« Plus de neige en 2030 » affirme Sandrine Rousseau

La Rédaction
Démocratie Participative
26 juillet 2024

 

J’ai vraiment aimé ce tweet.

Tout d’abord parce qu’avec 1,2 million de vues, il est extrêmement efficace.

Je ne suis pas sûr que Sandrine Rousseau anime personnellement son compte, elle a probablement une petite équipe pour mettre en forme ses messages.

Ce message est excellent sur la forme parce qu’il polarise à l’extrême le public grâce au point de vue volontairement outrancier qu’il adopte.

Il est aussi conçu de telle manière que Sandrine pourra toujours se dédire en disant qu’on avait « mal compris » ce qu’elle disait. Il lui suffit de dire qu’elle parlait des stations de ski situées à telle ou telle altitude, etc..

Le plus probable cependant est que personne ne se rappellera de ce tweet, parce que les gens n’ont pas l’espace disque nécessaire pour stocker plus d’une journée, voire une demi-journée d’informations. Le plus souvent, d’ailleurs, même pas une heure.

Mais ce qui est vraiment excellent dans ce tweet, c’est que Sandrine Rousseau, son équipe et les écologistes en général, savent qu’ils racontent absolument n’importe quoi.

Ou plutôt qu’ils ne parlent pas de ce qu’ils prétendent parler.

Le mouvement écologiste est un mouvement religieux qui n’a pas besoin de justification rationnelle. Quand il invoque le GIEC, ce n’est pas pour ouvrir la discussion, mais pour la clore.

C’est du même niveau que l’Inquisition sur tel ou tel point contesté jadis.

Il n’y a pas de débats scientifiques avec les écologistes. Pour une étude qui prouvera X ou Y, une autre étude pourra être citée qui démontre exactement l’inverse.

Sandrine ne fait pas d’écologie. Quand on fait de l’écologie, au sens où l’on s’implique pour la défense de la nature, de la faune, de la flore, des équilibres entre eux et les hommes, on ne se fait pas élire dans le très minéral 15ème arrondissement de Paris.

Sandrine alimente l’angoisse de sa base et la place dans une certaine perception de la réalité, une narration qu’elle contrôle.

Les écologistes s’assurent de convaincre leur cible que le monde va s’effondrer après demain, si. Ce si est ensuite à leur discrétion et leur donne le pouvoir sur les masses qui succombent à cette opération de terreur psychologique.

Cela fonctionne d’ailleurs comme le monothéisme abrahamique : vous serez jeté dans les flammes éternelles de l’enfer, si.

C’est le présupposé que les écologistes implantent dans les cervelles.

Toutes les annonces apocalyptiques des écologistes se sont toujours avérées fausses. Le monde ne s’effondre jamais, il ne peut pas s’effondrer. Les éléments sont infiniment trop puissants pour que le monde s’effondre. C’est une idée qui accorde une trop grande importance à la puissance humaine.

Même une guerre thermonucléaire ne parviendrait pas à détruire la planète, la vie est beaucoup trop résiliente.

Un esprit véritablement écologiste ne craint pas la destruction de l’environnement, car la nature est indestructible.

Des espèces peuvent disparaître, mais pas le vivant en tant que tel.

Il suffit de regarder l’immensité de l’univers, ou l’âge de la planète et ses cycles, pour savoir que tout n’est qu’une transformation perpétuelle.

L’idée de vouloir fixer la température ne peut provenir que de gens qui ne comprennent pas l’omnipotence de l’univers et de ses lois, ni du changement perpétuel qui le régit.

Les écologistes n’agissent pas à ce niveau. Ils agissent au niveau humain pour s’emparer du pouvoir sur les esprits et plier les masses à leur volonté de contrôle.

Ce n’est pas un hasard si le marxisme strictement économique a trouvé dans l’écologisme le moyen de justifier son collectivisme autoritaire après avoir échoué partout.

L’apocalyptisme écologique offre une nouvelle limite matérielle et historique de substitution à celle de l’avènement – réputé scientifiquement inéluctable – de la société sans classes. Au nom de cette pseudo crise, le marxisme peut à nouveau justifier sa prise de contrôle de l’appareil de production, des états et des sociétés pour les subordonner à la régression égalitaire qui l’anime depuis l’origine.

Pour le marxisme, l’écologie est un prétexte à son existence, un couteau placé sous la gorge des gens.

Pour nous, nationalistes, la crise est radicalement différente puisqu’elle est démographique. Contrairement aux théories des millénaristes de l’écologisme, elle est aisément quantifiable.

Il y a de moins en moins de Blancs dans les pays blancs et de plus en plus de non-Blancs. C’est contraire à nos intérêts raciaux, donc nous y sommes opposés. C’est simple à appréhender et chacun peut en faire l’expérience.

Le clergé écologiste redoute la concurrence du Grand Remplacement comme angoisse primordiale susceptible de les priver de public.

Il doit donc sans cesse terroriser les masses, de manière toujours plus outrancière, pour empêcher que le Grand Remplacement ne les efface, mais surtout pour qu’il advienne.

Si les écologistes sont cyniques, ils n’en demeurent pas moins des adeptes fanatiques de la régression primitive du genre humain qu’ils imaginent être une grande farandole multiraciale et planétaire.

L’un des piliers de la foi écologiste est que l’homme blanc et le capitalisme sont une seule et même chose et qu’elle amène l’Apocalypse environnementale qui qui les prive de cette marche vers leur petite utopie bariolée anti-historique.

La destruction de l’homme blanc est inhérente au credo écologiste, qui n’est qu’une forme de la barbarie communiste. D’où le tiers-mondisme obsessionnel de tout ce qui a un lien avec l’univers écologiste.

C’est la poursuite de l’avènement de l’homme marron et le retour à la hutte primordiale.

Le bon sauvage de Rousseau.

Ce n’est pas non plus un hasard si les prêtres de l’écologisme sont des prêtresses issues du féminisme urbain, viscéralement hostiles au sentiment d’affirmation tribale de l’homme blanc sur son territoire.

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