« Pensées pour ces morts du 6 juin »

La Rédaction
Démocratie Participative
06 juin 2024

 

Il se trouve que Pierre Gentillet a rappelé les évidences en citant De Gaulle.

Mais ce pauvre De Gaulle n’a jamais tiré les évidences de ses propres déclarations.

 » Le débarquement du 6 juin, ç’a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi !

Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s’apprêtaient à le faire en Allemagne ! Ils avaient préparé leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l’avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis.

C’est exactement ce qui se serait passé si je n’avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous- préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ?

Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n’est pas là ! »

A.Peyrefitte « C’était de Gaulle » – tome II – chapitre 14. 

De Gaulle était un con.

Un con et un rusé.

Con énorme et désuet parce que médusé, interrogatif devant la puissance américaine, gigantesque, boulimique. Débris d’un naufrage d’un autre siècle, gargouille disloquée. Un croque-mort aux pattes d’araignée qui danse sur un violon.

Rusé, parce que cette immense masse américaine, stupide comme une tumeur, allait à tâtons, sans science, sans vision. Ça pouvait se manoeuvrer, cette guimauve, comme les juifs la manœuvraient déjà. De Gaulle, remonté à grand peine sur la vieille mule française, allant cahin-caha, avait ses vieux tours en manche sous ses grands airs de vieille putain fatiguée.

Et il nous a flanqué sa république sur le dos, avec toute la lourdeur de ses juifs.

De Gaulle était un con réellement fantastique, qui s’ignore par définition.

Que croyait-il ?  Qu’on devait quelque chose à Jeanne d’Arc du côté de Washington ?

Oui !

De Gaulle le détraqué. Un fou qui a sauvé les meubles de la bourgeoisie française qui l’a dégagé comme il se devait, en temps et en heure, car, elle, n’était pas folle. Il s’est fait mijoter à feu doux, le De Gaulle, comme un bleu.

Et justement, depuis l’Amérique, l’hyper débarquement youtre, c’est du Hollywood.

Ils sont fermement aux commandes.

Propre, net, bien cadré. Ce n’est pas au vieux singe juif qu’on apprend à extorquer les émotions du goy.

Marvel !

Je souffre.

Pendant ce temps-là, quelque part, les vioques n’en finissent pas de déconner.

Débarquement, Lourdes, Jeux Olympiques. Ça fait une sortie.

Cette nouvelle guerre mondiale, je le confesse, je la désire de plus en plus.

Je veux ensevelir les vieux sous des montagnes de béton fondu, d’EHPAD éboulés.

Voir se faire éclater la panse de tous les résistants par procuration nés en 1978.

Leurs clébards aussi.

Elle me fait du charme, elle me séduit, meurtrière, cette guerre. Elle me tente. Je lui présente mes candidatures, très folichonnes, de belles salopes à faire canner en ligne. Et puisqu’on y vient – et quoique je ferais bien tuer d’abord et avant tout, de premier ordre, des inconnus complets qui osent se montrer à une commémoration républicaine, à une brocante à migrants – j’ai mes têtes.

Quelle liste !

Des notables, des tronches impossibles, des préfets en chapelet de saucisses, des truies odieuses du journalisme, et tellement d’autres profiteroles sur mon gâteau au souffre.

Puisque nous en sommes dans le registre 2GM, et des quarts de célébrités, Rougeyron (re)mérite d’être (encore) bollossé (par l’extrême-gauche).

Enterré vif, un gode dans le cul, tricolore, avec la tête de Gaulle en guise de gland.

« Les porcs qu’on abat », ça serait le nom du livre.

La Russie est si lointaine que j’en souffre,

Ou plutôt ses missiles,

Missiles de Russie, où êtes-vous ? Je languis,

Votre givre et vos flammes me tardent,

N’avez-vous point une âme à flétrir,

Pour plaire à votre barde,

Je m’en irai cueillir le gui,

Et de chiens remplir le fournil,

Moyennant bois et souffre,

Qu’à éclater d’épaisses boîtes crâniennes, je me hasarde.

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