiques nie avec fanatisme l’existence matérielles des races tout comme les déterminismes sociaux que les différences raciales structurent, forme une alliance de plus en plus étroite avec les cercles affairistes, la gauche radicale et les allogènes. Elle réagit à l’unisson lorsque les Blancs résistent.

Une inversion opérationnelle a lieu. Le système démocratique perpétue sa politique coloniale impérialiste de jadis, mais à l’intérieur des frontières occidentales. Cette fois, c’est la population indigène blanche que l’élite coloniale doit pacifier et non plus des indigènes en Asie ou en Afrique.

On peut dire que les Blancs sont engagés dans une lutte de décolonisation contre un régime qui leur est de plus en plus foncièrement étranger et hostile et qui s’appuie sur des minorités allogènes pour les dominer.

La classe dirigeante française observe ce qui se passe avec inquiétude, craignant un mouvement de soulèvement indigène similaire.

BFMTV, la chaîne de cette classe, trouve des vertus insoupçonnées aux antifas qui vont, comme en Ukraine, jouer les volontaires.

La bourgeoisie macroniste prépare l’approfondissement du front antiblanc mis en place en juin.

Partout, nous allons voir la bourgeoisie agir de même pour sauver son système d’exploitation dont l’immigration totale est la pierre angulaire.

Nous sommes dans une situation où la rupture est bien plus profonde que simplement politique.

La bourgeoisie urbaine blanche pro-immigration est dans son processus final de décomposition biologique. Cette part génétiquement défectueuse du peuplement blanc que l’on retrouve dans toutes les grandes villes d’Europe est la souche pourrie sur laquelle prospère le christianisme sécularisé – « la gauche » -, phase terminale de la lèpre spirituelle qu’est l’abrahamisme.

Chez l’homme blanc, l’abrahamisme se conclut en rejet de greffe qui aboutit fréquemment par la mort de ce qui celui qui la reçoit.

On a d’ailleurs vu un beau front abrahamique se former au Royaume-Uni entre les prêtres homosexuels, les yahvistes à kippa et les mahométans, ligués contre l’homme blanc sous la direction de la démocratie financière.

Monsieur,

Ces derniers jours, nous avons vu avec horreur une petite minorité semer la haine, la violence et le vandalisme dans les villes et villages du pays. Nous avons été témoins de la haine antimusulmane et de la prise pour cible de mosquées, de l’agression de demandeurs d’asile et de réfugiés, de violences dirigées contre la police et la propriété privée, autant d’actes qui entachent notre conscience morale nationale.

Chaque citoyen britannique a le droit d’être respecté et la responsabilité de respecter les autres, afin qu’ensemble nous puissions construire une société cohésive et harmonieuse pour tous.

En tant que leaders religieux, nous saluons les nombreuses personnes qui se sont manifestées pour réparer les dégâts et restaurer leurs quartiers. Nous nous engageons à travailler avec le gouvernement et tous les secteurs de la société en vue d’un dialogue constructif et compatissant sur l’immigration et la cohésion sociale.

Le Grand Rabbin Sir Ephraim Mirvis

Le Très Révérend Justin Welby, Archevêque de Canterbury

L’imam Dr Sayed Razawi, imam en chef et directeur général de la Scottish Ahlul Bayt Society (Société écossaise d’Ahlul Bayt)

Imam Qari Asim, président du Conseil consultatif national des mosquées et des imams

Cardinal Vincent Nichols, archevêque de Westminster

Les divergences psychologiques ont atteint un point tel qu’il n’y a pas de discussion possible avec cette bourgeoisie blanche dégénérée, ce qui rend le processus électoral inutile dans la mesure où nous ne devons, ne voulons ni ne pouvons les gouverner « démocratiquement ». C’est bien l’éradication pure et simple de ces éléments blancs biologiquement déficients, fanatiquement hostiles à leur propre race, qui est ultimement à l’ordre du jour, que ce soit après demain ou dans un siècle.

Il ne faut pas percevoir cette bourgeoisie cosmopolite blanche comme des gens avec lesquels nous aurions des « désaccords », mais comme des sujets contaminés par une maladie infectieuse. Le confinement est la première mesure à lui appliquer.

La première chose à faire en attendant de procéder à cette vaste épuration du corps social, c’est de poser les bases d’une vision d’une monde aryenne, débarrassée des scories abrahamiques dont « les droits de l’homme » sont la forme ordinaire, pour réveiller la conscience raciale chez le plus grand nombre de Blancs possible. Une fois cette conscience éveillée, les mécanismes de conservation collective s’activeront et l’homme blanc reprendra sa marche en avant.

Le reste ne sera qu’une question de logistique, certes complexe, mais dont nous viendront à bout.

Comme tout mouvement révolutionnaire, cela passe d’abord par une avant-garde. Quand une avant-garde blanche aura sédimenté une pensée commune minimale et pourra la copier/coller dans les esprits d’autres Blancs, la révolution raciste sera inexorable.

Cette révolution des consciences n’a rien de commun avec la préservation du stato-nationalisme des souverainistes qui s’accommodent très bien des envahisseurs non-blancs moyennant une Marseillaise et des serments de loyauté à l’égard de la « France », mot qui, aujourd’hui, ne désigne guère plus qu’un périmètre géographique affligé des représentants de toutes les ethnies du globe.

Cette révolution est un ordre de choses complètement différent dont cette avant-garde sera pionnière, dans toute l’Europe, et au delà, partout où vivent des Blancs.

En parallèle à la formation de cette idée commune minimale, des points de fixation doivent être créés autour desquels les révolutionnaires formeront leurs bases opérationnelle dans les régions concernées.

Il ne s’agit pas simplement de bases logistiques, mais bien de centres spirituels aryens autour desquels se formeront les diverses branches du mouvement, y compris politiques. Ces centres existent déjà, ils ont été édifiés par nos ancêtres et parsèment toute l’Europe et sont actuellement enfouis sous terre ou transformés en « églises » aujourd’hui vides.

Je n’entrerais pas dans les détails pratiques ici pour le moment, il s’agit d’indiquer l’orientation générale.

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