Pourrissant de l’intérieur, le pape fétide opéré en urgence

La rédaction
Démocratie Participative
04 juin 2023

 

Le serviteur de la synagogue de Satan n’est pas en forme.

Mais hélas, il est encore vivant.

Vatican News :

Le Pape François va subir une nouvelle intervention chirurgicale ce mercredi 7 juin. C’est ce qu’a annoncé le directeur de la salle de presse du Saint-Siège Matteo Bruni. Le Saint-Père a ainsi rejoint l’hôpital Agostino Gemelli à la fin de l’audience générale qu’il venait de présider Place Saint-Pierre, et devrait être opéré en début d’après-midi. François subira une intervention chirurgicale sous anesthésie générale, a précisé encore le Vatican, qui consiste en une incision de l’abdomen et la pose d’une prothèse. Il s’agit d’éviter tout risque d’occlusion intestinale.

«L’opération, concertée ces derniers jours par l’équipe médicale qui assiste le Saint-Père, est devenue nécessaire en raison d’une laparocèle (une hernie abdominale, ndlr) qui provoque des syndromes subocclusifs récurrents, douloureux et qui s’aggravent» souligne encore Matteo Bruni.

L’hospitalisation du Pape François «durera plusieurs jours afin de permettre une évolution post-opératoire normale et une récupération fonctionnelle complète» précise le directeur de la salle de presse du Saint-Siège.

Ce démon a certainement ingéré une trop grande quantité de sperme d’un coup.

C’est une donnée statistique qui n’a pas retenu beaucoup l’attention, mais il n’y a plus qu’un quart des Français – 25% exactement – qui se déclarent catholiques, pratiquants ou pas.

Golias :

Selon la présentation disponible sur les sites de l’Institut national d’études démographiques et de l’Institut national de la statistique et des études économiques : « L’enquête couvre de nombreuses thématiques de la vie quotidienne : logement, éducation, maîtrise de la langue, accès aux services publics, santé, relations sociales, citoyenneté, religion, etc. [Le but est] d’étudier dans quelle mesure les origines sont susceptibles de modifier les chances d’accès aux principaux biens qui définissent la place de chacun dans la société. » On le voit, il ne s’agit pas d’étudier l’appartenance religieuse pour elle-même mais comme un des multiples facteurs potentiels de discrimination. Avec tous les problèmes que pose le traitement de données sensibles comme la religion ou la santé.

Même si l’intérêt d’une telle enquête concerne surtout des questions comme la mesure du sentiment d’appartenance à la France et du sentiment de rejet chez les personnes immigrées, on peut toutefois utiliser les statistiques de TeO2 pour mesurer l’appartenance religieuse et comparer les résultats à ceux de l’enquête TeO1 menée en 2008-2009, soit douze ans auparavant. Dans une tribune publiée dans La Croix (22.05.2023), l’historien Guillaume Cuchet dévoile, en ce qui concerne la religion, les résultats de cette enquête et propose une interprétation.

On peut résumer ces résultats en six points.

1) La part des personnes qui se déclarent sans religion est passée de 45 % à 53 % depuis 2008.

2) Les catholiques sont passés de 43 % à 25 %.

3) Les « autres chrétiens » sont passés de 2,5 % à 9 %, avec une nette progression des évangéliques.

4) Les musulmans sont passés de 8 % à 11 %.

5) On note le caractère de plus en plus identitaire et fervent du judaïsme. 6)

Le taux de reproduction spirituelle des groupes (capacité à transmettre leur conviction à la génération suivante) est de 91 % pour l’Islam, de 67 % pour le catholicisme et de 69 % pour les évangéliques.

Le résultat le plus frappant est l’effondrement de l’appartenance catholique, presque divisée par deux en douze ans. D’un point de vue sociologique, ce résultat est spectaculaire, quand on sait que la sociologie religieuse, comme la sociologie électorale, est extrêmement stable et qu’elle relève du temps long. Ce qui est mesuré ici, ce n’est pas la baisse de la pratique, mais celle de l’appartenance déclarée au catholicisme : seuls 25 % des Français se disent encore catholiques, indépendamment de leur pratique. De là, puisque la statistique est exhaustive (on obtient 100 % en comptant 2 % de juifs et de bouddhistes), on pourrait être tenté de se demander où sont passés les 18 % de catholiques perdus entre-temps. Sont-ils allés grossir les effectifs des « sans religion », ont-ils rejoint les autres chrétiens, se sont-ils convertis à l’Islam ?

Cette évolution brutale est logique. Tous les effondrements sont très lents au départ avant de devenir spectaculaires.

Le Catholicisme a commencé à disparaître avec la réforme protestante au 16ème siècle, s’est érodé sérieusement au 18ème siècle avec la Révolution avant de complètement s’écrouler à partir des années 1960. Avant la moitié du 21e siècle, le Catholicisme sera un phénomène marginal démographiquement et culturellement en France. Et même allogène, compte tenu de l’immigration noire et du soutien univoque du clergé catholique à cette immigration pour compenser la disparition de ses dernières ouailles indigènes.

Ce ne sont plus que des vieilles boomeuses assoiffées de noirs.

L’extrême-droite, conformément à sa fonction de cimetière des idées, s’agrippe à un cheval mort depuis longtemps.

Cela devient franchement autistique, comme le grigri assimilationniste. En plus d’être inopérant, parce que tout le monde sait que ça n’a plus aucune réalité quotidienne.

Le concept d’identité est vraiment une plaie. Une identité est subjective, pour soi comme pour les autres. N’importe qui peut choisir les paramètres qu’il veut pour la définir.

Dans un pays où seulement 25% des gens se disent catholiques, 34% chrétiens, dire que l’identité française est définie par la religion chrétienne vous place dans un paradigme où les deux tiers des habitants ne savent pas de quoi vous parlez. À ce compte-là, un brave Congolais pratiquant est plus français qu’un Gaulois agnostique.

La plupart de ceux qui se lamentent des démolitions d’églises n’y mettent jamais les pieds. Ils n’ont même pas une idée vague de ce qu’est le catholicisme comme système religieux. Leur conception est patrimoniale, « identitaire », se résume à la jolie église du village et à manger une bûche à Noël.

Une religion se pratique ou bien elle n’existe pas. Il n’y a pas de France « chrétienne » sans Chrétiens et être chrétien par procuration est une fumisterie.

Combien de fois va à la messe par an le professeur Bossuet, bon démocrate, militant laïque, ami revendiqué des juifs, qui ont pour religion le fait de ne pas reconnaître le Christ ?

Ensuite, le concept même « d’identité française » n’a plus de signification objective. Chacun peut avoir une définition particulière, mais concrètement la seule définition objective qui a une conséquence pratique est celle que l’État lui donne : avoir une CNI et payer ses impôts.

C’est le résultat du constructivisme étatique : c’est la bureaucratie et ceux qui la contrôlent qui décide qui est quoi.

C’est d’ailleurs admis en creux par tout le monde, puisque chacun précise « Français de souche » pour distinguer les anciens Français des autres Français, dits « de papiers ».  Et même cela ne suffit pas car l’écrasante majorité de la « droite française » a son brave métèque – noir, arabe ou autre – « beaucoup plus français qu’un gauchiste bien blanc hein » à vous présenter si d’aventure vous commencez à évoquer des critères matériels qui vous font désinviter des soirées comme la race.

Hormis pour une poignée de Blancs, le mot « Français » suffit à semer la confusion dans les esprits, les uns et les autres s’écharpant sur les critères arbitraires qu’ils jugent pertinents pour définir quelque chose qui est en train de disparaître.

Comme l’extrême-droite organisée est une chambre d’écho, les drapeaux du Vatican des bios Twitter et les croix et étoiles de David de celles des militants de Zemmour déforment complètement la réalité objective pour qui cherche honnêtement à réfléchir à la question.

Les juifs ont un intérêt objectif à maintenir le zombie catholique en vie, mais à la condition de le subordonner à l’Ancien Testament, la Torah, un effroyable texte rédigé par des rabbins gorgé de volonté génocidaire. Ce maintien revient au marais puant qu’est CNews et Valeurs Actuelles où coassent les Villiers, d’Ornellas, Didier, Goldnadel, Lévy (Élisabeth), Knafo, etc..

La religion, c’est pratique, tout le monde peut en changer, contrairement à l’ADN. L’ADN, voilà la source de toutes les inquiétudes juives.

Pourtant les choses sont claires : le Catholicisme, ce n’est pas le protestantisme. Il y a une structure centrale et un chef qui dit ce qui est vrai ou faux, qui désigne ses cadres. Elle a depuis longtemps fait savoir qui elle servait.

D’ailleurs, les derniers adeptes de la papauté devraient s’expliquer sur le fait que c’est Darmanin et son ministère, maçonnique s’il en est, qui décide qui peut être évêque en France, legs précieux de la monarchie étatiste.

Les Sédévacantistes sont gentils, mais ils sont une poignée, marginalisée par une autre poignée, celle des traditionalistes qui admettent au moins qu’un catholicisme sans pape est un non-sens historique et théologique, mais cela les amène à avaler sans fanfare ni trompettes les énormités de la longue série de papes objectivement hérétiques qui se succèdent à Rome, sans parler de leur armée de cardinaux, d’évêques et de prêtres, à 90% homosexuels.

Et puis le catholicisme n’est pas une religion française, mais une religion universelle. Vu de Rome, la France n’est qu’une province parmi d’autres de son champ d’action. Ce qui échappe totalement à la chambre d’écho de l’extrême-droite hexagonale qui réduise nationalisme français, d’ailleurs hérité de Valmy, et catholicisme en une seule et même chose. Dans les faits, c’est du gallicanisme par défaut.

Ce n’est pas très important. Ce qui importe, c’est le vide objectif que va laisser un système de pensée, de valeurs, qui a prévalu pendant 15 siècles, a façonné en profondeur les esprits, les réflexes, avant de disparaître quasi instantanément.

Reste la mentalité messianique d’origine hébraïque qui anime les utopistes de gauche.

Constater l’éboulement n’est pas très dur, bâtir à la place est une autre affaire. Surtout au milieu du nihilisme ambiant qui favorise la domination déjà écrasante des kolkhozes capitalistes et de leur production culturelle standardisée, intégralement juive, anti-aryenne.

Je passe mon tour.

Je laisse aux autres le soin de payer des curés nègres pour l’édification de leurs très catholiques congénères qui crament les cathédrales.

Le Forum EELB sera prochainement de retour