Pogroms : Zuckerberg recrute un coach pour enterrer la hache de guerre avec la droite blanche

La Rédaction
Démocratie Participative
25 septembre 2024

 

Tiens, un juif change de camp sans prévenir pour défendre Israël.

C’est la première fois que ça arrive.

Business Insider :

Loin des yeux du public, Mark Zuckerberg s’identifie au libertarianisme – c’est du moins ce qu’affirment les quelques sources au fait de ses pensées politiques privées. Alors que Mark Zuckerberg tente de convaincre les républicains que lui et son entreprise Meta ne sont pas partisans, des sources ont déclaré au New York Times qu’il avait sombré dans le cynisme politique.

Pour faire très court, le libertarianisme c’est ça :

Pour tenter de renouer les liens avec la droite, Zuckerberg a engagé le stratège républicain Brian Baker, qui s’efforcera d’apaiser ses relations avec les médias et les agents de la droite. Une grande partie de l’animosité à l’égard de Zuckerberg provient du sommet du parti, à commencer par l’ancien président Donald Trump lui-même. Zuckerberg a suspendu le compte Facebook de Trump après les événements du 6 janvier, ce qui a déclenché la colère de l’ancien président.

M. Trump semble maintenant apprécier de s’en prendre à M. Zuckerberg, qu’il a menacé d’emprisonner s’il regagnait la Maison-Blanche. Il soutient TikTok simplement parce qu’il s’agit d’un concurrent de Meta (Facebook). Dans son dernier livre, M. Trump a inclus une photo de M. Zuckerberg et a déclaré que le leader des nouvelles technologies s’était engagé dans un « complot contre le président ».

Les juifs complotent traditionnellement.

Aujourd’hui, cependant, il semble que Zuckerberg tente de se racheter. Le PDG de Meta a appelé Trump à deux reprises au cours de l’été et l’a même qualifié de « dur à cuire » après la tentative d’assassinat à Butler, en Pennsylvanie. Zuckerberg n’a pas encore cherché à établir un lien avec la vice-présidente Kamala Harris, selon le NYT.

M. Trump affirme que M. Zuckerberg a dit qu’il n’y avait « aucune chance que je vote pour un démocrate » lorsqu’ils se sont parlés, mais les représentants de Meta réfutent cette version. Un porte-parole a déclaré que M. Zuckerberg ne soutenait aucun candidat et qu’il n’avait pas indiqué comment il voterait en novembre.

M. Zuckerberg, qui a récemment rejoint le club des trois membres dont la fortune dépasse les 200 milliards de dollars, tente de redorer son blason auprès des républicains, au-delà du président. En 2020, M. Zuckerberg et son épouse, Priscilla Chan, ont fait un don de 400 millions de dollars pour protéger les infrastructures électorales. Certains républicains ont accusé Zuckerberg de parti pris anti-conservateur après ce don, et le milliardaire a envoyé une lettre au Congrès le mois dernier, promettant de ne pas faire de contributions similaires au cours de ce cycle.

Avec ce retournement de veste, Zuckerberg a l’air de vouloir ressembler en tous points à une caricature antisémite.

« Malgré les analyses que j’ai vues et qui montrent le contraire, je sais que certaines personnes pensent que ce travail a bénéficié à une partie plutôt qu’à l’autre », a écrit Mark Zuckerberg. « Mon objectif est d’être neutre et de ne pas jouer un rôle dans un sens ou dans l’autre – ou même d’avoir l’air de jouer un rôle. »

La dévotion à la neutralité s’étend à la philanthropie qu’il partage avec sa femme, selon le Times. Alors que la Chan Zuckerberg Initiative a déjà injecté de l’argent dans des initiatives progressistes telles que la légalisation des drogues, M. Zuckerberg ne défend plus de causes susceptibles d’être considérées comme partisanes. En juin, il a déclaré aux participants d’une somptueuse retraite, connue comme un « camp d’été pour milliardaires », qu’il regrettait d’avoir embauché des employés qui défendaient des causes gauchistes, selon des sources.

Selon le Times, Zuckerberg et Chan sont tous deux troublés par ce qu’ils considèrent comme des incidents antisémites sur les campus universitaires, y compris à Harvard, leur alma mater. Les représentants de Meta et de l’Institut Chan Zuckerberg n’ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire de Business Insider.

La peur des pogroms est déjà beaucoup plus crédible que cet amour soudain pour la droite blanche américaine.

Alex Karp, PDG de Palantir, présente le mouvement de protestation universitaire de solidarité avec la Palestine comme une menace existentielle pour l’empire américain : « Si nous perdons la bataille intellectuelle, nous ne pourrons plus jamais déployer d’armée en Occident ».

Sous l’effet du remplacement démographique, la gauche américaine est irréversiblement acquise à la Palestine.

Des émeutiers gauchistes ont attaqué le bâtiment ROTC Naval Armory et d’autres bâtiments du campus de @UNC le 19 septembre dans le cadre d’une action directe pour la Palestine. Ils ont arraché le drapeau américain, laissé des messages de menace sur les bâtiments et fait flotter le drapeau palestinien.

Il n’y a que les boomers blancs qui soutiennent encore la colonie des juifs au Proche-Orient.

Les juifs étudient cette évolution de très près.

INSS :

Des différences notables sont apparues entre les divers groupes démographiques en ce qui concerne leur position sur les interventions militaires d’Israël. Les données indiquent que les républicains (71 %), les hommes (59 %), les personnes âgées de 55 ans et plus (63 %) et les adultes blancs (61 %) approuvent généralement les actions d’Israël à Gaza. En revanche, les démocrates (63 %), les personnes âgées de moins de 35 ans (67 %) et les personnes issues de communautés minoritaires (64 %) ont tendance à les désapprouver, de même qu’une faible majorité de femmes (52 %).

Un autre écart notable est que les jeunes adultes (âgés de 18 à 29 ans) des deux partis sont moins susceptibles que les répondants plus âgés de convenir que le Hamas porte la majorité de la responsabilité de la guerre actuelle. En outre, 38 % des adultes de moins de 35 ans estiment qu’Israël est allé « trop loin » dans sa réponse au Hamas, contre 27 % pour les 35-49 ans, 23 % pour les 50-64 ans et 16 % pour les 65 ans et plus.

Les gens marron sont aux deux tiers pour la Palestine et les Blancs aux deux tiers pour « Israël ». Si vous intégrez le fait que les Blancs seront minoritaires d’ici 2045 aux USA et que les juifs dépendent du flot d’armes et d’argent américain pour se maintenir au Proche-Orient, vous réalisez qu’ils ont un gros problème.

Ce n’est qu’une question de temps avant que les vieux Blancs soient tous remplacés à gauche par des politiciens de couleur viscéralement hostiles au projet colonial des juifs.

Zuckerberg est le dernier a réalisé ce qui se passe.

En plus d’être juif, Zuckerberg n’a pas d’émotions. Son seul hobby dans la vie consiste à jouer à Civilization.

S’il veut avoir l’oreille de la droite blanche pour protéger la race juive, il doit avoir l’air sympa.

D’où le changement de communication.

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