Retailleau explique qu’il veut virer quelques criminels étrangers

La Rédaction
Démocratie Participative
30 décembre 2024

 

Ok, donc Retailleau était à la télévision hier pour justifier par avance son échec.

Ce n’est pas idiot politiquement. Ça lui permet de draguer l’électorat RN tout en se lavant les mains de son prévisible ratage. Ces politiciens sont rompus à ce genre de manoeuvres.

Pour la touche culturelle, il a ressorti les tubes habituels qu’apprécient les droitardés de CNews.

Nous sommes tous des juifs et des Chrétiens, même si les juifs et les Chrétiens sont une petite minorité de la population.

Et si on dit aussi que la colonisation était géniale, les noirs et les arabes arrêteront de violer, de tuer et de voler (apparemment).

Un autre classique : c’est à cause des Américains et de leur « multiculturalisme » si les noirs et les arabes qui prolifèrent en France ne sont pas des Blancs.

Le « modèle républicain » qui « assimile » le tiers-monde est beaucoup plus performant que le modèle « anglo-saxon ». Ça fait précisément cinquante que le « modèle républicain » s’est écrasé contre le mur des réalités raciales, mais c’est visiblement un détail.

Il faut même accélérer.

Ce n’est pas une question de « modèles » ou de « multiculturalisme », mais de déterminisme génétique.

Il est d’ailleurs révélateur que Retailleau parle de « régression vers les origines » pour évoquer le « communautarisme ». C’est un poncif de l’idéologie jacobine que de présenter comme un « progrès » le déracinement des peuples pour en faire une masse d’individus indifférenciés jetés dans le bouillon de la démocratie universelle.

Cet énième invocation du métissage laïque et obligatoire n’a évidemment aucun début de portée pratique. Les noirs et les arabes ne vont pas s’arrêter d’être noirs ou arabes parce qu’un Blanc agite son moulin à prières « républicain » pour les convaincre de devenir des Blancs comme les autres.

Le logiciel de Retailleau est le même qui est en place depuis la révolution française, celui qui a fait débarquer l’Afrique en France. Avec une telle incompréhension du rôle de la race dans l’histoire, ce type n’ira pas très loin.

Ceci dit, il sait qu’il ne va nulle part. Les lois en vigueur ne permettent de rien faire ou presque. Il a donc rapidement bifurquer vers des sujets adjacents, notamment l’expulsion des criminels étrangers.

C’est bien sûr plaisant à l’oreille, mais c’est un détail. Les criminels étrangers ne sont qu’une petite portion de l’immigration non-blanche en France.

Le problème central est l’immigration légale ainsi que la nuée de demandeurs d’asile. Sur ce sujet, Retailleau s’est contenté d’évoquer une révision « un jour » de la Constitution.

Le seul truc que Retailleau pourrait faire, c’est suspendre immédiatement toute immigration légale. Il lui suffirait de ne plus émettre de visas, ne serait-ce que pour l’Afrique.

Or, il n’en pas l’intention.

C’est ce qu’il dit quand il parle de « rapport de force » à propos de cette histoire d’expulsion de criminels étrangers : il veut utiliser la carotte des visas pour convaincre les bleds d’Afrique de reprendre leurs assassins et leurs violeurs.

Cette carotte suppose de ne pas suspendre l’immigration légale.

Donc nous allons hypothétiquement virer quelques milliers de criminels étrangers, mais le flot de l’immigration ne sera pas stoppé.

C’est la seule façon d’interpréter ce qu’il dit.

C’est suffisant pour permettre à Pascal Praud de s’émerveiller, mais ça ne rendra pas moins marron les rues de France et de Navarre.

Les couillons de droite, eux aussi, sont emballés.

Je dois le répéter : ce n’est pas une question de « droite » ou de « gauche », mais de démocratie.

Tant que nous évoluerons dans ce système impossible, la submersion raciale dictée par la finance juive se poursuivra. Tout le reste est du théâtre pour divertir les goyim.

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