Retailleau cancel par le nouveau ministre de la Justice

La Rédaction
Démocratie Participative
24 septembre 2024

C’est un recadrage net et brutal.

Le ministère Retailleau aura duré moins de 24 heures. C’est une bonne chose d’ailleurs, moins les naïfs peuvent se bercer d’illusions mieux c’est.

Un ministre de la Justice dispose du dernier mot en matière de criminalité puisqu’il décide qui on enferme. De toute façon, en France, on ne peut enfermer personne car il n’y a pas assez de places de prison pour absorber les millions d’allogènes qui se livrent à tous les délits et crimes imaginables.

Retailleau, qui est beaucoup plus nul que ce que je pensais alors que je le croyais particulièrement médiocre, a visiblement estimé nécessaire de se trouver une excuse pour son inévitable échec.

Il veut « négocier » avec les bogmoules des « accords ».

Nous parlons ici principalement de l’Algérie.

À deux ans de l’élection présidentielle, l’Algérie n’a aucun intérêt à négocier quoi que ce soit avec un gouvernement minoritaire, sans cohésion et dépourvu d’avenir. Un tel accord serait inévitablement remis en cause en 2027, peu importe qui sera élu, dès lors pourquoi perdre son temps à négocier quoi que ce soit ?

Bien au contraire, les Algériens vont s’amuser à jouer avec Retailleau comme le chat joue avec la souris agonisante qu’il a attrapée.

C’est de bonne guerre puisque l’Algérie est en guerre avec la France depuis 1830.

Mais surtout, plus fondamentalement, l’Algérie a pour politique de se débarrasser de son trop plein démographique en le poussant vers l’Europe, France en tête. Cela fait autant de mécontents dont le gouvernement algérien n’a pas à se soucier de remplir le ventre. Pour ne rien gâcher, ces émigrés servent ensuite de moyen de pression électorale une fois naturalisés.

Peu importe comment on aborde la question, l’Algérie n’a aucun intérêt à reprendre ses ressortissants. La seule façon d’y parvenir serait de déployer l’armée française sur la côté algérienne, de créer des corridors où s’engouffreraient pendant des mois les rapatriés acheminés par voie maritime.

Comme cela n’est pas près d’arriver avec un gouvernement démocratique, nous pouvons passer à autre chose.

Dernier point, Macron a pris le parti du Maroc à propos de la question du Sahara Occidental.

Macron a simplement emboîté le pas aux juifs de Washington.

Le Sahara Occidental est la rétribution qu’a reçu le Maroc en échange de la reconnaissance du régime terroriste de Tel Aviv sous la présidence Trump.

Dans ces conditions, l’Algérie n’a rien à retirer d’un « accord » avec les Français qui ont résolument pris parti pour le Maroc, un état particulièrement enjuivé.

Reste à Retailleau de faire des trucs sans intérêt pour divertir la galerie.

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