Démocratie Participative Le site le plus censuré d'Europe
La Rédaction
Démocratie Participative
09 juin 2024
Nos pyramides d’Égypte ont besoin de vos sous.
Quatre-vingts ans après le massacre d’Oradour-sur-Glane en Haute-Vienne, il devient « urgent » d’empêcher les ruines de tomber. Ces pierres sont aujourd’hui les derniers témoins du massacre de 643 villageois le 10 juin 1944 #AFPVertical ⤵️ pic.twitter.com/4Htom6cAzR
— Agence France-Presse (@afpfr) June 8, 2024
Qu’est-ce que ça peut faire que des maisons en ruines tombent en ruines ?
Je ne comprends pas le concept.
Ils veulent maintenir en ruines des ruines ?
Quelqu’un comprend quelque chose ?
De toute façon, on sait déjà comment ça va se finir : des dizaines de millions d’euros puisés dans les coffres du contribuable vont être engloutis dans cette mystification, moyennant d’inavouables contrats opaques avec le BTP, les élus locaux, les associations « mémorielles ».
Comme Auschwitz, mais en plus petit, le site est un véritable Disneyland antifa qui fait vivre tout un microcosme antifasciste local.
C’est une basse histoire de fric sur fond d’escroquerie politico-intellectuelle.
Pour les moins informés, il n’y a jamais eu de « massacre » délibéré à Oradour de la part des Allemands. C’est une invention de la propagande communiste reprise par le putschiste De Gaulle.
Les troupes allemandes menaient dans le secteur une opération visant à sauver des otages capturés par des bandes communistes. Arrivés à Oradour, une base de terroristes antifas, les Allemands ont mis à l’abri les femmes et les enfants dans l’église, le seul édifice capable de recevoir une telle masse de gens, le temps de réaliser des fouilles et des interrogatoires. S’il s’agissait de les tuer, on les aurait pas séparés des hommes en âge de porter les armes pour commencer.
Les hommes, tous communistes, étaient maintenus à l’écart sous la garde de soldats.
Les recherches permirent de découvrir des caches d’armes dans différentes habitations, mais pas les otages. Pour une raison inconnue, une énorme explosion eut soudainement lieu au niveau du toit de l’église du village, tuant instantanément tous les occupants. Croyant à une attaque des bandes rouges, les Allemands fusillèrent immédiatement les hommes qu’ils tenaient en joue afin qu’ils ne puissent pas renforcer ce qu’ils pensaient être les positions des assaillants.
La question est donc de déterminer la cause de l’explosion dans l’église. C’est ce que Vincent Reynouard a découvert : dans le grenier de l’édifice se trouvait un stock d’armes et de munitions clandestin aux mains des communistes. Suite à une probable mauvaise manipulation, le stock a sauté, ce qui a déclenché la réaction en chaîne précitée.
Cela change tout. On passe d’une histoire de « barbares nazis mangeurs d’enfants » voulant tuer à l’aveugle à un désastreux quiproquo au beau milieu d’une opération de contre-guérilla.
Vous pouvez acheter le livre de Vincent Reynouard sur cette question, c’est le seul ouvrage de référence. Il n’a jamais été contredit sur le fond, point par point, parce qu’il n’y a rien à contredire.
Vincent vient d’ailleurs de produire une nouvelle vidéo sur le sujet.
Visionnez-la, faites-la visionner.
C’est une simple question d’honnêteté intellectuelle face à ceux qui nous mentent depuis toujours.
La seule chose qui ressemble à ce dont le régime et ses médias accusent les Allemands à Oradour a lieu actuellement à Gaza. Là-bas, l’armée juive tue sciemment des dizaines de milliers de gens pour récupérer quelques otages.
Bizarrement, le gouvernement français et les médias trouvent ça très bien. Ils disent que c’est de la légitime défense.
Gaza est le seul Oradour en existence. Un Oradour mille fois plus grand.
Il faut donc arrêter de parler « d’Oradour » pour parler de crimes de guerre commis par des fanatiques. C’est « Gaza » le terme désormais en usage.
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