Pour niquer les Russes, le gouvernement macroniste va former deux fois plus d’officiers africains

La rédaction
Démocratie Participative
24 avril 2023

Les généraux français sont très remontés contre les Nazis russes de Wagner qui nous volent nos Noirs. Ces Mangin en herbe ont tapé du poing sur la table pour sauver l’idée française en Afrique et reprendre tous ces pays remplis de Noirs qui accessoirement nous remplissent de Noirs.

Nous allons former des Nègres putschistes d’une absolue fidélité aux valeurs de la République et dégager ces Russes de toute l’Afrique !

Opex360 :

Chef d’état-major de l’armée de Terre à la même époque, le général Bertrand Ract-Madoux, avait établi le même constat. « C’est pour des raisons d’économie que l’on accueille moins de stagiaires africains en France », avait-il confié aux députés Gwendal Rouillard et Yves Fromion, auteurs d’un rapport sur la présence militaire française en Afrique. La formation dans les écoles françaises permet de « développer des relais d’influence » pouvant constituer un « atout […] utile en cas de crise pour améliorer notre réactivité », avait-il souteni. Aussi, selon lui, il fallait donc accueillir davantage d’élèves africains en France tout en continuant à proposer des formations « sur place ».

Près de dix ans plus tard, le ministère des Armées s’apprête à corriger le tir, comme l’indique le rapport mis en annexe du projet de Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30.

« S’appuyant sur une expertise française reconnue, nos partenariats se nourriront de capacités accrues de formation sur différentes thématiques. Après une longue période de réduction des places dans ses écoles militaires, la France rompt avec cette tendance et va proposer aux pays partenaires, quel que soit leur continent d’appartenance, d’y inscrire en formation de nombreux cadres officiers comme sous-officiers », est-il avancé dans ce document.

Lors d’une audition organisée par la commission des Affaires étrangères, à l’Assemblée nationale, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a évoqué ce sujet. « En Afrique, notre présence n’est plus complètement adaptée pour plein de raisons. La première, déjà, est que, malheureusement, dans les diminutions budgétaires de ces vingt dernières années, on a fermé beaucoup de capacités qui étaient ouvertes aux armées africaines en matière de formation », a-t-il d’abord reconnu, estimant que l’on paye « cher » cette approche parce que « l’intimité opérationnelle n’a pas de prix ».

Pour M. Lecornu, on a « trop diminué » l’offre de formation proposée par les écoles militaires françaises aux pays partenaires. « Je vous proposerai dans la Loi de programmation militaire de multiplier par deux le nombre d’accueils des élèves pour les seuls pays africains avec lequels nous avons des accords de partenariat », a-t-il annoncé.

« Je crois que, aujourd’hui, on est autour de 300 par an. Et donc, l’idée est d’arriver très vite à remonter pour avoir une cible, au moins pour commencer, à 600, ce qui me semble absolument clé. Et d’ailleurs en ne regardant pas que la cible des officiers parce que la cible des sous-officiers est toute aussi importante », a expliqué M. Lecornu.

Actuellement, l’Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan compte 90 élèves officiers internationaux [EOI], originaires de 26 pays différents… Et 55% sont Africains… Ce qui donne une idée de l’effort à accomplir.

Par ailleurs, s’agissant de l’évolution de la présence militaire en Afrique, le projet de LPM 2024-30 précise qu’elle vise à répondre pleinement et de manière spécifique aux attentes de chaque pays hôte [c’est à dire le Sénégal, le Gabon, la Côte d’Ivoire et le Tchad].

Avec l’appui du ministère de la Défense, les généraux français vont attraper des Nègres dans la savane, leur coller des lunettes et les foutre dans un avion à destination de Villacoublay, direction Saint-Cyr Coëtquidan.

Quelques hommes blancs parlant très fort avec des sourcils froncés et quelques galons très dorés et châtoyants feront le plus grand effet sur la cervelle de ces Noirs.

Nous en ferons des colonels en six mois.

Une fois ces quelques centaines de Noirs « formés » à l’art du coup d’état démocratique, ils seront réexpédiés en Afrique pour y faire vivre nos valeurs d’inclusivité homosexuelle à la pointe du fusil.

Du moins, si tout se passe comme les adeptes de l’impérialisme anal de l’Assemblée nationale le planifient.

Nous avons déjà de très nombreux Noirs dans nos universités, là aussi pour faire rayonner la France en Afrique. Environ 100,000.

Leur nombre ne cesse d’enfler, démesurément.

Paradoxalement, une fois en possession d’un titre de séjour, ces étudiants africains ne repartent jamais faire rayonner la France dans leur continent. A contrario, ils restent faire rayonner l’Afrique en France où ils expriment toute leur colère contre le pouvoir colonial.

Nous allons donc avoir le volet militaire de cette politique ambitieuse.

Ces Noirs formés à Saint-Cyr risquent de s’évaporer dans la nature à la première occasion comme c’est déjà le cas avec leurs délégations sportives nationales.

Ceci dit, impossible n’est pas français et nous allons bien arriver d’une façon ou d’une autre à traîner quelques uns de ces Noirs dans des C130 pour les renvoyer en Afrique afin d’y canner pour la liberté, l’égalité et la fraternité.

Wagner est fini. Poutine a perdu.

Chanson.

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