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La rédaction
Démocratie Participative
14 novembre 2023
Avec la manifestation juive de dimanche, nous avions constaté le fossé béant qui existe en Paris et la France.
Cela se confirme.
Le film décrété complotiste « Sounds of Freedom » par les médias juifs – BFM, par exemple, est clairement un média juif et cela fait des semaines que cette chaîne le descend – est purement et simplement boycotté par les salles de cinéma de la capitale « française ».
La sortie de #SoundOfFreedom massacrée à Paris !
Alors que le film sortira demain dans +500 cinémas en Province, le film est proposé dans…3 salles à Paris
UGC lui refuse les Halles et le relègue dans son pire cinéma parisien Gare de Lyon
MK2 (66 écrans) a refusé de le programmer pic.twitter.com/DcNYAo8nK9— Destination Ciné (@destinationcine) November 14, 2023
Nous n’apprendrons rien à personnes en disant que les juifs contrôlent toutes les salles de Paris. Accessoirement, ils contrôlent aussi le cinéma français. Et la télévision française. En fait tout ce qui s’écrit, se filme ou se joue.
La première chose qui fâche ces gens, c’est que l’acteur principal est Jim Caviezel, qui a joué le Christ dans le film de Mel Gibson.
Déjà à l’époque, les juifs avaient tenté de boycotter le film dans toute la France, parce que d’après eux l’histoire factuelle de l’exécution du Christ est antisémite.
Ensuite, l’histoire du film rappelle l’affaire Epstein.
À Tegucigalpa, au Honduras, Roberto, pauvre père de deux enfants, est approché par une ancienne reine de beauté, Gisselle. Elle propose de signer des contrats de mannequinat pour enfants à ses jeunes enfants, Miguel et Rocío. Il les accepte et les emmène à la séance photo. Quand il revient chercher ses enfants, ils sont partis. Il est révélé que les enfants ont été vendus pour être utilisés comme esclaves sexuels.
Tim Ballard, ancien agent du gouvernement, se lance dans une mission pour sauver les enfants. Le film est produit par Eduardo Verástegui, qui joue également un rôle dans le film. L’intrigue est centrée sur l’opération Underground Railroad de Ballard, bien que certains commentateurs aient remis en question son exactitude.
D’ailleurs, Epstein avait une antenne à Paris.
Son complice, le juif à passeport français Jean-Luc Brunel, a été liquidé dans sa prison en France.
Au vu du nombre de réseaux pédophiles que contrôlent les juifs à Paris, ce genre de films n’est vraiment pas pour leur plaire.
Une grande journaliste d’investigation est en train de clôturer un livre de fou sur Pierre Palmade. Sa vie va être dévoilée décennie après décennie. J’apparais dans un des chapitres du livre. Mais ce qui va profondément choquer les français c’est ce qu’il a fait avec Régine. pic.twitter.com/pT7RWuf255
— Zoé Sagan (@zoesagan) November 11, 2023
Régine, si vous l’ignoriez, n’est pas catholique.
Cela conforte les soupçons de beaucoup.
Du coup, ce film est tout bonnement mis à l’index partout où cela possible, c’est-à-dire dans Paris intra muros.
Et ce, depuis des mois.
Donc le film « Sound of freedom », dont Jim Caviezel est le héros, est sponsorisé sur Twitter. On peut entendre Caviezel, totalement exalté, faire la promo du film en parlant des délires conspis sur l’adrénochrome. Les QAnons adorent. pic.twitter.com/lynXMCbl7x
— Tristan Mendès France (@tristanmf) July 4, 2023
À ce stade, il faut partir du principe que Paris est un autre état d’Israël.
Si vous escomptiez aller au cinéma, mais que vous n’aviez pas d’idée de film, en voici donc une.
Cela contribuera à faire enrager qui on sait.
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