Nouvelle tendance : les migrants fuient l’enfer multiculturel suédois pour se réfugier en Irak

La Rédaction
Démocratie Participative
15 octobre 2024

En moins de 50 ans, les boomers ont transformé la Suède en dystopie grand-remplacée où sévissent des gangs allogènes en toute impunité. Les immigrés qui pensaient pouvoir vivre dans un pays blanc avec de moins en moins de Blancs découvrent avec horreur que ça ne marche pas comme ça.

Après un demi-siècle ans d’expérimentation, la Suède féministe a enfin trouvé la solution pour intégrer les nombreux migrants musulmans qu’elle accueille. Cette formule est d’autant plus révolutionnaire qu’elle a été mise au point par les Musulmans eux-mêmes. Elle consiste à les intégrer dans leurs pays d’origine.

Remix :

Après plus de deux décennies en Suède, Amin est retourné dans son pays d’origine, décrivant le déménagement comme l’une des meilleures décisions qu’il ait jamais prises.

Dans une interview accordée à Dagens Nyheter, M. Amin a fait part de son expérience de chef d’entreprise en Suède pendant des années, avant que l’activité des gangs dans son quartier ne l’oblige à partir.

« J’ai oublié cette époque ! Maintenant, je vis comme un roi ! Je me développe, je me sens bien. On est beaucoup plus en sécurité en Irak qu’en Suède », a-t-il déclaré en évoquant sa nouvelle vie dans son pays d’origine.

L’Irak n’était pas le pays le plus favorablement coté pour son environnement sécuritaire.

Quand l’Irak devient plus performant en termes de sécurité publique qu’une démocratie scandinave, c’est que le moment est venu de se poser les bonnes questions.

Un homme blanc est désormais bien plus en sécurité à Bagdad au milieu des Musulmans qu’à Paris au milieu des Musulmans.

Les migrants que les démocraties occidentales importent en masse sont la lie de ces pays. Ils n’en veulent tellement pas eux-mêmes qu’ils les poussent à partir.

Compte tenu des volumes d’immigration insensés actuels, d’ici 10 ou 20 ans, presque n’importe quel pays du tiers-monde sera plus sûr que la France ou la Suède.

Amin a monté une affaire prospère après son arrivée en Suède à la suite de la guerre d’Irak. Il tenait un pub dans la banlieue de Stockholm. Cependant, la zone est devenue de plus en plus dangereuse à mesure que les gangs d’immigrés commençaient à dominer, exigeant des propriétaires d’entreprises locales une protection financière et recourant à la violence lorsque leurs demandes n’étaient pas satisfaites. Amin est devenu l’une de leurs cibles.

« J’ai déménagé en Suède parce que c’était un pays sûr. Maintenant, je quitte la Suède parce qu’elle n’est plus sûre », a expliqué Amin. Après avoir fait l’objet de menaces, de violences et d’extorsions répétées de la part d’une bande organisée de Skärholmen, il a décidé qu’il ne pouvait plus vivre ou travailler dans de telles conditions.

« Imaginez ce que vous ressentez lorsque vous travaillez 10 heures par jour et qu’une personne malveillante vient vous menacer et vous dire des choses dégoûtantes », a-t-il ajouté.

Malgré le soutien initial de la police locale, la situation s’est dégradée avec l’escalade de la violence. Plusieurs fusillades ont eu lieu dans le quartier, dont une mortelle juste devant son restaurant. « Il n’y a pas de sécurité en Suède. Je ne me sens plus en sécurité. On ne peut pas porter de beaux vêtements, une chaîne en or, une belle montre. On ne peut pas conduire une belle voiture parce que quelqu’un va la détruire », a déclaré M. Amin.

Il a ouvert un nouveau restaurant en Iraq et affirme qu’il se sent beaucoup plus en sécurité dans un pays qu’il avait fui, il y a à peine vingt ans, en quête de sécurité. « C’est plus sûr en Irak », conclut-il.

L’Irak est peut-être plus sûr, mais la Suède offre des avantages bien plus essentiels.

On peut y organise des parades anales, ce qui est formellement interdit en Irak.

Cela vaut bien quelques balles perdues.

 

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