Quelques réponses à quelques critiques

La rédaction
Démocratie Participative
15 mai 2024

Quelques gens se plaignent de ce que trop des informations diffusées sur Democratie Participative :

  1. « entretiennent la sinistrose »
  2. « parlent obsessionnellement des juifs »

Ces personnes ne sont pas très nombreuses, même s’il faut toujours 20% de critiques négatives pour un média donné.

Il faut répondre à ces critiques.

En premier lieu, il y a indubitablement un prisme déformant. Les « faits divers » (qui n’en sont pas, mais passons) se trouvent dans la catégorie « Guerre raciale », qui n’est qu’une des huit catégories du site. C’est infiniment moins qu’un site comme Fdesouche par exemple, d’autant que ce ne sont pas des articles que nous travaillons particulièrement. Il se trouve que lorsqu’il y en a moins, d’autres lecteurs se plaignent que ces histoires de violences raciales commises contre des Blancs manquent cruellement.

Satisfaire les uns déplaira aux autres, il faut donc un équilibre.

En fait, on pourrait dire la même chose d’à peu près n’importe quel média, y compris CNews qui développe énormément le côté « faits divers ». Par exemple, hier, ils ont pleuré (réellement) à propos de la tuerie en Normandie.

C’est bien plus empreint de sinistrose que ce nous faisons ici, pourtant cela plaît indubitablement à un certain public.

En vérité, les personnes qui dépriment déjà trouveront toujours que le site les expose trop à des nouvelles de ce genre, même si elles sont très minoritaires dans le flot des informations. Ces personnes saturent déjà avant de le consulter.

Ensuite, s’il s’agit de notre regard sur la situation ou l’avenir, tout dépend des attentes que l’on a soi-même a vis-à-vis de la réalité. Dans le contexte de l’époque, nous n’entretenons pas l’espoir en des solutions de court terme qui résoudraient tout ou pratiquement tout. Ce n’est pas du pessimisme, mais du réalisme, et cela implique pour nous de rejeter la démocratie (et les élections), l’opium des optimistes.

Bien sûr, comme thermomètre, nous nous amusons des porteurs de l’illusion démocratique, comme Marine Le Pen, sa nièce ou Zemmour, mais ce n’est pas pour proposer autre chose du même registre à la place. Il y a certainement enfoui chez beaucoup la foi, même mourante, d’un miracle démocratique, d’un soulèvement légal et ordonné qui enclenche la résolution de nombreux problèmes.

Si nous disons que la démocratie n’est pas le remède, mais la maladie, la perception du futur ne sera pas la même. Ne pas croire en la démocratie, à la « révolution légale » et à la place appeler à croire en soi-même – et à ce que l’on peut créer en dehors du mythe du suffrage universel – peut être perçu comme un regard pessimiste ou impuissant sur le monde quand c’est pourtant l’exact inverse. Ceux qui croient en la démocratie, ou s’y rallient, faute d’alternative concrète à leurs yeux, pensent qu’il n’y a pas de possibilité en dehors de celle-ci et considèrent donc que tout dénigrement de l’action « constructive » démocratique relève du nihilisme. Nous considérons l’inverse.

Il est évident que l’on ne peut pas être constamment dans la simple critique de la situation. Il y a longtemps que nous aurions pris davantage d’initiatives concrètes si nous n’étions pas sous un régime de surveillance et répression total. C’est indiscutablement un frein. Cependant nous voulons proposer un guide d’initiatives pratiques pour créer des points de résistance locaux dans la longue durée, non ouvertement politiques. Nous le ferons prochainement.

Les juifs

L’autre critique, elle aussi minoritaire chez ceux qui nous lisent occasionnellement, c’est que nous parlerions « obsessionnellement des juifs ».

Je n’entends jamais des gens, à droite, dire que tel ou tel média parlerait « obsessionnellement » des musulmans, quand bien même on pourrait parfois dire que la fixation sur ce thème est bizarre, et pourtant répandue, alors que l’immigration est planétaire. Par exemple, CNews ne bronche pas à propos de l’immigration noire d’Afrique dès lors qu’elle est catholique.

Nous faire ce reproche, comparativement, est bien plus incompréhensible, rationnellement.

La France est indiscutablement dominée par les juifs qui exercent sur elle un contrôle politique, diplomatique, médiatique, spirituel de tous les instants. La plupart des pays occidentaux le sont, mais avec l’Amérique (et Israël), la France est le pays qui compte le plus de juifs dans le monde, lesquels sont pour l’essentiel concentrés à Paris d’où ils exercent une main mise absolue sur les médias, l’appareil d’état et d’autres institutions.

Je ne peux pas prendre au sérieux quelqu’un qui le nierait au premier degré.

Il est possible que des gens qui ne vivent pas à Paris l’ignorent, ou ne le mesurent pas vraiment, ou préfèrent s’énerver à propos des noirs et des arabes. Dans le contexte actuel, au beau milieu des guerres juives d’Ukraine et de Palestine, avec des médias peuplés de juifs qui, chaque jour, mènent une campagne contre « l’antisémitisme », c’est-à-dire de suppression de toute forme d’opposition à leur domination effective, l’existence d’un seul média alternatif qui combat frontalement cette emprise est de salut public. En fait, c’est plutôt le manque de médias qui évoquent sans détour cette main mise qui devrait surprendre.

La censure que l’État impose à notre média pour cette raison confirme à elle seule la justesse politique de notre position.

L’insistance de notre média à dénoncer le rôle des juifs dans la structure du pouvoir français et occidental répond à l’absence d’une critique systématique de ce rôle par d’autres médias francophones. Il faut compenser un pareil déséquilibre. Quand on croule sous les prêches outrageusement pro-juifs des chaînes comme LCI, BFMTV, CNews ou France 5, quand on est agressé matin, midi et soir par RMC, RTL ou Europe 1 par des juifs pour que l’on ratifie leurs décisions sur toutes les grandes questions, quand chaque école déborde de propagande visant à déifier les juifs au nom de la religion de l’holocauste, il doit au moins exister un média, même alternatif, surtout d’une audience bien plus limitée, pour contrebalancer ce déferlement permanent qui vise à embrigader la population et la placer au service des juifs.

Par exemple, actuellement,  les juifs mentent à propos de cette histoire de mains rouges dans tous leurs médias sans que personne ne démonte cette fabrication.

Qui le ferait à part nous ?

Paris : la nouvelle opération de propagande juive vient de tomber 

Personne, car la répression étatique, précisément sur ordre des juifs, ferait taire le contrevenant.

En outre, il y a une alliance désormais revendiquée entre la droite démocratique, incarnée par le RN, Reconquête, CNews, le JDD, Europe 1 ou Valeurs Actuelles, et les juifs.

Chaque jour, cette alliance s’exhibe sous nos yeux.

On ne peut pas se borner à mentionner un juif ici ou là, sans décrire la dimension systémique de cette domination politique, ethnique, culturelle. Sauf à vouloir que cette domination étrangère se maintienne.

En outre, plus profondément, la question n’est pas seulement politique, mais spirituelle. L’âme des Blancs est malade, rongée par le sémitisme qui est à la racine d’une dégénérescence des sensibilités. Il ne s’agit pas seulement d’énumérer les juifs et de dire comment ils opèrent, mais aussi de dire pourquoi ils le peuvent.

Pourquoi les juifs ont pareille prise sur l’esprit des Blancs au point de les plier sans effort à leur volonté ? C’est toute la question derrière la critique de la fonction du mythe de l’holocauste dans notre société, véritable religion qui reprend et réorganise un misérabilisme culturel d’origine chrétienne qui bénéficiait jadis à la seule Église Catholique. Ce pathos chrétien est le terreau de l’antiracisme culturel moderne qu’activent et réactivent en permanence les juifs pour saper l’instinct de conservation des Blancs avec leur énorme machinerie médiatique. Ce piratage permanent des cerveaux et des coeurs blancs par les propagandistes juifs doit être démonté, ce avec d’autant plus de virulence qu’il faut compenser le déficit de cette tâche colossale.

Uniquement rager contre les immigrés ne suffira pas à résoudre cette question de l’origine du pourrissement de l’âme des Blancs.

Le style

Il y a une critique, encore plus minoritaire, portant tantôt sur le caractère « excessif » de notre média, ou « manquant de nuances ».

Elle est le fait de gens qui, hélas, ne comprennent pas comment fonctionne la diffusion des idées dans les masses. Le grand nombre ne veut pas de nuances, ni de modération. Il veut du blanc et du noir et une répétition inlassable des arguments élémentaires pour, au fil des mois et des ans, les absorber.

Celui qui propage les idées doit toujours refuser avec énergie tout appel à l’usage de la « nuance » ou de la « modération », dans la forme et le fond. Le ressort de celui qui propage des idées est la haine, unique sentiment qui met les masses en mouvement : à lui de désigner avec efficacité au plus grand nombre la cible correcte à haïr. C’est ce que nous faisons et qui déplaira toujours à des personnes qui pensent que l’on s’empare des coeurs par la raison et non par le sentiment.

Notre rôle n’a pas de caractère universitaire, mais de conversion du plus grand nombre possible de personnes à un ensemble limité de conceptions fondamentales :

  1. libérer l’homme blanc,
  2. renforcer l’instinct de conservation racial qui le rend possible,
  3. lutter contre les ennemis de la race blanche que cette libération implique, à commencer par le juif

Tout le reste s’ordonne autour de ces conceptions élémentaires.

Ces conceptions heurtent en elles-mêmes celles du système qui ne peut les tolérer ou les accommoder. Il est illusoire de croire que des modérés, qui redoutent par définition le système, seraient davantage séduits par des idées radicales exprimées avec modération. Ce qu’ils demandent, c’est l’accommodement impossible entre deux visions du monde qui s’excluent absolument.

Des conceptions radicales, pour s’imposer, doivent impressionner les foules en défiant celles de l’ordre en place et en s’exprimant sur le mode de l’intolérance absolue et revendiquée de tout ce qui lui est contraire. La masse ne raisonne pas, elle obéit. Son maître est celui qui lui dicte sa conduite après avoir brisé toutes ses conceptions antérieures.

La Russie

Une critique, assez rare, est notre positionnement prorusse. Ce positionnement politique ne relève pas de nos conceptions, mais des moyens concrets pour en faciliter l’émergence dans les masses.

Puisque nous affrontons un système, le système démocratique cosmopolite qui repose sur la destruction de la race blanche, nous devons appuyer tout ce qui peut l’affaiblir, voire mener à sa destruction.

Aujourd’hui, la Russie est le seul état européen qui dispose des moyens et de la volonté de détruire la démocratie en Europe, ou de l’affaiblir. À ce titre, la Russie est l’unique puissance contre-révolutionnaire qui soit en mesure de desserrer la chape démocratique sous laquelle les Blancs d’Europe suffoquent. Cela ne veut pas dire que la Russie, comme état, partage l’ensemble de nos orientations, à l’évidence ce n’est pas le cas et la Russie n’agit pas de manière publique et revendiquée pour la préservation de la race blanche, ni contre les juifs en tant que tels.

En revanche, comme état autoritaire, elle défend des éléments clefs de l’ordre naturel qui font de son influence une force globalement bénéfique pour notre propre combat contre la coalition dissolvantes des démocraties occidentales. Cela ne nous dispensera pas de bâtir notre propre ordre des choses, mais contribuera à le rendre réalisable.

Notre ennemi prioritaire n’est pas extérieur, mais intérieur, il n’est pas dans la rue, mais bien au sommet de l’État. C’est la classe dirigeante que nous devons détruire en tant que telle, c’est-à-dire la bourgeoisie urbaine contemporaine qui se coalise autour des partis démocratiques. La guerre que fait cette classe à la Russie est une opportunité à exploiter en travaillant résolument à sa défaite extérieure.

Tous les révolutionnaires adoptent ce type de stratégie pour hâter la défaite du système qu’ils combattent et nous le revendiquons nous-mêmes.

Pour conclure

Ces critiques ne sont pas très nombreuses, mais elles se décomposent autour de ces quelques thèmes récurrents. Elles méritaient d’être discutées afin que nos lecteurs comprennent davantage l’esprit de ce média. En réalité, la plupart de ces critiques sont formulées par des gens qui ne liront jamais ce que nous faisons ici.

Si nous recherchons la quantité malgré la censure, nous voulons aussi créer des révolutionnaires. Nous préférons solidifier une base de lecteurs acquise à des conceptions révolutionnaires que d’entretenir des idées qui ne seront pas susceptibles d’entraîner une rupture avec l’ordre en place.

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