Pas-de-Calais : la joie éclate dans les chaumières après la mort par noyade d’au moins 12 migrants clandestins

La Rédaction
Démocratie Participative
03 septembre 2024

Glou glou glou

Formidable nouvelle en provenance de la Manche où des envahisseurs afro-musulmans se sont noyés.

France 3 :

Les secours sont déployés en nombre depuis 11h30 au Portel et à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), suite au naufrage d’une embarcation de migrants dans la Manche. Au moins 12 personnes ont perdu la vie selon un bilan provisoire, 9 autres seraient en état d’urgence absolue.

Le très large dispositif de secours est déployé depuis 11h30, ce mardi 3 septembre 2024. Des plongeurs, plusieurs camions de pompiers et du SAMU ainsi que des véhicules de police et de gendarmerie sont sur place.

Un poste médical avancé (PMA) a été mis en place à Boulogne-sur-Mer pour assurer une prise en charge des blessés, indique la préfecture maritime.

Le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Gérald Darmanin, ainsi que le préfet du Pas-de-Calais sont attendus sur place en fin d’après-midi aux alentours de 17 heures.

Et Darmanin va faire quoi sur place ?

Empêcher les crabes de passer à table ?

Les crabes mangeront, que ça plaise ou pas à cette blatte.

Une importante embarcation, avec à son bord 65 migrants sans gilet de sauvetage, a été secourue au large du Cap Gris-Nez, dans le Pas-de-Calais. Selon le dernier bilan communiqué par Gérald Darmanin, 12 personnes sont décédées, 2 sont portées disparues et plusieurs sont blessées.

Selon nos informations, 9 femmes et 3 hommes sont décédés lors de ce naufrage. 9 migrants en urgence absolue ont été transportés à l’hôpital, dont 6 hommes et 3 femmes. 44 autres personnes, dont 4 enfants, seraient indemnes.

L’équipe de France 3 Nord Pas-de-Calais présente sur place a constaté que plusieurs bâches blanches avaient été disposées sur le quai. « Je n’ai plus les mots, ça me glace le sang », témoigne Dany Patoux, présidente de l’association d’aide aux migrants Osmose 62.

Cette truie à nègres vit de ce business.

Elle les pousse carrément sur les bateaux après avoir copulé avec.

Si ce pays fonctionnait normalement, elle sera déjà dans un camp de travail en Guyane.

Ce matin du 3 septembre, c’est un navire réquisitionné pour des missions de surveillance, Le Minck, qui a aperçu l’embarcation en difficulté. L’équipage est intervenu dès que cette dernière s’est disloquée.

De quoi ils se mêlent ceux-là ?

Quand on voit un radeau saturé de basanés en train de couler, on regarde, on attend et on prend des photos pour les copains.

Le pire, c’est que cette saloperie de Darmanin a mobilisé des moyens colossaux pour sauver ces rats.

Même l’armée s’en mêle.

C’est à vomir.

La préfecture maritime de la Manche et de la Mer du Nord indique que plusieurs moyens de secours (maritimes, terrestres et aériens) ont été déployés sur la zone.

  • Trois hélicoptères (marine nationale, sécurité civile et douanes)
  • Un avion des douanes pour localiser les naufragés
  • Un remorqueur d’intervention de la Marine nationale, l’Abeille Normandie
  • Deux patrouilleurs (douanes et Marine nationale)
  • Deux embarcations des SNSM de Boulogne-sur-Mer et Calais
  • Deux navires de pêche
  • Plusieurs équipes médicales (SMUR et SDIS) ont été embarquées à bord de ces moyens.
  • L’Abeille Normandie, navire spécialisé dans les missions de recherche et de sauvetage, est désormais à quai à Boulogne-sur-Mer.

C’est surréaliste.

Les montants de cash déversés dans cette opération sont tout simplement colossaux.

Mais ce n’est pas tout.

Plusieurs semi-rigides de la marine nationale sont restés engagés dans la Manche, notamment dans le secteur du Cap Gris-Nez pour effectuer des allers-retours entre le large et la côte et rapatrier les derniers naufragés.

Ces missions de sauvetage sont désormais terminées et l’ensemble des naufragés a été rapatrié à Boulogne-sur-Mer. La mission de recherche continue, principalement à l’aide de moyens aériens.

Au total, 21 403 personnes sont parvenues à rejoindre les côtes anglaises sur des embarcations de fortune, depuis le 1er janvier 2024.

Le fric que ce régime engloutit pour les métèques est odieux.

Fric ou pas, ceux qui sont refroidit ne ressusciteront pas.

Ils font désormais le festin de la riche faune marine locale.

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