Philippine & contre-manifestations antifas : l’évidence du polpotisme blanc

La Rédaction
Démocratie Participative
29 septembre 2024

 

Ces antifas sont tous blancs ou quasiment.

Et comble du grotesque, la meneuse de la minute de silence est une Maghrébine opportuniste.

Les allogènes en tant que tels sont fonctionnels. Ils viennent en Europe parce qu’on les laisse y venir ou qu’on les y encourage. Ils peuvent y semer le crime car les démocraties féministes sont par nature des régimes faibles.

Ce qui est anormal au terme des lois de la nature, c’est le masochisme viscéral qui anime les Chrétiens sans dieu que sont les gauchistes blancs.

Leur profil biologique ne trompe pas.

C’est ce que l’on appelle une fin de race.

J’ai souvent dénoncé les odieuses calomnies contre Pol Pot, figure de la révolution cambodgienne.

Pol Pot était un homme simple, issu du monde rural. Comme le buffle de rizière, il était de nature douce, mais d’une volonté ferme. Déterminé à libérer son pays des traîtres au service des impérialistes, il recruta et forma une élite guerrière composée de paysans, comme lui.

Vivant sans ostentation dans le coeur de la jungle, cet ascète révolutionnaire mit méthodiquement en place son grand plan de libération.

Les Khmers rouges étaient tous des paysans qui avaient vu leur pays ravagé par les effroyables bombardements de masse du juif Kissinger. Hommes, femmes, enfants, bétail, tout était incinéré par la machine de mort judéo-américaine.

Chaque point rouge de cette carte marque un bombardement américain.

La haine des paysans vêtus de noir allait aux traîtres qui, depuis Phnom Penh, aidaient les criminels de Washington dans leur entreprise de destruction de leur propre pays.

Malgré l’énorme soutien matériel américain, rien n’y fit. Pol Pot progressa village après village jusqu’à la capitale. Une seule idée les animait : pouvoir enfin mettre la main sur la gorge des traîtres qui riaient de leurs tourments depuis leur tour d’ivoire où l’argent américain coulait à flots.

La libération de Phnom Penh est une des plus grandes oeuvres d’art du 20e siècle.

La bourgeoisie qui avait si longtemps trahi fut soudain saisie d’effroi. En 48 heures, une capitale fut vidée de sa population. Les révolutionnaires la transférèrent en masse dans les campagnes pour reconstruire à la sueur du front le pays que ces bourgeois citadins avaient détruit pour le compte des Américains.

Cette entreprise révolutionnaire devait régénérer la race cambodgienne en filtrant biologiquement les éléments dégénérés qui, comme de la moisissure, avaient proliféré dans l’ambiance urbaine pourrie par le capitalisme de Phnom Penh.

Les éléments incorrigibles qui persistèrent dans leur attitude contre-révolutionnaire furent exterminés sans procès.

Pol Pot envoya un premier message aux traîtres et aux puissances impérialistes : on n’achèterait pas la révolution. Pour le prouver, il fit sauter la banque centrale du pays et ordonna d’abolir l’argent.

Les littérateurs occidentaux se sont lamentés sur cette action extraordinaire, omettant sciemment d’expliquer pourquoi des paysans quittèrent leurs fermes pour devenir cette formidable guérilla brûlant d’une ardeur révolutionnaire à toute épreuve, décidée à fondre sur la capitale pour en liquider la bourgeoisie.

C’est ce que ces révolutionnaires ont fait que nous ne faisons pas : encercler les traîtres de la classe dominante et l’exterminer.

« Si nous sommes individualistes, l’impérialisme pourra entrer facilement dans le pays » – Pol Pot

Si je parle de Pol Pot et de son oeuvre révolutionnaire, c’est pour évoquer le cas des traîtres avec lesquels nous serions censés coexister alors même qu’ils s’allient ouvertement avec l’ennemi. Leur impunité est allée si loin qu’ils ont même l’audace de descendre dans les rues à visage découvert pour tenter d’empêcher des gens de déplorer la mise à mort de jeunes Blancs par l’envahisseur.

Nous ne pouvons pas vivre avec ces gens, ni aujourd’hui, ni jamais.

Alors, que nous devons en faire théoriquement ?

La réponse est évidente : les liquider. Non pas comme individus, sporadiquement, mais comme classe, en bloc. Le profil de ces gens nous renseigne sur les professions qui doivent être systématiquement purgées. Nous retrouvons celles qui représentent l’arrogante petite-bourgeoisie intellectuelle, profs en tête, mais aussi des avocats, journalistes, etc..

Cette mauvaise graisse est en trop, elle putréfie tout, jusqu’à menacer l’organisme. Il est fondamental de comprendre qu’il n’y a pas de place sur cette terre pour de tels déchets biologiques. La gauche, cette viande blanche porteuse d’infection, doit être physiquement détruite.

C’est pourquoi la méthode de Pol Pot doit être étudiée et mise à jour.

Le polpotisme aryen est une nécessité. La lucidité mène l’honnête homme à cette conclusion.

Il faut un Angkar aryen.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.